Finie la polygamie à l'ancienne, place à une méthode moins encombrante qui n'est autre que l'infidélité...
Une femme dans chaque port, c'est l'ordinaire du marin. Toutefois, cela est également devenu l'ordinaire de nombreux Algériens. En effet, avec les mutations qu'a connues la société algérienne ces dernières années, les histoires d'infidélité matrimoniale sont devenues monnaie courante.
Nombreux sont ceux qui mènent une double vie! Levons donc le tabou...Islem fait partie de cette catégorie. «Une maîtresse cachée, une liaison clandestine... Ah, le frisson du secret! Mener une double vie, c'est exaltant», assure-t-il avec un clin d'oeil qui en dit long sur ses «agissements». «Oui, je suis infidèle et je l'assume», nous confie-t-il avec assurance. La raison qui pousse Islem à être infidèle n'est autre que le goût de l'aventure. «Je ne supporte pas la monotonie de la vie. Je recherche donc de nouvelles sensations que seule l'infidélité peut me procurer», explique-t-il. Islem éprouve-t-il des remords par rapport à sa femme et ses filles?
«Absolument pas!», répond-il sèchement. «Tant qu'elles ne sont pas au courant, je ne leur fais pas de mal», ajoute-t-il sans aucune émotion. C'est pour cela qu'il dit s'efforcer à tout faire pour ne pas se faire débusquer. «C'est mon seul souci. Pour la culpabilité, j'estime qu'il vaut mieux que je sois infidèle que de divorcer et laisser tomber ma famille en les faisant souffrir ou, pire, en les battant...C'est ma vision des choses et je l'assume», assure-t-il. Le problème dans l'infidélité, réside dans les complications. Entre mensonge, culpabilité ou obligation -parfois- de choisir, la double vie n'est pas un long fleuve tranquille. Bien au contraire...L'histoire «hollywoodienne» de Nacim en est la meilleure preuve. Marié depuis plus de 15 ans, père de trois enfants, Nacim avait donc tout pour vivre heureux...Jusqu'au jour où il sombre de l'autre côté. «J'ai rencontré une fille plus jeune avec qui j'ai commencé à sortir, au début c'était juste un passe-temps. Je prenais soin d'elle, je l'entretenais, on sortait ensemble...ça me donnait l'impression d'être plus jeune», relate-t-il avec nostalgie. «Jusqu'au jour où les sentiments ont pris le dessus. J'ai alors décidé de l'épouser, mariage religieux vu que pour le mariage civil il me fallait soit divorcer, soit l'accord de ma première femme pour pouvoir épouser la seconde, ce qui était exclu...Elle n'était au courant de rien», poursuit-il avec amertume ce qui en disait long sur les retombées de son aventure de polygame.
Sans complexe dans les quartiers huppés...
Craquer, poser sa tête sur l'épaule de l'une pour avouer l'existence de l'autre, n'a-t-elle jamais été une tentation? «Ouallah que je ne simulais rien. J'étais le plus vrai possible, je les aime toutes les deux... en alternance. Quel est l'intérêt de se libérer un instant et de faire souffrir les autres pour longtemps? J'assumais ce que j'avais construit, c'est tout. J'ai toujours pensé que j'avais cette capacité de vivre plus intensément que les autres», répond-il convaincu. Quatre ans et deux bambins, sont passés après le deuxième mariage de Nacim pour que sa première femme découvre le pot aux roses. «J'ai réussi pendant quatre 4 ans à cacher à ma première femme que je m'étais remarié et que j'avais deux autres enfants. Je réussissais à lui dissimuler la vérité en lui trouvant des excuses pour mes absences répétées du domicile conjugale», révèle-t-il. Mais un jour, l'heure du choix est arrivée! «Le Karma s'est vengé de moi! Comme par un pur hasard, un cousin de ma première femme avait emménagé dans le quartier où j'avais loué un appartement à la seconde. Il a découvert ma deuxième vie conjugale et est allé illico le dire à sa cousine», raconte-t-il avec un air honteux. C'était donc pour Nacim le summum de l'humiliation. Mais il avoue que ce qui lui faisait le plus mal c'était la contrainte de faire un choix. «Je les aimais toutes les deux. Elles sont mes deux familles. Il m'était donc impossible de faire un