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La fin du calvaire pour les artistes ?

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  • La fin du calvaire pour les artistes ?

    Le rêve devient-il enfin réalité ? Bientôt un fichier national qui recensera toutes les personnes qui pratique l’art comme un métier. Leur situation vis-à-vis de la Sécurité sociale sera améliorée avant la fin de l’année.

    La résidence El-Mithaq a abrité, jeudi soir, la cérémonie d’installation du Conseil national des arts et des lettres. Cet acte signifie qu’aujourd’hui, les artistes algériens (toutes disciplines confondues) peuvent souffler et moins appréhender leur avenir artistique d’une part et celui de leur passion d’autre part.
    Cette installation a eu lieu lors d’une cérémonie présidée par Mme Khalida Toumi, ministre de la Culture, en présence de M. Tayeb Louh, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, des moudjahidate : Zohra Drif-Bitat et Djoher Akrour, et d’une pléiade d’artistes.
    Le Conseil national des arts et des lettres est considéré par tous les présents comme l’issue salvatrice d’un combat que l’artiste algérien mène depuis fort longtemps.
    Pour eux c’est la reconnaissance par l’Etat de leur existence en tant que tel. En effet, cette institution aura, dans un premier temps, la lourde tâche de recenser les artistes et de délivrer de la tant attendue et réclamée par la corporation : la carte d’artiste. Ce quitus qui leur existence sociale.
    C’est le musicologue Abdelkader Bendaâmache, et non moins commissaire du Festival national de la chanson chaâbi, qui a été nommé président dudit conseil, créé en vertu du décret exécutif n° 11-209 du 2 juin 2011, qui serai aidé dans sa tâche par deux vice-présidents (Zahia Benchikh El Hocine et Abdelali Deroua respectivement représentant des ministères de la Culture et du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale), et 11 membre : Bahiya Rachedi (actrice), Sakina Mekiou dite Sonia (comédienne), Yamina Chouikh (réalisatrice), Zoubir Hellal (plasticien), Brahim Bahloul (artiste spécialiste en chorégraphie), Zineb Laouedj (romancière), Nacera Mohamedi (poétesse), Larbi Zeggane dit Kamel Hamadi (auteur-compositeur), Ahmed Takdjourt dit Hamidou (chanteur), Samira Negrouche (poétesse) et Saïd Boutadjine (universitaire).
    Dans son allocution, Mme Toumi a mis en exergue l’importance d’une telle structure pour une meilleure visibilité du champ d’action de la famille artistique algérienne. Par ailleurs, elle a tenu à préciser que “le Conseil national des arts et des lettres n’est ni un syndicat ni une association”. Et de s’adresser publiquement aux membres de cette institution, les exhortant de présenter dans les plus brefs délais des “propositions claires pour défendre les droits des artistes”.
    En outre, elle a appelé à l’installation de deux commissions permanentes qui auront la charge de définir les critères de reconnaissances de la qualité d’artiste et la constitution d’un fichier national d’artistes. De son côté, M. Tayeb Louh a réitéré, dans son intervention, le parti pris de son département à s’engager dans l’accompagnement du “secteur de la culture dans toutes ses démarches entreprises pour assurer une meilleure couverture sociale aux artistes”. Et de rappeler que la situation de l’artiste sur le plan de la sécurité sociale sera améliorée avant la fin 2012.

    Par : Amine IDJER

  • #2
    La fin du calvaire pour les artistes ?
    Tant que cette chose appelée "khalida toumi" restera à la tête du ministère de la culture, le calvaire continuera

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    • #3
      Tant que cette chose appelée "khalida toumi" restera à la tête du ministère de la culture, le calvaire continuera
      __________________
      Et avant Khalida Toumi ??
      La misère des artistes ne date pas de khalida Toumi.
      Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots."
      Martin Luther King

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      • #4
        Elle c'est une catastrophe ambulante ! Dès qu'elle ouvre sa bouche, j'ai envie de m'immoler !

