Débat Bernard-Henri Levy vs. Zohra Drif-Bitat sur la Guerre d'Algérie

[shadok]

Partie : 1



Partie : 2



Partie : 3



Partie : 4

[shadok]

Partie : 5



Partie : 6



Partie : 7

[shadok]

Le philosophe hypocrite Bernard Henri-Lévy demande à Madame Zohra Drif des excuses sur l’attentat du Milk-Bar pendant la guerre d’Algérie qu’il qualifie de terrorisme. Quelle était sa position sur la Guerre de Gaza où le terrorisme d’Etat d’Israël a couté la vie à plusieurs centaines de civils palesténiens dont beaucoup d'enfants ? Dans un article du Point, « Libérer les Palestiniens du Hamas », BHL dit :

« Entre l’attitude des uns et celle des autres il y a, quoi qu’il en soit, une différence capitale et que n’ont pas le droit d’ignorer ceux qui veulent se faire une idée juste, et de la tragédie, et des moyens d’y mettre fin : les Palestiniens tirent sur des villes, autrement dit sur des civils (ce qui, en droit international, s’appelle un “crime de guerre”) ; les Israéliens ciblent des objectifs militaires et font, sans les viser, de terribles dégâts civils (ce qui, dans la langue de la guerre, porte un nom — “dommage collatéral” — qui, même s’il est hideux, renvoie à une vraie dissymétrie stratégique et morale). »

[Memelius]

Qu'est ce que ce pitre connait de la guerre d'Algérie sa famille s'est planquée en France dans les années 50

[rasibus]

ses petits amis du CNT ils vont comment au fait ?

sacré BHL !

plus sioniste, plus malfaisant, plus malveillant, plus pourri, c'est mission impossible !

quel pitre !

Poilade 08/02/2010 à 18h42
BHL piégé, les amis de Botul « consternés et allègres »

Pascal Riché


C’est le site Bibliobs (Nouvel Obs) qui a levé le lièvre. Dans un de ses deux derniers livres (il a publié une paire), l’essayiste Bernard-Henri Lévy s’en prend à Kant « ce fou furieux de la pensée, cet enragé du concept ». A la page 122 de « De la guerre en philosophie » (Grasset) BHL cite les recherches sur Kant de Jean-Baptiste Botul. Problème : Botul n’a jamais existé.
BHL rappelle ainsi dans son petit ouvrage que Botul aurait définitivement démontré « au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans sa série de conférences aux néokantiens du Paraguay, que leur héros était un faux abstrait, un pur esprit de pure apparence ».

Qui est Jean-Baptiste Botul ?


Dommage que BHL n’ait pas pris six secondes pour « googler » le nom de cet auteur sur internet. Il aurait découvert en moins de deux clics qu’il s’agit d’une créature fantasmatique et potachière sortie du cerveau de Frédéric Pagès, agrégé de philo et journaliste au Canard Enchaîné.
Une créature qui a pris vie grâce aux efforts d’un groupe d’amis d’horizons divers, dont le noyau dur est baptisé « NoDuBo ». Lévy serait par exemple tombé sur leur blog qui présente leur héros comme un « philosophe de tradition orale dont on ne connaît exactement ni la vie ni l’œuvre ».
Botul est apparu en 2004, avec la publication d’un livre choc : « La vie sexuelle d’Emmanuel Kant » chez Mille et Une nuits (il faut savoir que Kant est réputé puceau). C’est Pagès qui en est l’auteur. Chez le même éditeur d’autres botuliens ont poursuivi l’œuvre.
On doit ainsi à Jean-Baptiste Botul « Landru, Précurseur du Féminisme : la correspondance inédite, 1919-1922 », « Nietzsche ou le démon de midi » (plaidoirie que Botul, accusé d’avoir détourné une jeune fille dans son taxi, aurait faite devant le tribunal professionnel des taxis parisiens), « Métaphysique du mou »...
Des questions sur la façon de travailler de Bernard-Henri Lévy

Ce lundi soir, Frédéric Pagès s’amuse au téléphone de toute cette affaire : « Nous avons été consternés... et allègres » :

« Avec Botul, nous ne cherchons même pas à piéger les gens, c’est juste un auteur collectif. Ce qui est étonnant, c’est qu’il n’ait pas senti qu’il s’agissait d’une fable.
La vie sexuelle d’Emmanuel Kant raconte l’histoire farfelue d’une communauté d’Allemands de Königsberg (devenu Kaliningrad) ayant fui au Paraguay pour constituer une colonie strictement régie par la philosophie kantienne. Cela aurait dû l’alerter. Cela pose une question sur sa façon de travailler. »

