Casablanca.- Les IDE (Investissements directs étrangers) au Maroc ont baissé de 35 % en 2011. Ces IDE étaient de l’ordre de 39,2 milliards en 2010, ils sont tombés à 25,5 milliards de dirhams (2,32 milliards d’euros) en 2011.
Ce n’est pas un journal d’opposition qui veut embêter la sacro-sainte image du Maroc à l’extérieur qui a publié ces mauvais chiffres, ce sont simplement les statistiques du très officiel l’Office des changes du royaume du Maroc.
On apprend ainsi que l’année dernière, en pleine tourmente des révolutions arabes, les IDE en provenance de la France, notre alliée et protectrice, ont baissé de 25 % au premier semestre. Merci pour la confiance !
La France est le premier investisseur étranger dans le royaume, suivi par l’Arabie Saoudite qui a supplanté l’Espagne, qui arrive en troisième position.
Selon un éminent représentant de la deuxième famille régnante du Maroc, Ahmed Fassi Fihri, directeur de la promotion des investissements à l’Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), « l’État, les établissements publics et les entreprises installées continuent d’investir ». Celui-ci attribue la baisse des IDE à « la morosité ambiante plutôt qu’à une perte de confiance dans le pays ».
C’est ça oui…
Amine Bouderaâ
demainonline
Ce n’est pas un journal d’opposition qui veut embêter la sacro-sainte image du Maroc à l’extérieur qui a publié ces mauvais chiffres, ce sont simplement les statistiques du très officiel l’Office des changes du royaume du Maroc.
On apprend ainsi que l’année dernière, en pleine tourmente des révolutions arabes, les IDE en provenance de la France, notre alliée et protectrice, ont baissé de 25 % au premier semestre. Merci pour la confiance !
La France est le premier investisseur étranger dans le royaume, suivi par l’Arabie Saoudite qui a supplanté l’Espagne, qui arrive en troisième position.
Selon un éminent représentant de la deuxième famille régnante du Maroc, Ahmed Fassi Fihri, directeur de la promotion des investissements à l’Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), « l’État, les établissements publics et les entreprises installées continuent d’investir ». Celui-ci attribue la baisse des IDE à « la morosité ambiante plutôt qu’à une perte de confiance dans le pays ».
C’est ça oui…
Amine Bouderaâ
demainonline
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