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Des attaques déjouées grâce à l’arrestation des islamistes radicaux ?
L’interpellation d’une vingtaine d’islamistes radicaux dans plusieurs villes de France ce vendredi a-t-elle permis d’éviter des attaques sur le territoire ? C’est en tous cas ce que pense le directeur central du renseignement intérieur Bernard Squarcini. Dans le quotidien La Provence, celui-ci explique que les 17 islamistes radicaux placés en garde à vue « semblaient préparer un enlèvement ».
Les membres du groupe terroriste Forsane Alizza, dissous en février dernier, n’avaient apparemment pas laissé de côté leurs velléités d’actions : « Le groupe avait été dissous depuis le 29 février et les avoirs de 26 d’entre eux ont été gelés mais ils continuaient à suivre un entraînement physique, dans les parcs, les bois et recherchaient des armes », explique Squarcini. « Ce sont des Français qui s’entraînent sur le territoire. Il y avait des séances collectives d’aguerrissement, avec un discours très violent, un endoctrinement religieux. Certains pratiquaient le paintball, d’autres faisaient du jogging. »
Un arsenal impressionnant
Lors des perquisitions réalisées au domicile des islamistes, les enquêteurs ont retrouvé « un lot impressionnant de kalachnikov », en particulier à Marseille, ainsi que « beaucoup d’ordinateurs, des puces, de l’armement, de l’argent, 10.000 euros en petites coupures, huit fusils, sept ou huit armes de poing, un taser, des bombes lacrymogènes… »
Parmi les personnes gardées à vue, on retrouve le leader du mouvement Forsane Alizza (Les Cavaliers de la Fierté), Mohammed Achamlane. Bernard Squarcini attend désormais que ce dernier s’explique sur le financement de l’organisation en France, et insiste sur le fait qu’il s’agit d’un « un groupe constitué d'une véritable dangerosité (...). Ce qui était important à leurs yeux c'était de se structurer de façon solide. »
Ladepeche
L’interpellation d’une vingtaine d’islamistes radicaux dans plusieurs villes de France ce vendredi a-t-elle permis d’éviter des attaques sur le territoire ? C’est en tous cas ce que pense le directeur central du renseignement intérieur Bernard Squarcini. Dans le quotidien La Provence, celui-ci explique que les 17 islamistes radicaux placés en garde à vue « semblaient préparer un enlèvement ».
Les membres du groupe terroriste Forsane Alizza, dissous en février dernier, n’avaient apparemment pas laissé de côté leurs velléités d’actions : « Le groupe avait été dissous depuis le 29 février et les avoirs de 26 d’entre eux ont été gelés mais ils continuaient à suivre un entraînement physique, dans les parcs, les bois et recherchaient des armes », explique Squarcini. « Ce sont des Français qui s’entraînent sur le territoire. Il y avait des séances collectives d’aguerrissement, avec un discours très violent, un endoctrinement religieux. Certains pratiquaient le paintball, d’autres faisaient du jogging. »
Un arsenal impressionnant
Lors des perquisitions réalisées au domicile des islamistes, les enquêteurs ont retrouvé « un lot impressionnant de kalachnikov », en particulier à Marseille, ainsi que « beaucoup d’ordinateurs, des puces, de l’armement, de l’argent, 10.000 euros en petites coupures, huit fusils, sept ou huit armes de poing, un taser, des bombes lacrymogènes… »
Parmi les personnes gardées à vue, on retrouve le leader du mouvement Forsane Alizza (Les Cavaliers de la Fierté), Mohammed Achamlane. Bernard Squarcini attend désormais que ce dernier s’explique sur le financement de l’organisation en France, et insiste sur le fait qu’il s’agit d’un « un groupe constitué d'une véritable dangerosité (...). Ce qui était important à leurs yeux c'était de se structurer de façon solide. »
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