L’Administration centrale s’endette de plus en plus auprès du système bancaire. A fin février (derniers chiffres disponibles), l’encours de la dette s’élève à 115 milliards de DH, en progression de 30% par rapport au même mois de 2011.
Bank Al-Maghrib ne détient qu’un petit milliard de DH de créances sur l’Etat, étant donné que ses statuts lui interdisent depuis 2005 de prêter au Trésor. Ainsi, la quasi-totalité de la dette est détenue par des établissements bancaires, dont plus des trois quarts sous forme de titres (bons du Trésor), le reste étant sous forme de crédits bancaires classiques.
Avec l’envolée attendue des charges de compensation au courant de cette année, cet endettement risque d’augmenter significativement durant les prochains mois.
La Vie éco
Bank Al-Maghrib ne détient qu’un petit milliard de DH de créances sur l’Etat, étant donné que ses statuts lui interdisent depuis 2005 de prêter au Trésor. Ainsi, la quasi-totalité de la dette est détenue par des établissements bancaires, dont plus des trois quarts sous forme de titres (bons du Trésor), le reste étant sous forme de crédits bancaires classiques.
Avec l’envolée attendue des charges de compensation au courant de cette année, cet endettement risque d’augmenter significativement durant les prochains mois.
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