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Les moyens utilisés par les candidats durant la campagne évoqués par la presse nationale

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  • Les moyens utilisés par les candidats durant la campagne évoqués par la presse nationale

    El Chourouk el Yaoumi a titré sur sa une "Les moyens de l’état sont utilisés par les candidats en lice et le chef de l’état doit intervenir pour sauver le scrutin".

    Dans un entretien accordé au même quotidien, le président de la commission nationale pour la surveillance des élections, Mohamed Seddiki a lancé un appel au chef de l’état pour "sauver les élections de mai prochain" de ce qu’il a qualifié "d’utilisateurs des moyens de l’état dans la campagne électorale".

    Le quotidien El Fedjr, s’est également intéressé à cette question, mais sous un autre angle, celui de "l’utilisation des lieux de culte durant la campagne électorale". Dans une déclaration à El Fedjr, le ministre des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah, a expliqué que l’utilisation de la mosquée (bien de l’état) est "un délit puni par la loi ", afin de barrer la route à ceux qui "utilisent la religion pour stimuler les candidats".

    Selon le rapporteur de la Cnisel, les recours portant sur l’utilisation des moyens de l’Etat par certains candidats "se comptent par dizaines", a écrit également l’Expression, qui continue plutôt de s’intéresser à l’indifférence affichée par les citoyens et à la "phobie de l’abstention".

    "Candidats cherchent électeurs, la pêche aux voix à tout prix", écrit l’Expression. L’auteur de l’article a souligné que "l’abstention est l’ennemi implacable tant redouté par l’ensemble des partis qui se sont engagés dans la course au palais Zirout Youcef". Dans ce même article, l’auteur souligne que même si les animateurs des meetings arrivent dans leur majorité "à faire salle comble, rien ne garantit que les électeurs se rendront massivement aux urnes dans moins de vingt jours".

    Dans son éditorial titré "La mayonnaise n’a pas pris", liberté a souligné qu’après une semaine de campagne, les citoyens qui sont "en divorce consommé avec les mise en scène électorales" affichent "une indifférence royale".

    "Après une semaine de campagne sans relief, des chefs de partis changent de fusil d’épaule", est le titre d’un article qu’on peut lire dans le quotidien Algérie News. Selon son auteur, après une semaine de campagne électorale marquée par "la monotonie et la platitude dans le discours", les leaders des principaux partis en lice ont décidé "de troquer leurs tenues d’apparat pour un langage réaliste et accessible au peuple".

    "Devant des citoyens confrontés à la cherté de la vie et qui n’ont pas la tête aux élections, les chefs de partis ont compris qu’ils doivent se montrer plus agressifs en recourant à un langage plus terre à terre", ajoute l’auteur de l’article.

    "La campagne électorale a bouclé sa première semaine, dans une ambiance relativement calme", écrit El Moudjahid, tandis que le quotidien Echaab s’est penché sur le manque d’organisation et le non-respect par les candidats des règles d’affichages.

    Le quotidien El Djazair News a rapporté dans un article que "80% des meetings prévus dans la wilayas de Tizi-Ouzou sont annulés à cause du manque d’engouement des habitants de cette région.

    APS

  • #2
    Je ne sais pas si le manque d'engouement des algériens au meeting des partis dénote quelques chose. Les positions et les discours des anciens partis sont connues de tous, et les nouveau partis créés en moins deux mois sont principalement des opportunistes qui promettent terre et ciel. En plus la majorité de partis sont pour le programme du président ... donc pas de surprise pas d'excitation des électeurs.

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