Birame brûle les livres de référence du Malékisme en Mauritanie
Nouakchott, 28 avril (MauriMedia) —
Lors d’un rassemblement de ses partisans dans la Moughataa de Riyadh hier vendredi à l’heure de la prière, l’activiste Birame Ould Dah Ould Abeidy a dénoncé une fois de plus ce qu’il appelle « la version locale de l’Islam », c’est-à-dire le rite Malékite qui est l’Ecole islamique à laquelle appartient la majorité des mauritaniens, et des africains du Nord et de l’Ouest de façon générale.
Il a accusé cette « version locale de l’Islam » et les érudits mauritaniens de légaliser et légitimer l’esclavage en Mauritanie et d’être eux-mêmes des « esclavagistes ».
Birame Ould Dah a ensuite attaqué les livres de référence du Malékisme, que les mauritaniens connaissent et apprennent, dont notamment les œuvres majeures de Khalil Ibn Ishaq et de Abdel Wahid Ibn ’Achir. Birame a ensuite brûlé ces livres et a indiqué que cet autodafé se reproduira partout en Mauritanie, selon un programme établi par son organisation, IRA-Mauritanie.
Nouakchott, 28 avril (MauriMedia) —
Lors d’un rassemblement de ses partisans dans la Moughataa de Riyadh hier vendredi à l’heure de la prière, l’activiste Birame Ould Dah Ould Abeidy a dénoncé une fois de plus ce qu’il appelle « la version locale de l’Islam », c’est-à-dire le rite Malékite qui est l’Ecole islamique à laquelle appartient la majorité des mauritaniens, et des africains du Nord et de l’Ouest de façon générale.
Il a accusé cette « version locale de l’Islam » et les érudits mauritaniens de légaliser et légitimer l’esclavage en Mauritanie et d’être eux-mêmes des « esclavagistes ».
Birame Ould Dah a ensuite attaqué les livres de référence du Malékisme, que les mauritaniens connaissent et apprennent, dont notamment les œuvres majeures de Khalil Ibn Ishaq et de Abdel Wahid Ibn ’Achir. Birame a ensuite brûlé ces livres et a indiqué que cet autodafé se reproduira partout en Mauritanie, selon un programme établi par son organisation, IRA-Mauritanie.
Commentaire