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Algérie : l’opposition s’organise et prépare une surprise avant le 10 mai

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  • Algérie : l’opposition s’organise et prépare une surprise avant le 10 mai

    Selon des informations sûres, l’opposition algérienne s’apprête à lancer une grande initiative politique et présenter une alternative au système en place. Des acteurs politiques, des organisations de la société civile ainsi que des citoyens, réunis autour d’un même constat, se sont entendus sur un texte commun. Celui ci porte sur un changement radical du système politique par des moyens pacifiques pour l’instauration d’un état de droit.

    Selon ces informations, une réunion (conférence) qui regroupera l’ensemble des initiateurs aura lieu avant le scrutin du 10 mai 2012 pour rendre public la démarche et les propositions détaillées qu’elle comporte. Un appel à la mobilisation générale des citoyens qui rejettent les pseudos- reformes et la mascarade électorale sera lancé à cette occasion.

    C’est un coup très dur pour le régime qui pensait avoir neutralisé l’opposition radicale et qui fait face à une menace très sérieuse d’un boycott massif des élections du 10 mai 2012. Nous reviendrons sur cette annonce avec des éléments nouveaux.

    Kalima
    Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

  • #2
    L'opposition a 22 jours pour rêver, le réveil sera dur le lendemain..
    Pas à la tique ..

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    • #3
      C’est un coup très dur pour le régime qui pensait avoir neutralisé l’opposition radicale et qui fait face à une menace très sérieuse d’un boycott massif des élections du 10 mai 2012. Nous reviendrons sur cette annonce avec des éléments nouveaux.
      LOL! comme dit l'autre!
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Kalima, c'est ce truc qui roule pour la peste ou le choléra déjà ?
        Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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        • #5
          Communiqué de presse

          INITIATIVE POUR UN CHANGEMENT DÉMOCRATIQUE EN ALGÉRIE

          Communiqué de presse

          Au lendemain de l’indépendance confisquée, à la suite du coup de force orchestré par le clan d’Oujda, contre le gouvernement provisoire (GPRA), les Algériennes et les Algériens ont été mis sous tutelle, qui allait se révéler aussi inexorable qu’elle était terrifiante.

          Une chape de plomb s’est inexorablement abattue sur un peuple qui pansait ses blessures après plus d’un siècle de colonisation.

          Il en est né un système de pouvoir occulte, adossé à une façade civile, en perpétuelle mutation, un triomphe du machiavélisme et du cynisme politique, qui lui permettront de neutraliser, de domestiquer et de réprimer toute tentative de remise en cause de l’ordre établi.

          Durant un demi-siècle, et à la veille du cinquantenaire du recouvrement de l’indépendance, même si le pouvoir apparent a souvent mué, le système prédateur et corrompu est resté intact. La force continue de supplanter le droit, et les aspirations des Algériennes et des Algériens à une vie digne sont toujours mises entre parenthèses.

          La résignation, la fatalité, la morosité, et la déception, faute de projet et de repères, ont enfoncé le pays tout entier dans une fuite éperdue en avant, et l’ont mené à l’impasse !

          Comment prétendre être fidèle aux idéaux de Novembre 54 devant l’absence de toute initiative politique appropriée, face à une démission érigée en statu quo, voire à une sorte de consensus rampant, entre des groupes qui ne représentent que des intérêts de clientèles et de parentèles, et qui se drapent d’idéologies trompeuses ?

          Nous sommes collectivement responsables de cette situation qui n’a que trop duré. Plus que salutaire, l’urgence d’imaginer un autre futur pour notre Algérie est devenue une question de survie, pour éviter le naufrage programmé de la nation.

          Face à cette situation extrêmement préoccupante, de nombreux citoyens impliqués dans la vie publique du pays, des acteurs politiques ainsi que des organisations politiques et de la société civile ont décidé de se rassembler et de s’organiser pour présenter une alternative au régime en place.

          Réunis par un même constat de la situation et un socle de valeurs communes, nous avons élaboré une plateforme politique dont les principes essentiels sont : un changement radical du système politique, par des moyens pacifiques, en vue de l’instauration d’un Etat de droit dont l’unité nationale et l’intégrité territoriale seront des fondements inaliénables. La plateforme porte également une vision et des propositions concrètes pour gérer la nécessaire période de transition.

          Nous lançons un appel à la mobilisation de tous les citoyen(ne)s conscient(e)s des périls qui menacent notre nation, qui rejettent les pseudo-réformes et la mascarade électorale en cours et qui aspirent à un véritable changement pacifique, loin de toute interférence étrangère.

          Nous appelons nos compatriotes à nous retrouver avant la supercherie électorale du 10 mai pour lancer publiquement cette initiative, afin de dépasser la crise et construire un Etat de droit à la hauteur des ambitions et des aspirations du peuple algérien.


          Fait le 16 avril 2012

          Pour le Comité de préparation : Abbas Aroua, Salah-Eddine Sidhoum
          Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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          • #6
            bigre !

            a quinze jour du scrutil les oppositionnistes se reveillent enfin et promettent du spectaculaire

            esperons maintenant qu'ils resteront encore eveillés les 4 prochaines années

            ce sera le temps qu'il le faudra pour nous proposer un programme electoral clair et chiffré, avec des propositions, des objectifs

            ils pourront aussi en profiter pour aller a la rencontre des electeurs, tenir des meetings electoraux et ainsi .... sortir enfin de leurs salons algerois

            d'ici la, ce genre de pitreries, on ne va pas y preter grande attention

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            • #7
              L’ancien premier secrétaire du FFS appelle au boycott

              DÉCLARATION

              En un demi-siècle d’indépendance, l’Algérie ne s’est jamais retrouvée dans une situation aussi incertaine que celle d’aujourd’hui.

