L’égoïsme fait partie de ce que l’on appelle communément un "défaut", autrement dit un problème dans la manière de se comporter. Le plus souvent, on attribue l’égoïsme à un amour exagéré pour soi-même, un amour tel qu’il n’y aurait pas de place pour qui que ce soit d'autre. Si la personne égoïste semble effectivement ne s’intéresser qu’à elle-même, peut-on dire pour autant qu’elle s’aime trop ?
L’égoïste est essentiellement préoccupé de lui-même ; ses choix, ses activités, ses relations convergent vers un même but : ramener tout à soi, s’approprier ce qui lui semble plaisant ; il ne tient compte ni du monde, ni des intérêts extérieurs, ne se soucie pas des autres et organise sa vie pour ne pas être dérangé. S’il entre en relation avec certaines personnes, c’est qu’il pense pouvoir en tirer quelque chose : du prestige, des avantages, du plaisir…Le petit monde de l’égoïste
L’égoïste vit en circuit fermé ; il est comme empêché de voir et d’entendre ce qui ne le concerne pas personnellement ; le monde, c’est lui, le reste est ignoré !
Il est peu satisfait de sa vie et souvent solitaire (égoïsme et "célibat endurci" font bon ménage), soit par choix, soit par force. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a tendance à lasser son entourage !
Les racines de l’égoïsme et de l’amour de soi semblent liées à un attachement plus ou moins pathologique à une image périmée de soi-même, celle de "l’enfant merveilleux", à qui rien ne doit jamais manquer.
Cela vous interpelle quelque part ? La parole est à vous…
L’égoïste est essentiellement préoccupé de lui-même ; ses choix, ses activités, ses relations convergent vers un même but : ramener tout à soi, s’approprier ce qui lui semble plaisant ; il ne tient compte ni du monde, ni des intérêts extérieurs, ne se soucie pas des autres et organise sa vie pour ne pas être dérangé. S’il entre en relation avec certaines personnes, c’est qu’il pense pouvoir en tirer quelque chose : du prestige, des avantages, du plaisir…Le petit monde de l’égoïste
L’égoïste vit en circuit fermé ; il est comme empêché de voir et d’entendre ce qui ne le concerne pas personnellement ; le monde, c’est lui, le reste est ignoré !
Il est peu satisfait de sa vie et souvent solitaire (égoïsme et "célibat endurci" font bon ménage), soit par choix, soit par force. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a tendance à lasser son entourage !
Les racines de l’égoïsme et de l’amour de soi semblent liées à un attachement plus ou moins pathologique à une image périmée de soi-même, celle de "l’enfant merveilleux", à qui rien ne doit jamais manquer.
Cela vous interpelle quelque part ? La parole est à vous…
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