Un homme aurait forcé son épouse à faire l'amour le soir de leur cérémonie de mariage. Elle s'était refusée à lui car elle avait trop bu.
Étonnant procès que celui qui se déroule depuis mardi en Grande-Bretagne. Une jeune femme accuse son mari de l’avoir violée durant leur nuit de noces. La mariée prétend être rentrée à la maison tellement saoule après la réception qu’elle aurait refusé d’avoir des rapports sexuels avec son nouvel époux. Mais celui-ci ne l’aurait pas écoutée et l’aurait forcée à faire l’amour.
La plaignante n’a toutefois pas tout de suite réagi. Elle est restée mariée deux ans avec cet homme. Qui l’aurait, selon ses dires, violée quatre nouvelle fois après la fameuse nuit de noces. Dont deux fois alors qu’elle venait de subir une césarienne.
«Tu es ma femme, c’est permis»
Les deux époux avaient pourtant vécu ensemble pendant cinq ans avant de s’unir devant la loi. Selon l’avocat de la plaignante, le mariage aurait fait changer le regard de l’accusé sur sa conjointe. «Il a développé un sentiment de propriété. Il lui disait: «Tu es ma femme, c’est permis», a expliqué le magistrat devant la Cour.
La jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années, affirme qu’elle avait peur de son mari. «Je connaissais son tempérament. Je craignais qu'il s'en aille avec les enfants», a-t-elle déclaré au «Daily Mail».
L'homme, lui, nie les cinq viols.
(spi)
Étonnant procès que celui qui se déroule depuis mardi en Grande-Bretagne. Une jeune femme accuse son mari de l’avoir violée durant leur nuit de noces. La mariée prétend être rentrée à la maison tellement saoule après la réception qu’elle aurait refusé d’avoir des rapports sexuels avec son nouvel époux. Mais celui-ci ne l’aurait pas écoutée et l’aurait forcée à faire l’amour.
La plaignante n’a toutefois pas tout de suite réagi. Elle est restée mariée deux ans avec cet homme. Qui l’aurait, selon ses dires, violée quatre nouvelle fois après la fameuse nuit de noces. Dont deux fois alors qu’elle venait de subir une césarienne.
«Tu es ma femme, c’est permis»
Les deux époux avaient pourtant vécu ensemble pendant cinq ans avant de s’unir devant la loi. Selon l’avocat de la plaignante, le mariage aurait fait changer le regard de l’accusé sur sa conjointe. «Il a développé un sentiment de propriété. Il lui disait: «Tu es ma femme, c’est permis», a expliqué le magistrat devant la Cour.
La jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années, affirme qu’elle avait peur de son mari. «Je connaissais son tempérament. Je craignais qu'il s'en aille avec les enfants», a-t-elle déclaré au «Daily Mail».
L'homme, lui, nie les cinq viols.
(spi)
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