        Leur misère ne date pas de khalida toumi, d'accord, mais elle est pire maintenant ! franchement, déjà où-sont ces "artistes" ? on ne voit plus personnes, on ne voit rien ... c'est le désert culturel ! Les artistes qui ont fait le "bonheur" des Algériens à une époque (où on avait beaucoup moins de moyens), vivent et meurent dans l'indifférence totale aujourd'hui... au mieux, on leur consacre 3min pour les condoléances et les hommages au JT du 20h00 ! Et pendant ce temps, la khalida, se tape la danse avec el zahouania !! Elle est à la culture, ce qu'est Benbouzid est à l'Education ... etc etc etc

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        • #5
          Salam, Bonjour,

          l'espérance est une culture sacrée ou une sacrée culture, comme vous l'entendrez et, sans comporter les grammes d'une critique, le constat se suffira par lui même, la question se pose un peu comme il s'arrive des hirondelles... le rayonnement de cette "mesure" a-t-il été pourvu par delà quelques frontières en ce qui concerne les originalités des couvertures originales des originaux de l'origine, allez un peu d'humour et d'obligeance sont sans doute quelque peu d'amour culturel à la base...

          Salam, merci...
          ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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          • #6
            Salam Nedjmala

            Des paroles pleines de sagesse

            Merci, Salam

            Commentaire


            • #7
              esperons surtout qu'il n'y aura jamais une fonctionnarisation des artistes, sur l'anti-modele francais

              avec des pelletees de bras cassés devenus artistes pour pouvoir ne rien faire sur le dos du Tresor public ... l'art ce n'est pas la fonction publique !

              que ceux qui arrivent a vivre de leur art le fasse, les autres tant pis pour eux, et tant mieux pour nous, tout le monde n'a pas vocation a etre artiste

              il faudrait se concentrer sur les salles de spectacles publiques, financees par l'etat, et ouvertes aux artistes (sans benamisme, ni tchipa si possible), et la programmation musicale dans les radios publiques et privees (50% minimum des cahnsons algeriennes)

              le reste ne me semble ni intelligent, ni raisonnable, l'Etat subventionne tout deja, basta ! ca suffit ! nous ne sommes pas l'Union sovietique !

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              • #8
                Salam Nedjmala

                Des paroles pleines de sagesse

                Merci, Salam
                oui, chacun(e) sa Source, l'Origine ne change jamais, ni des faits supposés ni des temps conjugués, au fait et sans médisance, parce qu'il y a "humour", "Sacrée Zohra", qui fait théâtre au fil du genre des résistances intelligentes et raisonnées...

                Salam, merci
                ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                • #9
                  La fin du calvaire pour les artistes ?

                  Il y a de quoi être confiant de par la composante de ce conseil. Pourvu que ce dernier s'incrive dans la pérennité et qu'il y ait l'écho correspondant des instances concernées.

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                  • #10
                    C'est un début...

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                    • #11
                      Code PHP:
                      Tant que cette chose appelée "khalida toumi" restera à la tête du ministère de la culturele calvaire continuera 
                      Khalida utilise deux outils dans l'exercice de son métier de ministre, le ciseau pour censurer et la langue du bois pour faire la p u t e , le vieux métier de prostituée.

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                      • #12
                        certains(es) ont l'art et la manière pour évoquez abruptement de tels propos, et, bien souvent il s'y trouve le ou les mots qui s'apportent les desseins d'un perspective, disons, mal dissimulée, de fait la censure vous reviendra peut être du fait d'entre mettre "vos" volontés, à moins que une certaine et conséquente majorité tendent à vous "épargnez", au petit dessin des cadenas, diplomatiquement parlant, donc sans outre mesure...cela peut être un début, révisé...

                        Salam, merci...
                        ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                        • #13
                          giron du pouvoir

                          le pouvoir a créé ce conseil pour garder les artistes dans leur giron, car avec les nouvelles chaines TV qui sont en train d'être créées et leur font appel les artistes vont devenir autonomes et par conséquent plus dangereux pour ce même pouvoir, surtout en cas de troubles.

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                          • #14
                            faire la p u t e , le vieux métier de prostituée.
                            quel niveau

                            lamentable

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