La vache et le zèbre
Au jour venu des vies
la terre longtemps se fit
plusieurs voies parvenues
à leurs cris entendus
que de tâches
et que de lignes,
sur ces grands verts
ou ces longs déserts
chacun de son couloir
pâture à bon vouloir
d’un arbre et d’une histoire
sans jamais se voir
et, du ciel moins démunis,
des ailes paraissent copies,
jusque leurs dos,
jusque leurs os,
pourtant, les unes valaient,
et bien sûr, les uns couraient,
plus ou moins satisfaits,
chacun souvent se l’entendait,
fut-il encore repos céans
au bord de l’eau gardant,
plus d’aventures communes
aux sols sachant fortune,
tant de tâches
et tant de lignes,
sont cet univers
dont chacun ne se perd
des couleurs naturelles
aux noirceurs éternelles
la vie parfois s’écrit
d’ensembles choisis…H.R.
Salam, merci…
Au jour venu des vies
la terre longtemps se fit
plusieurs voies parvenues
à leurs cris entendus
que de tâches
et que de lignes,
sur ces grands verts
ou ces longs déserts
chacun de son couloir
pâture à bon vouloir
d’un arbre et d’une histoire
sans jamais se voir
et, du ciel moins démunis,
des ailes paraissent copies,
jusque leurs dos,
jusque leurs os,
pourtant, les unes valaient,
et bien sûr, les uns couraient,
plus ou moins satisfaits,
chacun souvent se l’entendait,
fut-il encore repos céans
au bord de l’eau gardant,
plus d’aventures communes
aux sols sachant fortune,
tant de tâches
et tant de lignes,
sont cet univers
dont chacun ne se perd
des couleurs naturelles
aux noirceurs éternelles
la vie parfois s’écrit
d’ensembles choisis…H.R.
Salam, merci…