choix!», atteste-t-il, les larmes aux yeux. Nacim choisit au début, la jeunesse, c'est-à-dire sa deuxième femme, mais voyant qu'il n'avait rien à lui offrir, vu que sa fortune lui venait de sa première femme, elle le laisse tomber aussi vite qu'ils se sont mis ensemble. Au final, il se retrouve seul après avoir gâché la vie de 7 personnes. «Les plus grands perdants ce sont mes enfants qui sont en train de payer mes erreurs, ceux d'un adulte qui a joué avec leurs mamans réciproques...», regrette-t-il. Les histoires d'Islem et de Nacim ne sont pas du tout des cas isolés. Il suffit de faire un petit tour dans les restaurants et les cafés des quartiers huppés de la capitale pour le comprendre très vite. Le quartier de Sidi Yahia sur les hauteurs d'Alger est le meilleur exemple. Les hommes «mûrs» s'affichent sans complexe avec leur minette. Il y en a même qui y viennent spécialement pour draguer. Mais qu'est-ce qui pousse vraiment ces hommes à l'infidélité? Le goût de l'aventure, la monotonie, comme c'est le cas pour Islem et Nacim? Ou y a-t-il d'autres raisons? Saïd, attablé à la terrasse d'un très beau resto BCBG avec Lila, se confie sans complexe. «Elle, c'est ma maîtresse. Elle est belle, non?», nous interroge-t-il devant la jeune fille rouge de honte qui s'était levée en faisant mine de téléphoner tellement elle ne savait plus où se mettre. «Les interdits, c'est toujours ce qu'il y'a de meilleur», invoque-t-il comme raison. «En plus, Lila, comme toutes les jeunes filles avec qui je sors, me redonne une seconde jeunesse. J'aime m'afficher au bras de ces jeunes créatures pendant les réceptions. Cela me donne un sentiment de réussite sociale», poursuit Saïd. Il avoue toutefois, que pendant toute sa jeunesse, aucune fille ne voulait de lui mis à part sa femme qui lui a été présentée par sa mère... «Regardez-la comment elle est bien gâtée par la nature, je sais très bien que ce n'est pas pour mes beaux yeux qu'elle est avec moi...mais pour mon argent. Mais que voulez-vous, ça marche comme ça!», nous signifie-t-il avant de faire signe à sa maîtresse de revenir à table, car ils venaient d'être servis.
Tromper demande du temps, mais surtout de l'argent
«La vie est d'un ennui! Si on ne la réinvente pas à chaque instant, elle nous assomme avec sa banalité. Et, comme tout le monde, je n'en ai qu'une, alors...», lance avec philosophie Krimo pour justifier ses infidélités. Eh bien alors, il ne va pas par quatre chemins pour en profiter. Les circonstances lui sont favorables. Homme d'affaires accompli, raffiné, séduisant et surtout très riche, ce quinquagénaire collectionne les conquêtes. «L'argent me permet de gâter mes copines...», admet-il en souriant. Et par gâter, il parle de beaux cadeaux, restaurants, voyages, soirées bien arrosées... «Il y a même qui vont jusqu'à acheter des voitures ou des appartements pour leurs maîtresses... Et j'en connais beaucoup», avoue t-il. «Les nouvelles résidences haut standing qui pullulent dans la capitale en sont l'exemple le plus concret. Les «infidèles» y louent ou y achètent des logements pour leurs dulcinées, cela leur permet d'être discrets...», révèle-t-il en parlant de ses «collègues» tout en soulignant qu'il n'avait pas atteint ce stade de double vie. L'argent est donc pour Krimo, l'élément essentiel pour pouvoir tromper sa femme. «En fait, l'infidélité, sans se faire prendre, est une question d'organisation assez facile à mettre en place, qui exige seulement d'importants moyens financiers», ironise-t-il. Toutefois, il tient à préciser que ce «sport» n'était pas exclusivement réservé aux nantis. «Il y a des personnes qui n'ont même pas les moyens de survivre et ils se permettent de tromper leurs femmes. Ils me dégoûtent. Je sais que je suis mal placé pour juger, mais moi au moins ma femme et mes enfants ne manquent de rien. Si je n'avais pas les moyens, je n'aurais jamais eu ces escapades», dénonce-t-il. En parlant des catégories de personnes qui s'adonnent à l'adultère, Krimo estime qu'il ne faut pas seulement les cataloguer