Les « Botuliens », me raconte Pagès, se réunissent chaque mois en « salon ». Je lui ai demandé s’ils inviteraient BHL. « Pourquoi pas, on pourrait parler de Kant, par exemple ! »
J’ai laissé un message à Bernard-Henri Lévy, nous attendons sa réponse. Il a déjà réagi sur Parismatch.com :

« Bernard-Henri Levy a reconnu son erreur de bonne grâce, affirmant s’être laissé piéger et ne pas avoir deviné le canular. BHL entend cependant réserver l’ensemble de ses explications à son “Bloc-Notes” dans le prochain numéro du Point, à paraître jeudi de cette semaine. »

Bon, si cela peut consoler l’ancien-nouveau philosophe, il n’est visiblement pas le seul à s’être laissé prendre aux fruits botuliens, comme on peut le constater ici.

[icosium]

Nelson Mandela écrivait dans un de ses livres "Un long chemin vers la liberté" sur les négociations avec le gouvernement sud-africain et de ses demandes d’arrêter la violence :

"Je répondais que l’Etat était responsable de la violence et que c’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé, qui détermine la forme de la lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense"

[rasibus]

le dernier pays visite par mandela avant son emprisonnement : algerie

le premier pays visite a sa liberation : algerie

[houari16]

BHL d une stupidité considérable , il doit être très content de faire l intéressant par ses idées travesties et contradictoires ..

-Si Freud était vivant , il sera surement un cas très intéressant pour l étudier ...

[nedjmala]

"continentalement", si il n'était que de traiter en parole, pour redire, cet hier que nul(le) ne saurait revoir et rendre plus malheureux au cœur des êtres et aux yeux des peuples, il demeurerait malgré tout, à ce jour, et principalement, de dire, que, un nombre important et conséquent d'avenirs humain se vit d'être à présent du fait, à cela d'ajouter toujours dans le temps que d'autres encore s'en sont suivis, heureusement et au loin de ce que nul(le) ne voudrait revoir et reprendre au creux des larmes et aux vues des armes, même si il est vrai que certains "tableaux" de la vie ne sont guère appointés ni même appréciés d'être animés de la sorte ou sous cet angle temporel et mal ancré, ou alors, par hypothèse positive actuelle et avancé, il se manque de "créer" les états unis libérés du passé pour, d'une part, ne pas s'adjoindre plus de mal des périodes sans consciemment les occultées et, d'autre part, pour s'accorder les solidarités communes et positives ayant à poursuivre sous l'égide de la Paix retrouvée, une, des, perspectives encore et toujours plus actuelles et fraternelles d'Afrique et d'Ailleurs, avec le temps et selon des hommes...

Salam, merci...

[nedjmala]

Salam,

qui a dit que certains "silences" étaient possiblement révélateurs et non pas toujours forcément propices des "calmes"...

en tous cas, il est forcément avéré, donc vrai, et d'un bon nombre, qu'il se faille le plus souvent des intérêts, toujours hors du commun solidaire et fraternel, pour se lever des hommes et des armes, il se suffit alors de bien préciser, toujours, pour quel intérêt, ensuite, comme il est dit, étonnamment de s'étonner du plus étonnant, qu'une triste et surprenante réalité se résulte, bien moins souvent, des sens et des voies de la Paix, car il s'avère tout autant, du plus étonné et par le temps, qu'il ne se soit pas levé depuis, aux actes majeurs des peuples et de l'Humanité, des sens et des voies du meilleur intérêt d'égalité et de fraternité, pour chacun des pays, pour chacune des terres, selon les emplois humains s'apportant les attitudes irréfléchies des versants, somme toute, répertoriés de la haute et inepte inconscience...

aussi, il ne peut pas être ni se tenir un fait antérieur supérieur ou inférieur, positif ou négatif, plus remarquable à un autre, sauf et seulement si ce fait s'entretient des postures conjoncturelles et concluantes comme il peut s'entendre dire lors d'une armistice en fin de guerre, d'ailleurs et pour l'exemple attribué des sports, donc largement moins "guerrier" et mortel à leurs disciplines, il se montre à l'ensemble des pratiques compétitives, collectives ou individuelles, les objectifs communs à chaque participants(tes) d'atteindre, par reconnaissance unanime et pacifiste, les lieux, les mesures, les temps, d'une "victoire" ou d'un "gain", pour chacun des physiques, pour chacune des facultés, selon les usages égaux s'apportant les aptitudes humaines des éléments, somme toute, comparés de la haute et belle conscience...

Salam, merci...