Je pressens des sanglots ô Muse retenue
Par les plis de l' hijab et soieries du chevet
Chaleurs des voluptés la supplique pourvue
Au calice les pleurs musons loin du regret
L'image me souvient dans ce lit d'une vierge
A semblance de miel sa frimousse sans traits
Quand en douce saison je remontais la berge
Tout venant au profit lui porter les bienfaits
Le désir est étrange la nature audacieuse
Bourgeon d'or printanier je mirais le joyau
A me brûler la vue près l'alliance enjôleuse
Ces soirs de cris divins à l’orgueil du flambeau
Je parcours l’infini de tes attraits esclave
L’univers de ton temps aux senteurs en mon air
Le centre du désert ton oasis suave
Mes envies sans repos et les tiennes de pair
Suis-je d'impure caste à découpler le verbe
Le rendre si amer où ne suis qu'un mendiant
Venu gueuser en toi l'influence superbe
D'un langage en beauté et combien édifiant.
Source d'inspiration mon amante Berbère
De ton troublant émoi des larmes à présent
Sous l'ombre d'une rime en deçà le mystère
Pour ma plume comblée où fleurit ton accent.
Gerard Hartalrich Dit Artal
(avril 2012)
Par les plis de l' hijab et soieries du chevet
Chaleurs des voluptés la supplique pourvue
Au calice les pleurs musons loin du regret
L'image me souvient dans ce lit d'une vierge
A semblance de miel sa frimousse sans traits
Quand en douce saison je remontais la berge
Tout venant au profit lui porter les bienfaits
Le désir est étrange la nature audacieuse
Bourgeon d'or printanier je mirais le joyau
A me brûler la vue près l'alliance enjôleuse
Ces soirs de cris divins à l’orgueil du flambeau
Je parcours l’infini de tes attraits esclave
L’univers de ton temps aux senteurs en mon air
Le centre du désert ton oasis suave
Mes envies sans repos et les tiennes de pair
Suis-je d'impure caste à découpler le verbe
Le rendre si amer où ne suis qu'un mendiant
Venu gueuser en toi l'influence superbe
D'un langage en beauté et combien édifiant.
Source d'inspiration mon amante Berbère
De ton troublant émoi des larmes à présent
Sous l'ombre d'une rime en deçà le mystère
Pour ma plume comblée où fleurit ton accent.
Gerard Hartalrich Dit Artal
(avril 2012)
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