par catégories sociales, mais également par sexe. «Comme pour les hommes, il y a aussi des femmes qui ont une double vie, mais elles sont moins nombreuses et très discrètes donc il vous sera difficile de les trouver», affirme-t-il en connaissance de cause... Mais la question que l'on se pose logiquement après ces témoignages est naturellement: «Quelles sont les raisons qui poussent ces jeunes filles à sortir avec des hommes mariés? C'est même une mode qui prend de plus en plus d'ampleur dans la société», avoue Hakim rencontré dans une parfumerie où il était en train d'offrir un parfum à sa maîtresse pour pouvoir sentir son odeur douce et sucrée, secrètement... «Pour moi, les jeunes filles sont attirées par les hommes mariés à cause du respect de nos vies parallèles et de la discrétion. Elles savent très bien que les hommes mariés n'iront pas crier leurs relations sur tous les toits», garantit-il. «Mais il ne faut pas trop se voiler la face. L'argent fait aussi partie de ces raisons», témoigne-t-il. «La majorité des jeunes n'ont pas les moyens de gâter ces jeunes filles qui sont souvent issues de milieux défavorisés ou qui viennent de l'intérieur du pays. Elles se retrouvent ainsi attirées par l'argent facile», certifie-t-il. «Elles tombent vite dans le piège et n'arrivent plus à se détacher de ce matérialisme», soutient-il en donnant comme exemple la jeune fille qui l'accompagnait. Voilà donc que l'infidélité est en passe de devenir une maladie chronique en Algérie. Finie la polygamie classique, place à un nouveau genre beaucoup moins encombrant!
l'expression.
Une femme dans chaque port, c'est l'ordinaire du marin. Toutefois, cela est également devenu l'ordinaire de nombreux Algériens. En effet, avec les mutations qu'a connues la société algérienne ces dernières années, les histoires d'infidélité matrimoniale sont devenues monnaie courante.
Nombreux sont ceux qui mènent une double vie! Levons donc le tabou...Islem fait partie de cette catégorie. «Une maîtresse cachée, une liaison clandestine... Ah, le frisson du secret! Mener une double vie, c'est exaltant», assure-t-il avec un clin d'oeil qui en dit long sur ses «agissements». «Oui, je suis infidèle et je l'assume», nous confie-t-il avec assurance. La raison qui pousse Islem à être infidèle n'est autre que le goût de l'aventure. «Je ne supporte pas la monotonie de la vie. Je recherche donc de nouvelles sensations que seule l'infidélité peut me procurer», explique-t-il. Islem éprouve-t-il des remords par rapport à sa femme et ses filles?
«Absolument pas!», répond-il sèchement. «Tant qu'elles ne sont pas au courant, je ne leur fais pas de mal», ajoute-t-il sans aucune émotion. C'est pour cela qu'il dit s'efforcer à tout faire pour ne pas se faire débusquer. «C'est mon seul souci. Pour la culpabilité, j'estime qu'il vaut mieux que je sois infidèle que de divorcer et laisser tomber ma famille en les faisant souffrir ou, pire, en les battant...C'est ma vision des choses et je l'assume», assure-t-il. Le problème dans l'infidélité, réside dans les complications. Entre mensonge, culpabilité ou obligation -parfois- de choisir, la double vie n'est pas un long fleuve tranquille. Bien au contraire...L'histoire «hollywoodienne» de Nacim en est la meilleure preuve. Marié depuis plus de 15 ans, père de trois enfants, Nacim avait donc tout pour vivre heureux...Jusqu'au jour où il sombre de l'autre côté. «J'ai rencontré une fille plus jeune avec qui j'ai commencé à sortir, au début c'était juste un passe-temps. Je prenais soin d'elle, je l'entretenais, on sortait ensemble...ça me donnait l'impression d'être plus jeune», relate-t-il avec nostalgie. «Jusqu'au jour où les sentiments ont pris le dessus. J'ai alors décidé de l'épouser, mariage religieux vu que pour le mariage civil il me fallait soit divorcer, soit l'accord de ma première femme pour pouvoir épouser la seconde, ce qui était exclu...Elle n'était au courant de rien», poursuit-il avec amertume ce qui en disait long sur les retombées de son aventure de polygame.
