Défendre le bilan d’un parti au pouvoir depuis…50 ans n’est assurément pas une chose facile. C’ést en tout cas celle*que s’est donnée le*secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem en déplacement aujourd’hui à Béjaïa.
C’est le bâtonnier de Béjaïa et tête de liste du parti dans la wilaya, Driss Abderrahamne qui est le premier à prendre la parole: «*Nous on ne parle jamais des autres partis politiques, on ne critique pas les autres partis politiques*», déclare le bâtonnier de Bejaïa et tête de liste du FLN dans la capitale des Hammadites. Une déclaration qui étonnera *plus d’un. La politique n’est-elle pas aussi*basée sur la critique des autres partis et de leurs programmes*?
Abdelaziz Belkhadem en vieux routard de la politque, a*vite compris l’erreur de son collègue qu’il se presse de rectifier dès qu’il prend la parole*:*«*Le FLN n’insulte pas les autres partis*», déclare-t.il avant d’ajouter*:*«*Notre parti n’a pas eu son agrément de *la part du ministère de l’intérieur ou de la part *d’un groupe de personnes, le FLN a eu son agrément à la Soummam*», lance-t-il.
Le secrétaire général du FLN revient ensuite sur le bilan de son parti, depuis… l’indépendance, un bilan qui est d’aileurs trés loin de la réalité. Pour lui, le bilan n’est pas du tout négatif bien au contraire*:*«*Nous n’avons pas échoué*», lance-t-il.
Belkhadem refuse les arguments de ceux qui voient dans l’Algérie un pays endetté avec une économie instable*:*«* Aujourd’hui c’est le FMI qui demande à l’Algérie de lui prêter de l’argent*», dit-il.* Un constat qui fera, sans doute réagir les différentes classes sociales à Béjaia, qui multiplient les grèves et les protestations pour demander un salaire respectable ou une retraite décente.
Le secrétaire général du FLN est aussi*revenu sur la menace extérieure durant ce climat du printemps arabe*: «*Ce n’est pas pour les beaux yeux des Tunisiens et des Libyens que l’OTAN a intervenu dans ces pays-là*», dit-il tout en affirmant que son parti est contre la violence* et que les Algériens ont vécu la décennie noire et ne doivent pas retomber dans la violence. Pour lui, le 10 mai prochain présente une alternative pour un changement sans violence, insinue-t-il.
«*Voter le 10 mai est un acte citoyen et une réponse aux autres qui veulent que l’Algérie trébuche*», dit-il en*prétendant que le président Bouteflika a laissé la reforme constitutionnelle aux soins de la prochaine assemblée*: «* Vous allez voter sur des personnes* qui vont préparer une reforme constitutionnelle pour les dix années à venir*», dit-il.
Le candidat désavoué du FLN achève son discours en réaffirmant que son parti veut *donner la possibilité aux jeunes diplômés, aux jeunes générations d’accéder a des postes de responsabilité. Un discours qui a sonné comme une redite dans les oreilles des Bédjaouis.
Une chose est sure, Blekhadem a donné l’air d’ignorer complétement la situation chaotique*que vit*la wilaya de Béjaia, des fermetures des routes, de la corruption, du chomage,*de la pauvreté et des droits bafoués des citoyens, quasiment au quotidien.*Cette situation qui est d’ailleurs un résultat de la politique de l’Alliance présidentielle dont le FLN fait partie.
Béjaia aujourd'hui
C’est le bâtonnier de Béjaïa et tête de liste du parti dans la wilaya, Driss Abderrahamne qui est le premier à prendre la parole: «*Nous on ne parle jamais des autres partis politiques, on ne critique pas les autres partis politiques*», déclare le bâtonnier de Bejaïa et tête de liste du FLN dans la capitale des Hammadites. Une déclaration qui étonnera *plus d’un. La politique n’est-elle pas aussi*basée sur la critique des autres partis et de leurs programmes*?
Abdelaziz Belkhadem en vieux routard de la politque, a*vite compris l’erreur de son collègue qu’il se presse de rectifier dès qu’il prend la parole*:*«*Le FLN n’insulte pas les autres partis*», déclare-t.il avant d’ajouter*:*«*Notre parti n’a pas eu son agrément de *la part du ministère de l’intérieur ou de la part *d’un groupe de personnes, le FLN a eu son agrément à la Soummam*», lance-t-il.
Le secrétaire général du FLN revient ensuite sur le bilan de son parti, depuis… l’indépendance, un bilan qui est d’aileurs trés loin de la réalité. Pour lui, le bilan n’est pas du tout négatif bien au contraire*:*«*Nous n’avons pas échoué*», lance-t-il.
Belkhadem refuse les arguments de ceux qui voient dans l’Algérie un pays endetté avec une économie instable*:*«* Aujourd’hui c’est le FMI qui demande à l’Algérie de lui prêter de l’argent*», dit-il.* Un constat qui fera, sans doute réagir les différentes classes sociales à Béjaia, qui multiplient les grèves et les protestations pour demander un salaire respectable ou une retraite décente.
Le secrétaire général du FLN est aussi*revenu sur la menace extérieure durant ce climat du printemps arabe*: «*Ce n’est pas pour les beaux yeux des Tunisiens et des Libyens que l’OTAN a intervenu dans ces pays-là*», dit-il tout en affirmant que son parti est contre la violence* et que les Algériens ont vécu la décennie noire et ne doivent pas retomber dans la violence. Pour lui, le 10 mai prochain présente une alternative pour un changement sans violence, insinue-t-il.
«*Voter le 10 mai est un acte citoyen et une réponse aux autres qui veulent que l’Algérie trébuche*», dit-il en*prétendant que le président Bouteflika a laissé la reforme constitutionnelle aux soins de la prochaine assemblée*: «* Vous allez voter sur des personnes* qui vont préparer une reforme constitutionnelle pour les dix années à venir*», dit-il.
Le candidat désavoué du FLN achève son discours en réaffirmant que son parti veut *donner la possibilité aux jeunes diplômés, aux jeunes générations d’accéder a des postes de responsabilité. Un discours qui a sonné comme une redite dans les oreilles des Bédjaouis.
Une chose est sure, Blekhadem a donné l’air d’ignorer complétement la situation chaotique*que vit*la wilaya de Béjaia, des fermetures des routes, de la corruption, du chomage,*de la pauvreté et des droits bafoués des citoyens, quasiment au quotidien.*Cette situation qui est d’ailleurs un résultat de la politique de l’Alliance présidentielle dont le FLN fait partie.
Béjaia aujourd'hui
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