              A la gestion catastrophique sur le plan interne s’ajoute la débâcle diplomatique et l’absence totale de vision stratégique. Le pouvoir donne l’impression de naviguer à vue, au gré de facteurs exogènes et ne se souciant guère de ce qui peut advenir du pays.

              C’est dans ce contexte lourd et complexe qu’intervient l’élection législative dans l’indifférence totale des citoyennes et citoyens, écrasés qu’ils sont par le poids d’un quotidien des plus insupportables.

              La crise a atteint un stade tel qu’elle n’autorise aucune complaisance. Elle nécessite un traitement global, radical et urgent. Le rendez-vous électoral du 10 mai prochain ne saurait répondre aux exigences du moment. Il ne servira tout au plus qu’à la consolidation du statu quo et risque de ce fait de plonger notre pays dans de nouveaux drames.

              Devant la dislocation de la cohésion de la société Algérienne, le seul souci du pouvoir reste le renforcement de sa propre cohésion par le partage de la rente et la généralisation de la corruption

              Il serait illusoire de croire à l’existence d’un parlement algérien ou que le système va changer à l’aune de la nouvelle assemblée.

              La surprenante participation du FFS, parti auquel nous demeurons très attachés, a généré incompréhension et inquiétude tant chez les citoyens que dans la base militante.

              Par fidélité à ses principes et fort du capital de sympathie dont il jouit auprès de l’opinion, le FFS doit se mettre au service exclusif de la construction démocratique.

              Toute instrumentalisation par un groupe ou un clan, quel qu’il soit, lui fera perdre inéluctablement sa crédibilité. Ce qui ne saurait nous réjouir.

              « Pour nous, à chaque liberté correspond une responsabilité et un devoir. Notre éthique politique nous contraint à un devoir de dignité, à un devoir de préservation de notre capital de sérieux, de crédibilité et de non compromission avec le système à l’occasion de leurres électoraux. Le 17 mai 2007 s’annonce déjà comme une messe qui fête ZAWADJ EL MOUTAA. » écrivait Monsieur Hocine AIT AHMED dans une de ses brillantes analyses.

              Ce qui était vrai en 2007, l’est encore plus aujourd’hui.

              Pour tout cela, nous lançons un appel sincère et pressant à l’ensemble des militantes et militants afin d’agir avec lucidité pour préserver ce formidable instrument de lutte qu’est le FFS de toute velléité de compromission.

              Ali KERBOUA : ancien premier secrétaire national du FFS

              Amri Makhlouf,
              Amokrane Lakhdar, Chemrouk Chabane,
              Messaoudi Belkacem, Brahimi
              Mohamed, Ramdani Salem, Melbouci
              Chérif, Mekhneche Aziz, Aït Ouali
              Boubekeur, Kaci Ramdane, Si Larbi
              Hanafi, Ouarab Youcef, Zouia Farid,
              Ibrahim Abdelkader, Oussaïd Abdelkader,
              Iskoumen Hamid et Benadda
              Zahar.

              17 avril 2012
              Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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              • #8
                La surprenante participation du FFS, parti auquel nous demeurons très attachés, a généré incompréhension et inquiétude tant chez les citoyens que dans la base militante.
                et moi je crois tres exactement le contraire

                c'est la base qui a averti et menacé la direction, la base a sifflé la fin de la recreation

                un parti de gouvernement doit aller aux elections, mener campagne, tenir des meetings, proposer son programme electoral, presenter des candidats, avoir des scrutateurs dans chaque bureau de vote depuis l'ouverture jusqu'a la signature du proces verbal de depouillement des bulletins

                voila ce que fait un parti qui veut se voir conferer democratiquement des responsabilités gouvernementales, en algerie comme partout ailleurs au monde

                20 ans plus tard, le temps du Haut Comité d'État est definitivement révolu, le gouvernement des salons algérois aussi, basta !

                on est en 2012 desormais, et les elections sont un imperatif non-negociable, et ceux qui ne veulent pas le comprendre en ces temps de printemps arabe risquent la sortie de route, direction les oubliettes

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                • #9
                  Encore ces blablabla de comités!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Je vois mal Un FIS un FFS ET un RCD ensembles.......................................
                  Les algeriens ,il vaut mieux etre avec eux que contre eux. Lucky Luciano

                  Commentaire


                  • #10
                    eh oui,
                    le temps du Haut Comité d'État est definitivement révolu, le gouvernement des salons algérois aussi, basta !

                    Commentaire


                    • #11
                      Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                      • #12
                        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

                        Commentaire


                        • #13
                          vite ! sauvons ces especes menacees ... elles sont deja eteintes au maroc et en tunisie, et en voie d'extinction chez nous

                          l'oppositionnausaure qui se croit encore dans les annees 1990 ..

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                          • #14
                            l’opposition s’organise et prépare une surprise
                            Que va nous apporter le père Noel ? Sérieusement, j'ai écouté les partis en lice, ils sont médiocres les uns comme les autres. Les nouveaux partis sont des larbins du système en place pour fausser les élections. La démocratie n’est pas pour demain. Le pouvoir, sous pression des révoltes arabes, veut se donner bonne figure à l’extérieur. Ces élections ne sont pas pour les citoyens algériens, Ouyahia l’a dit: "Ils nous attendent au tournant" (référence aux pays étrangers).
                            Dernière modification par shadok, 21 avril 2012, 14h23.
                            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                            • #15
                              Envoyé par shadok
                              ...Ces élections ne sont pas pour les citoyens algériens, Ouyahia l’a dit: "Ils nous attendent au tournant" (référence aux pays étrangers).
                              Mais à quand donc le réveil citoyen ?

                              P.

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