Sans complexe dans les quartiers huppés...
Craquer, poser sa tête sur l'épaule de l'une pour avouer l'existence de l'autre, n'a-t-elle jamais été une tentation? «Ouallah que je ne simulais rien. J'étais le plus vrai possible, je les aime toutes les deux... en alternance. Quel est l'intérêt de se libérer un instant et de faire souffrir les autres pour longtemps? J'assumais ce que j'avais construit, c'est tout. J'ai toujours pensé que j'avais cette capacité de vivre plus intensément que les autres», répond-il convaincu. Quatre ans et deux bambins, sont passés après le deuxième mariage de Nacim pour que sa première femme découvre le pot aux roses. «J'ai réussi pendant quatre 4 ans à cacher à ma première femme que je m'étais remarié et que j'avais deux autres enfants. Je réussissais à lui dissimuler la vérité en lui trouvant des excuses pour mes absences répétées du domicile conjugale», révèle-t-il. Mais un jour, l'heure du choix est arrivée! «Le Karma s'est vengé de moi! Comme par un pur hasard, un cousin de ma première femme avait emménagé dans le quartier où j'avais loué un appartement à la seconde. Il a découvert ma deuxième vie conjugale et est allé illico le dire à sa cousine», raconte-t-il avec un air honteux. C'était donc pour Nacim le summum de l'humiliation. Mais il avoue que ce qui lui faisait le plus mal c'était la contrainte de faire un choix. «Je les aimais toutes les deux. Elles sont mes deux familles. Il m'était donc impossible de faire un choix!», atteste-t-il, les larmes aux yeux. Nacim choisit au début, la jeunesse, c'est-à-dire sa deuxième femme, mais voyant qu'il n'avait rien à lui offrir, vu que sa fortune lui venait de sa première femme, elle le laisse tomber aussi vite qu'ils se sont mis ensemble. Au final, il se retrouve seul après avoir gâché la vie de 7 personnes. «Les plus grands perdants ce sont mes enfants qui sont en train de payer mes erreurs, ceux d'un adulte qui a joué avec leurs mamans réciproques...», regrette-t-il. Les histoires d'Islem et de Nacim ne sont pas du tout des cas isolés. Il suffit de faire un petit tour dans les restaurants et les cafés des quartiers huppés de la capitale pour le comprendre très vite. Le quartier de Sidi Yahia sur les hauteurs d'Alger est le meilleur exemple. Les hommes «mûrs» s'affichent sans complexe avec leur minette. Il y en a même qui y viennent spécialement pour draguer. Mais qu'est-ce qui pousse vraiment ces hommes à l'infidélité? Le goût de l'aventure, la monotonie, comme c'est le cas pour Islem et Nacim? Ou y a-t-il d'autres raisons? Saïd, attablé à la terrasse d'un très beau resto BCBG avec Lila, se confie sans complexe. «Elle, c'est ma maîtresse. Elle est belle, non?», nous interroge-t-il devant la jeune fille rouge de honte qui s'était levée en faisant mine de téléphoner tellement elle ne savait plus où se mettre. «Les interdits, c'est toujours ce qu'il y'a de meilleur», invoque-t-il comme raison. «En plus, Lila, comme toutes les jeunes filles avec qui je sors, me redonne une seconde jeunesse. J'aime m'afficher au bras de ces jeunes créatures pendant les réceptions. Cela me donne un sentiment de réussite sociale», poursuit Saïd. Il avoue toutefois, que pendant toute sa jeunesse, aucune fille ne voulait de lui mis à part sa femme qui lui a été présentée par sa mère... «Regardez-la comment elle est bien gâtée par la nature, je sais très bien que ce n'est pas pour mes beaux yeux qu'elle est avec moi...mais pour mon argent. Mais que voulez-vous, ça marche comme ça!», nous signifie-t-il avant de faire signe à sa maîtresse de revenir à table, car ils venaient d'être servis.
