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Un cheikh salafiste marocain compare la France à des « toilettes »
Un cheikh salafiste marocain compare la France à des « toilettes »
Comparer la France à des toilettes, qui l’aurait cru ? Et pourtant, Omar Al Haddouchi, le prédicateur salafiste, libéré récemment de prison, l’a fait. Dans un message audio adressé à ses « frères musulmans » résidant en France, le cheikh marocain n’a pas hésité à comparer la France, « pays de mécréants », à des toilettes où « le musulman doit faire ses besoins et en ressortir » le plus tôt possible. « Y-a-t-il quelqu’un qui peut habiter dans des toilettes ? La réponse est non », a-t-il ajouté.
Omar Al Haddouchi, leader du mouvement extrémiste de la Salafiya Jihadia, faisait partie des 458 ayant bénéficié de la grâce royale, sous l’ère de Mustapha Ramid, le 5 février dernier. Reconnu coupable pour son implication dans les attentats de mai 2003 de Casablanca, le prédicateur devait initialement purgeait une peine de 30 ans de prison ferme. A sa sortie de prison, Haddouchi avait même sollicité, en vain, la libération de 900 autres de ses compagnons salafistes restés derrière les barreaux.
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la vidéo en question :
Comparer la France à des toilettes, qui l’aurait cru ? Et pourtant, Omar Al Haddouchi, le prédicateur salafiste, libéré récemment de prison, l’a fait. Dans un message audio adressé à ses « frères musulmans » résidant en France, le cheikh marocain n’a pas hésité à comparer la France, « pays de mécréants », à des toilettes où « le musulman doit faire ses besoins et en ressortir » le plus tôt possible. « Y-a-t-il quelqu’un qui peut habiter dans des toilettes ? La réponse est non », a-t-il ajouté.
Omar Al Haddouchi, leader du mouvement extrémiste de la Salafiya Jihadia, faisait partie des 458 ayant bénéficié de la grâce royale, sous l’ère de Mustapha Ramid, le 5 février dernier. Reconnu coupable pour son implication dans les attentats de mai 2003 de Casablanca, le prédicateur devait initialement purgeait une peine de 30 ans de prison ferme. A sa sortie de prison, Haddouchi avait même sollicité, en vain, la libération de 900 autres de ses compagnons salafistes restés derrière les barreaux.
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