Contes de Berbérie et du monde
Des contes et légendes de notre enfance
C’est un livre fort plaisant que celui qu’a écrit Ounissi Mohamed Salah intitulé Contes de Berbérie et du monde (Tinfusin s’tmazgh a d umadal). Divisé en trois parties d’inégales longueurs portant chacune un titre évocateur (Contes du temps où parlaient les animaux, Contes de la grand-mère berbère, Contes magiques de lointains pays, ce livre nous donne à savourer en amazigh et en français de succulentes histoires qui nous rappellent les veillées d’antan au coin du feu.
Animaux, hommes, ogres, fées... défilent devant nous pour nous enseigner à être humain. Le méchant est battu à plate couture par le bon, le mal par le bien. L’auteur a écrit aussi ce livre pour nous permettre de jeter un regard sur l’homme berbère, car ces contes, quelle que soit leur véritable origine, ont tous été pétri à la pâte berbère.
On voit évoluer devant nous des personnages qui nous ressemblent par leurs travers et leurs vertus. D’ailleurs, l’auteur nous fait redécouvrir l’Amazigh chez lui, dans la rudesse de son environnement, dans la simplicité de sa vie quotidienne, dans la limpidité de son âme, dans la naïveté de sa croyance, dans sa sincérité débordante, dans son sens du civisme déjà très développé, dans son contact facile avec son environnement, dans son indépendance avec la nature dans laquelle il vit et avec laquelle il vit. Nous retrouvons dans ces contes une sagesse, une expérience et un savoir-faire qui témoignent de la grandeur de cet homme qui a toujours dominé son monde.
Ce livre enrichi d’un glossaire amazigh-français est à lire absolument pour se retremper dans le monde féérique de nos anciens.
Boualem B.
Des contes et légendes de notre enfance
C’est un livre fort plaisant que celui qu’a écrit Ounissi Mohamed Salah intitulé Contes de Berbérie et du monde (Tinfusin s’tmazgh a d umadal). Divisé en trois parties d’inégales longueurs portant chacune un titre évocateur (Contes du temps où parlaient les animaux, Contes de la grand-mère berbère, Contes magiques de lointains pays, ce livre nous donne à savourer en amazigh et en français de succulentes histoires qui nous rappellent les veillées d’antan au coin du feu.
Animaux, hommes, ogres, fées... défilent devant nous pour nous enseigner à être humain. Le méchant est battu à plate couture par le bon, le mal par le bien. L’auteur a écrit aussi ce livre pour nous permettre de jeter un regard sur l’homme berbère, car ces contes, quelle que soit leur véritable origine, ont tous été pétri à la pâte berbère.
On voit évoluer devant nous des personnages qui nous ressemblent par leurs travers et leurs vertus. D’ailleurs, l’auteur nous fait redécouvrir l’Amazigh chez lui, dans la rudesse de son environnement, dans la simplicité de sa vie quotidienne, dans la limpidité de son âme, dans la naïveté de sa croyance, dans sa sincérité débordante, dans son sens du civisme déjà très développé, dans son contact facile avec son environnement, dans son indépendance avec la nature dans laquelle il vit et avec laquelle il vit. Nous retrouvons dans ces contes une sagesse, une expérience et un savoir-faire qui témoignent de la grandeur de cet homme qui a toujours dominé son monde.
Ce livre enrichi d’un glossaire amazigh-français est à lire absolument pour se retremper dans le monde féérique de nos anciens.
Boualem B.
Commentaire