Tromper demande du temps, mais surtout de l'argent
«La vie est d'un ennui! Si on ne la réinvente pas à chaque instant, elle nous assomme avec sa banalité. Et, comme tout le monde, je n'en ai qu'une, alors...», lance avec philosophie Krimo pour justifier ses infidélités. Eh bien alors, il ne va pas par quatre chemins pour en profiter. Les circonstances lui sont favorables. Homme d'affaires accompli, raffiné, séduisant et surtout très riche, ce quinquagénaire collectionne les conquêtes. «L'argent me permet de gâter mes copines...», admet-il en souriant. Et par gâter, il parle de beaux cadeaux, restaurants, voyages, soirées bien arrosées... «Il y a même qui vont jusqu'à acheter des voitures ou des appartements pour leurs maîtresses... Et j'en connais beaucoup», avoue t-il. «Les nouvelles résidences haut standing qui pullulent dans la capitale en sont l'exemple le plus concret. Les «infidèles» y louent ou y achètent des logements pour leurs dulcinées, cela leur permet d'être discrets...», révèle-t-il en parlant de ses «collègues» tout en soulignant qu'il n'avait pas atteint ce stade de double vie. L'argent est donc pour Krimo, l'élément essentiel pour pouvoir tromper sa femme. «En fait, l'infidélité, sans se faire prendre, est une question d'organisation assez facile à mettre en place, qui exige seulement d'importants moyens financiers», ironise-t-il. Toutefois, il tient à préciser que ce «sport» n'était pas exclusivement réservé aux nantis. «Il y a des personnes qui n'ont même pas les moyens de survivre et ils se permettent de tromper leurs femmes. Ils me dégoûtent. Je sais que je suis mal placé pour juger, mais moi au moins ma femme et mes enfants ne manquent de rien. Si je n'avais pas les moyens, je n'aurais jamais eu ces escapades», dénonce-t-il. En parlant des catégories de personnes qui s'adonnent à l'adultère, Krimo estime qu'il ne faut pas seulement les cataloguer par catégories sociales, mais également par sexe. «Comme pour les hommes, il y a aussi des femmes qui ont une double vie, mais elles sont moins nombreuses et très discrètes donc il vous sera difficile de les trouver», affirme-t-il en connaissance de cause... Mais la question que l'on se pose logiquement après ces témoignages est naturellement: «Quelles sont les raisons qui poussent ces jeunes filles à sortir avec des hommes mariés? C'est même une mode qui prend de plus en plus d'ampleur dans la société», avoue Hakim rencontré dans une parfumerie où il était en train d'offrir un parfum à sa maîtresse pour pouvoir sentir son odeur douce et sucrée, secrètement... «Pour moi, les jeunes filles sont attirées par les hommes mariés à cause du respect de nos vies parallèles et de la discrétion. Elles savent très bien que les hommes mariés n'iront pas crier leurs relations sur tous les toits», garantit-il. «Mais il ne faut pas trop se voiler la face. L'argent fait aussi partie de ces raisons», témoigne-t-il. «La majorité des jeunes n'ont pas les moyens de gâter ces jeunes filles qui sont souvent issues de milieux défavorisés ou qui viennent de l'intérieur du pays. Elles se retrouvent ainsi attirées par l'argent facile», certifie-t-il. «Elles tombent vite dans le piège et n'arrivent plus à se détacher de ce matérialisme», soutient-il en donnant comme exemple la jeune fille qui l'accompagnait. Voilà donc que l'infidélité est en passe de devenir une maladie chronique en Algérie. Finie la polygamie classique, place à un nouveau genre beaucoup moins encombrant!
l'expression.
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