Par défaut Ces femmes sont amoureuses de monuments !
Epouser la Statue de la Liberté, la Tour Eiffel ou se mettre en couple avec le mur de Berlin, c'est possible. Des femmes atteintes d'une pathologie sérieuse sont tout simplement amoureuses d'objets inanimés.
La Statue de la Liberté a maintenant un amant, une statue d’une divinité grecque a un petit ami et la Tour Eiffel et le mur de Berlin sont en couple. "The object sexuality or objectum sexuality" est une pathologie, qui n’a pas de réelle traduction en français mais qu’on pourrait traduire par objectophilie, d’une personne qui a des sentiments pour un objet inanimé. Elle est clairement amoureuse de cet objet mais ne dépend pas d’une activité sexuelle contrairement au fétichisme. Cela semble tout à fait bizarre pour le commun des mortels mais ce fait est totalement normal pour ces cinq femmes. Plongeons un peu plus dans leurs histoires d'amour.
Elle veut épouser la Statue de la Liberté
Nous vous avions déjà parlé de cette femme il y a quelques semaines tellement l’histoire était surprenante. Britannique de 27 ans, Amanda Whittaker, affirme avoir une passion démesurée pour la Statue de la Liberté. Citée par le Daily Mail, elle affirme que :"c'est ma maîtresse à distance. Je suis époustouflée par sa beauté". Une frénésie passionnelle qui ne semble pas avoir de limites puisque Amanda a carrément créé un sanctuaire dédié à la Statue de la Liberté et rempli des centaines de répliques miniatures. Depuis ce coup de foudre qui a résulté d’une photo prise par un ami, elle a traversé quatre fois l’Atlantique pour aller caresser les "cheveux" de ce monument et s'est même penchée sur une fenêtre pour l'embrasser. Elle surnomme sa maîtresse "Libby", et souhaiterait même se marier avec. On lui souhaite bon courage.
En couple avec une statue de pierre de moins d’un mètre
L’objet qu’affectionne Reighner Deleighnie est certainement plus petit qu’elle, mais pas plus animé. Habitante à Londres, Reighner Deleighnie est en couple avec une statue d’une divinité grecque du nom d’Adonis, amant d’Aphrodite. Elle l’a acheté pour 395 livres soit 478 euros. La statue de marbre qui fait moins d’un mètre est une partie de sa vie depuis les six derniers mois, et le "couple" est inséparable. Cette femme de 40 ans a souhaité nommé son compagnon de pierre Hans lorsqu’elle l’a ammené chez elle. Elle passe des heures à lire à Hans et le tient à proximité pendant qu'elle mange le dîner ou regarde la télé. Mais il y a plus étrange que cela, elle passe aussi du temps à l’embrasser et à le caresser. Dans son imagination, ils font même des promenades à travers les prairies ou à la mer. Mais Reighner Deleighnie ne sait pas encore si elle se mariera un jour avec Hans car elle n’est pas certaine si elle pourra lui être fidèle jusqu'au bout.
Erika La Tour Eiffel
Erika, une ancienne soldat de 37 ans, est non seulement tombée amoureuse de la Tour Eiffel, mais elle a épousé le monument en changeant juridiquement son nom de famille. La cérémonie intime a été suivie par une poignée d'amis en face de la Tour Eiffel à qui elle a promis d'aimer, honorer et de lui rester fidèle aussi longtemps qu'elle vivra. Tout cela semble parfaitement naturel pour elle. Cependant, ce n'est pas le premier amour avec un objet pour Mme La Tour Eiffel. Dans le passé, elle a assuré avoir eu une relation avec un arc nommé Lance mais aussi le mur de Berlin. Elle prétend également avoir eu une relation physique avec un morceau de clôture qu’elle a gardé dans sa chambre...
Le mur de Winther
Wall Winther est mariée à un autre monument en Europe qui est le mur de Berlin. Né Eija-Riita Eklaf, Wall Winther a, aussi, changé de nom. Elle décrit son état comme une orientation semblable à l’hétéro ou l'homosexualité. "Nous voyons les choses comme les êtres vivants", déclare la femme. Et il n’y a pas seulement le mur de Berlin qu’elle trouve beau, elle aime toutes sortes de constructions avec des lignes parallèles à savoir des clôtures, des ponts, des portes et même une guillotine.
Wall Winther a déclaré que quand elle avait à peine 7 ans, elle a vu le mur de Berlin achevé à la télévision, et c'était l'amour dès la première vue. Bien sûr, le lien est plus spirituel que juridique.
Une habitante de Seattle se marie avec un entrepôt
Nous vous en avions parlé il y a quelques mois sur Gentside, une femme a décidé de dire "Oui" à un vieil entrepôt âgé de 107 ans et menacé de démolition. Non Babylonia Aivaz n'a pas perdu la tête et n'envisage pas une lune de miel torride avec cet entrepôt. Ses épousailles sont avant tout un geste militant destiné à la lutte contre la destruction de ce bâtiment. Elle considère que "si les entreprises ont les mêmes droits que les humains, alors cela s'applique aussi aux bâtiments". Un raisonnement juridique imparable mais qui ne semble pas porter ses fruits. Une dizaine de grues s'activent toujours pour réduire la bâtisse à néant. Babylonia Aivaz risque donc de se retrouver veuve avant même que leur première année de mariage ne soit passée.
Mais il n’y a pas que des femmes qui soient amoureuses d’objets. Il y a voir même pire. Il y a quatre ans, un homme avait été surpris en train de "copuler" avec une voiture. Attention, la scène peut heurter la sensibilité des plus jeunes.
yahoo news
pinaise la moitié de l'humanité est composée d'homme et ces folles cherchent a épouser du béton
Epouser la Statue de la Liberté, la Tour Eiffel ou se mettre en couple avec le mur de Berlin, c'est possible. Des femmes atteintes d'une pathologie sérieuse sont tout simplement amoureuses d'objets inanimés.
