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L’un des articles les plus lus sur le site du quotidien espagnol El Pais s’intitule « Les 15 minutes de la Reine ». C’est un papier d’information qui relate les relations entre le roi et la reine d’Espagne, leur histoire commune, leur « professionnalisme » et leur séparation effective, mais non officielle.
Au détour d’une phrase, on découvre que le roi d’Espagne, Juan Carlos 1er, le tonton du roi du Maroc, était « en compagnie d’autres personnes » quand il a eu son fameux accident au Botswana.
El Pais, fidèle à sa discrétion habituelle quand il s’agit du roi d’Espagne, n’en dit pas plus.
Mais ce n’est pas le cas de l’autre presse, c’est-à-dire de celle qui fait fi de ce que peut dire ou ne pas dire le cabinet royal espagnol. En Espagne, le roi n’est pas un tyran en babouches, il est certes respecté, mais il n’est pas craint. Et, il n’a aucune autorité sur les services secrets ou le gouvernement.
Juan Carlos est représentatif, mais pas exécutif.
C’est ainsi qu’on a appris que la « compagnie » du roi Juan Carlos au Botswana s’appelle Corinna zu Sayn-Wittgenstein, qu’elle a 47 ans et qu’elle est passée du statut d’« amie » du roi à celui d’« amante ».
Belle blonde élégante aux goûts raffinés, cette Allemande a mis la Zarzuela, le modeste palais royal espagnol, sens dessus dessous.
C’est le très sérieux journal italien La Stampa qui a été le premier à vendre la mèche. Dans un article signé Gian Antonio Orighi, ce dernier lève le voile sur cette liaison qui, dit-on, exaspère au plus haut point le prince héritier Felipe.
« En Espagne, il y a deux reines : l’officielle Sofia, 73 ans, mariée avec le roi Juan Carlos depuis 1962 ; et l’officieuse, la provocante et blonde princesse Corinna zu Sayn-Wittgenstein, de 46 ans, séparée et amante depuis quatre ans du souverain le plus tombeur de femmes d’Europe.
Corinna Larson, son roturier nom de jeune fille, est née à Ditzingen, et son sang est devenu bleu après son second mariage, en 2000, avec le prince Casimir zu Sayn-Wittgenstein. Elle vit à Madrid avec ses deux filles depuis quelques années. C’est l’aristocrate qui accompagne le roi dans ses voyages officiels et elle le représente même à l’étranger ».
La Casa Real, disons le cabinet royal espagnol, a vite faite de démentir telle assertion. Mais aucun Mohamed Mounir Majidi ibérique n’a demandé à la DST hispanique d’arrêter et de torturer le journaliste italien auteur de ces révélations.
Pourtant, le journal arabe Middle East Times International a confirmé qu’un prince saoudien « avait reçu en 2007 la princesse Corinna, amie très proche de don Juan Carlos, comme représentante du roi ».
Même le très ancien et très monarchique quotidien espagnol ABC va de sa petite méchanceté en publiant la semaine dernière, sous la plume de son ex-directeur José Antonio Zarzalejos, que ce qui se passe entre le roi et Corinna est une « étroite et intime amitié », puis il a ajouté que depuis que les « problèmes familiaux » s’accumulent autour du gentil roi d’Espagne « il est de notoriété publique (…) l’échec de son mariage avec doña Sofia dont il vit pratiquement séparé »
De là à aller faire des galipettes en Afrique avec une belle blonde il n’y avait qu’un pas qui a été vite franchi par ce bon roi péninsulaire qui vient de mettre ainsi sa monarchie en équation.
Chez nous, d’autres types de jeux sexuels, avec des bouteilles notamment, sont pratiqués chaque jour dans certaines caves insonorisées de la banlieue de Rabat, sans que pour autant cela ne mette en danger les membres d’une autre monarchie dont l’ascendance remonte, dit-on, au prophète Mohamed.
La vie est injuste !
Thami Afailal
demainonline
Au détour d’une phrase, on découvre que le roi d’Espagne, Juan Carlos 1er, le tonton du roi du Maroc, était « en compagnie d’autres personnes » quand il a eu son fameux accident au Botswana.
El Pais, fidèle à sa discrétion habituelle quand il s’agit du roi d’Espagne, n’en dit pas plus.
Mais ce n’est pas le cas de l’autre presse, c’est-à-dire de celle qui fait fi de ce que peut dire ou ne pas dire le cabinet royal espagnol. En Espagne, le roi n’est pas un tyran en babouches, il est certes respecté, mais il n’est pas craint. Et, il n’a aucune autorité sur les services secrets ou le gouvernement.
Juan Carlos est représentatif, mais pas exécutif.
C’est ainsi qu’on a appris que la « compagnie » du roi Juan Carlos au Botswana s’appelle Corinna zu Sayn-Wittgenstein, qu’elle a 47 ans et qu’elle est passée du statut d’« amie » du roi à celui d’« amante ».
Belle blonde élégante aux goûts raffinés, cette Allemande a mis la Zarzuela, le modeste palais royal espagnol, sens dessus dessous.
C’est le très sérieux journal italien La Stampa qui a été le premier à vendre la mèche. Dans un article signé Gian Antonio Orighi, ce dernier lève le voile sur cette liaison qui, dit-on, exaspère au plus haut point le prince héritier Felipe.
« En Espagne, il y a deux reines : l’officielle Sofia, 73 ans, mariée avec le roi Juan Carlos depuis 1962 ; et l’officieuse, la provocante et blonde princesse Corinna zu Sayn-Wittgenstein, de 46 ans, séparée et amante depuis quatre ans du souverain le plus tombeur de femmes d’Europe.
Corinna Larson, son roturier nom de jeune fille, est née à Ditzingen, et son sang est devenu bleu après son second mariage, en 2000, avec le prince Casimir zu Sayn-Wittgenstein. Elle vit à Madrid avec ses deux filles depuis quelques années. C’est l’aristocrate qui accompagne le roi dans ses voyages officiels et elle le représente même à l’étranger ».
La Casa Real, disons le cabinet royal espagnol, a vite faite de démentir telle assertion. Mais aucun Mohamed Mounir Majidi ibérique n’a demandé à la DST hispanique d’arrêter et de torturer le journaliste italien auteur de ces révélations.
Pourtant, le journal arabe Middle East Times International a confirmé qu’un prince saoudien « avait reçu en 2007 la princesse Corinna, amie très proche de don Juan Carlos, comme représentante du roi ».
Même le très ancien et très monarchique quotidien espagnol ABC va de sa petite méchanceté en publiant la semaine dernière, sous la plume de son ex-directeur José Antonio Zarzalejos, que ce qui se passe entre le roi et Corinna est une « étroite et intime amitié », puis il a ajouté que depuis que les « problèmes familiaux » s’accumulent autour du gentil roi d’Espagne « il est de notoriété publique (…) l’échec de son mariage avec doña Sofia dont il vit pratiquement séparé »
De là à aller faire des galipettes en Afrique avec une belle blonde il n’y avait qu’un pas qui a été vite franchi par ce bon roi péninsulaire qui vient de mettre ainsi sa monarchie en équation.
Chez nous, d’autres types de jeux sexuels, avec des bouteilles notamment, sont pratiqués chaque jour dans certaines caves insonorisées de la banlieue de Rabat, sans que pour autant cela ne mette en danger les membres d’une autre monarchie dont l’ascendance remonte, dit-on, au prophète Mohamed.
La vie est injuste !
Thami Afailal
demainonline
J'adore ce genre de phrase .... tellement correcte
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