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Mission d'observation des élections de l'UE «Nous serons impartiaux»
Le chef de la mission d'observation des législatives de l'Union européenne, José Ignacio Salafranca, a affirmé hier que la délégation qu'il préside sera impartiale et professionnelle lors du déroulement des élections du 10 mai prochain.
Tout en réitérant que la venue des observateurs, répond à un «souci d'amitié» entre l'UE et l'Algérie, Salafranca dira que la mission a été chaleureusement accueillie par la société civile, les partis politiques et les autorités lors de ses premiers déplacements, notamment à Annaba et Constantine.
«Nous serons impartiaux et professionnels dans l'élaboration de notre rapport» a t-il encore assuré ; quand il a été questionné s'il existait une «connivence» entre l'UE et les autorités Algériennes.
Les accusations d'espionnage portées par un parti politique à l'encontre des membres de la mission de l'UE et rapportées hier par certains médias ont fait sourire José Ignacio Salafranca qui animait une conférence de presse à la tour des affaires de l'hôtel Hilton d'Alger.
«Nous ne sommes pas des espions et nous ne sommes pas des acteurs dans le processus électoral» a-t-il déclaré en précisant qu'il ne donnait pas trop d'importance à ce genre de déclarations.
Ce qui compte pour lui; c'est de faire le travail pour lequel il a été chargé ; à savoir, observer le déroulement des élections puis faire un rapport qui sera, promet t-il, publié sur le site Web de l'UE après avoir été transmis aux autorités Algériennes.
Le conférencier a assuré que pour le moment la mission d'observation n'a trouvé aucune difficulté, pour accéder aux institutions qu'elle a sollicitées dans le but de recueillir des informations sur le déroulement de l'élection.
Un montant de 3,5 millions d'euros est consacré par l'UE dans l'opération d'observation des élections du 10 mai a fait savoir Salafranca, en soulignant que la mission est totalement indépendante.
«La mission d'observation de l'UE a pour objectif de présenter une évaluation précise, détaillée et impartiale du processus électoral conformément au cadre juridique national et régional, et aux normes et traités internationaux signés par l'Algérie» est-il précisé dans un communiqué qui ajoute que «notre méthodologie prévoit une évaluation minutieuse des éléments clés de tout le dispositif électoral, ainsi que l'impératif de ne pas interférer dans le processus électoral».
José Ignacio Salafranca a fait savoir par ailleurs qu'à la date du 7 mai prochain, une soixantaine d'observateurs seront déployés à travers le territoire national.
Ils seront 150 observateurs à se rendre dans les 48 wilayas du pays le jour du scrutin, a encore souligné le parlementaire européen de nationalité espagnole.
Il fera savoir en outre qu'un rapport préliminaire sera présenté aux journalistes 48 heures après le scrutin.
Le rapport final ne sera cependant finalisé que trois mois après les élections ; affirme Salafranca qui a présidé par ailleurs ; plusieurs missions d'observation d'élections notamment au Pérou (2001, 2006), en Colombie (2002), en Afghanistan (2005), au Liban (2005, 2009), au Mexique (2006) et au Salvador (2009).
L'homme qui semble jouir d'une grande expérience, soulignera pour ce qui est de notre pays, que le taux de participation sera un élément important lors des élections du 10 mai.
«Nous sommes conscients du contexte régional» dira t-il à la presse quand il a été interrogé sur le taux d'abstention qui hante déjà les états-majors des partis politiques en lice.
le Quotidien d'Oran
Tout en réitérant que la venue des observateurs, répond à un «souci d'amitié» entre l'UE et l'Algérie, Salafranca dira que la mission a été chaleureusement accueillie par la société civile, les partis politiques et les autorités lors de ses premiers déplacements, notamment à Annaba et Constantine.
«Nous serons impartiaux et professionnels dans l'élaboration de notre rapport» a t-il encore assuré ; quand il a été questionné s'il existait une «connivence» entre l'UE et les autorités Algériennes.
Les accusations d'espionnage portées par un parti politique à l'encontre des membres de la mission de l'UE et rapportées hier par certains médias ont fait sourire José Ignacio Salafranca qui animait une conférence de presse à la tour des affaires de l'hôtel Hilton d'Alger.
«Nous ne sommes pas des espions et nous ne sommes pas des acteurs dans le processus électoral» a-t-il déclaré en précisant qu'il ne donnait pas trop d'importance à ce genre de déclarations.
Ce qui compte pour lui; c'est de faire le travail pour lequel il a été chargé ; à savoir, observer le déroulement des élections puis faire un rapport qui sera, promet t-il, publié sur le site Web de l'UE après avoir été transmis aux autorités Algériennes.
Le conférencier a assuré que pour le moment la mission d'observation n'a trouvé aucune difficulté, pour accéder aux institutions qu'elle a sollicitées dans le but de recueillir des informations sur le déroulement de l'élection.
Un montant de 3,5 millions d'euros est consacré par l'UE dans l'opération d'observation des élections du 10 mai a fait savoir Salafranca, en soulignant que la mission est totalement indépendante.
«La mission d'observation de l'UE a pour objectif de présenter une évaluation précise, détaillée et impartiale du processus électoral conformément au cadre juridique national et régional, et aux normes et traités internationaux signés par l'Algérie» est-il précisé dans un communiqué qui ajoute que «notre méthodologie prévoit une évaluation minutieuse des éléments clés de tout le dispositif électoral, ainsi que l'impératif de ne pas interférer dans le processus électoral».
José Ignacio Salafranca a fait savoir par ailleurs qu'à la date du 7 mai prochain, une soixantaine d'observateurs seront déployés à travers le territoire national.
Ils seront 150 observateurs à se rendre dans les 48 wilayas du pays le jour du scrutin, a encore souligné le parlementaire européen de nationalité espagnole.
Il fera savoir en outre qu'un rapport préliminaire sera présenté aux journalistes 48 heures après le scrutin.
Le rapport final ne sera cependant finalisé que trois mois après les élections ; affirme Salafranca qui a présidé par ailleurs ; plusieurs missions d'observation d'élections notamment au Pérou (2001, 2006), en Colombie (2002), en Afghanistan (2005), au Liban (2005, 2009), au Mexique (2006) et au Salvador (2009).
L'homme qui semble jouir d'une grande expérience, soulignera pour ce qui est de notre pays, que le taux de participation sera un élément important lors des élections du 10 mai.
«Nous sommes conscients du contexte régional» dira t-il à la presse quand il a été interrogé sur le taux d'abstention qui hante déjà les états-majors des partis politiques en lice.
le Quotidien d'Oran