La Statue de la Liberté a maintenant un amant, une statue d’une divinité grecque a un petit ami et la Tour Eiffel et le mur de Berlin sont en couple. "The object sexuality or objectum sexuality" est une pathologie, qui n’a pas de réelle traduction en français mais qu’on pourrait traduire par objectophilie, d’une personne qui a des sentiments pour un objet inanimé. Elle est clairement amoureuse de cet objet mais ne dépend pas d’une activité sexuelle contrairement au fétichisme. Cela semble tout à fait bizarre pour le commun des mortels mais ce fait est totalement normal pour ces cinq femmes. Plongeons un peu plus dans leurs histoires d'amour.
Elle veut épouser la Statue de la Liberté
Nous vous avions déjà parlé de cette femme il y a quelques semaines tellement l’histoire était surprenante. Britannique de 27 ans, Amanda Whittaker, affirme avoir une passion démesurée pour la Statue de la Liberté. Citée par le Daily Mail, elle affirme que :"c'est ma maîtresse à distance. Je suis époustouflée par sa beauté". Une frénésie passionnelle qui ne semble pas avoir de limites puisque Amanda a carrément créé un sanctuaire dédié à la Statue de la Liberté et rempli des centaines de répliques miniatures. Depuis ce coup de foudre qui a résulté d’une photo prise par un ami, elle a traversé quatre fois l’Atlantique pour aller caresser les "cheveux" de ce monument et s'est même penchée sur une fenêtre pour l'embrasser. Elle surnomme sa maîtresse "Libby", et souhaiterait même se marier avec. On lui souhaite bon courage.
En couple avec une statue de pierre de moins d’un mètre
L’objet qu’affectionne Reighner Deleighnie est certainement plus petit qu’elle, mais pas plus animé. Habitante à Londres, Reighner Deleighnie est en couple avec une statue d’une divinité grecque du nom d’Adonis, amant d’Aphrodite. Elle l’a acheté pour 395 livres soit 478 euros. La statue de marbre qui fait moins d’un mètre est une partie de sa vie depuis les six derniers mois, et le "couple" est inséparable. Cette femme de 40 ans a souhaité nommé son compagnon de pierre Hans lorsqu’elle l’a ammené chez elle. Elle passe des heures à lire à Hans et le tient à proximité pendant qu'elle mange le dîner ou regarde la télé. Mais il y a plus étrange que cela, elle passe aussi du temps à l’embrasser et à le caresser. Dans son imagination, ils font même des promenades à travers les prairies ou à la mer. Mais Reighner Deleighnie ne sait pas encore si elle se mariera un jour avec Hans car elle n’est pas certaine si elle pourra lui être fidèle jusqu'au bout.
Erika La Tour Eiffel
Erika, une ancienne soldat de 37 ans, est non seulement tombée amoureuse de la Tour Eiffel, mais elle a épousé le monument en changeant juridiquement son nom de famille. La cérémonie intime a été suivie par une poignée d'amis en face de la Tour Eiffel à qui elle a promis d'aimer, honorer et de lui rester fidèle aussi longtemps qu'elle vivra. Tout cela semble parfaitement naturel pour elle. Cependant, ce n'est pas le premier amour avec un objet pour Mme La Tour Eiffel. Dans le passé, elle a assuré avoir eu une relation avec un arc nommé Lance mais aussi le mur de Berlin. Elle prétend également avoir eu une relation physique avec un morceau de clôture qu’elle a gardé dans sa chambre...
Le mur de Winther
Wall Winther est mariée à un autre monument en Europe qui est le mur de Berlin. Né Eija-Riita Eklaf, Wall Winther a, aussi, changé de nom. Elle décrit son état comme une orientation semblable à l’hétéro ou l'homosexualité. "Nous voyons les choses comme les êtres vivants", déclare la femme. Et il n’y a pas seulement le mur de Berlin qu’elle trouve beau, elle aime toutes sortes de constructions avec des lignes parallèles à savoir des clôtures, des ponts, des portes et même une guillotine.
Wall Winther a déclaré que quand elle avait à peine 7 ans, elle a vu le mur de Berlin achevé à la télévision, et c'était l'amour dès la première vue. Bien sûr, le lien est plus spirituel que juridique.
Une habitante de Seattle se marie avec un entrepôt
Nous vous en avions parlé il y a quelques mois sur Gentside, une femme a décidé de dire "Oui" à un vieil entrepôt âgé de 107 ans et menacé de démolition. Non Babylonia Aivaz n'a pas perdu la tête et n'envisage pas une lune de miel torride avec cet entrepôt. Ses épousailles sont avant tout un geste militant destiné à la lutte contre la destruction de ce bâtiment. Elle considère que "si les entreprises ont les mêmes droits que les humains, alors cela s'applique aussi aux bâtiments". Un raisonnement juridique imparable mais qui ne semble pas porter ses fruits. Une dizaine de grues s'activent toujours pour réduire la bâtisse à néant. Babylonia Aivaz risque donc de se retrouver veuve avant même que leur première année de mariage ne soit passée.
Mais il n’y a pas que des femmes qui soient amoureuses d’objets. Il y a voir même pire. Il y a quatre ans, un homme avait été surpris en train de "copuler" avec une voiture. Attention, la scène peut heurter la sensibilité des plus jeunes.
yahoo news
pinaise la moitié de l'humanité est composée d'homme et ces folles cherchent a épouser du béton
Commentaire