Le candidat du Front des forces socialistes (FFS) dans la zone 4 (Europe hors France, Canada, Etats-Unis et le reste des Amériques) Belkacem Amarouche dénonce l’opacité entourant la liste électorale de cette circonscription.
Il a exigé de l’administration de «fournir aux candidats la liste électorale de toute la zone, pas uniquement celle du consulat de résidence». Joint en Belgique où il réside, Belkacem Amarouche a affirmé que les services en charge des élections législatives lui ont remis un fichier de 17 000 noms d’électeurs inscrits. Ce nombre inclut cinq centres de vote en
Belgique, un au Luxembourg et un autre aux Pays Bas. Pour le reste de la circonscription qui couvre tous les pays d’Europe à l’exclusion de la France en plus du Canada et des Etats-Unis et le reste des Amériques, le candidat est en face du vide.
Il n’est pas le seul dans ce cas, tous les candidats de l’immigration sont dans la même situation. Une source du consulat d’Algérie à Montréal a affirmé à El Watan que «chaque consulat ne peut gérer que la liste dont il a la charge». Pour une vue globale, il faut se rapprocher de la commission électorale de la zone 4 dont le siège est à Washington e dirigée par l’ambassadeur algérien aux Etats-Unis, Abdallah Baali. Les différentes tentatives d’El Watan pour accéder à cette commission par téléphone ou pas email sont restées vaines. C’est à se demander si ces informations relèvent du secret défense.
Le candidat du FFS ne s’explique toujours pas l’étendue de la circonscription dont les électeurs sont séparés par l’Atlantique et sur quelle base elle a été décidée. « Je me demande sur quelle base, on a créée cette circonscription. Ce n’est pas juste envers l’immigration », affirme celui qui milite au FFS depuis 1989. Il ajoute que «les spécificités de l’immigration algérienne au Canada et aux Etats-Unis sont différentes de celles de l’Europe mais nous allons fédérer tout ça».
Sur le volet politique et conscient que la participation du FFS crédibilise les élections du 10 mai, ce juriste en droit européen affirme que son parti ne représente pas l’opposition mais l’alternative au système. Il ajoute que «Le boycott aujourd’hui ne sert pas le pays et va renforcer le statu quo». Il dit qu’en tant que candidat du FFS, il ne fera pas de promesses farfelues. Il prend l’exemple des candidats qui promettent la baisse des prix d’avion alors que le problème est plus en amont dans la gestion de la compagnie elle-même et la fermeture du ciel algérien à la concurrence. Il trouve aussi injuste d’imposer aux Algériens de l’émigration qui «souhaitent entamer des démarches, des transactions ou des investissements dans leur pays l’Algérie les mêmes dispositions qu’aux investisseurs étrangers».
Samir Ben
Il a exigé de l’administration de «fournir aux candidats la liste électorale de toute la zone, pas uniquement celle du consulat de résidence». Joint en Belgique où il réside, Belkacem Amarouche a affirmé que les services en charge des élections législatives lui ont remis un fichier de 17 000 noms d’électeurs inscrits. Ce nombre inclut cinq centres de vote en
Belgique, un au Luxembourg et un autre aux Pays Bas. Pour le reste de la circonscription qui couvre tous les pays d’Europe à l’exclusion de la France en plus du Canada et des Etats-Unis et le reste des Amériques, le candidat est en face du vide.
Il n’est pas le seul dans ce cas, tous les candidats de l’immigration sont dans la même situation. Une source du consulat d’Algérie à Montréal a affirmé à El Watan que «chaque consulat ne peut gérer que la liste dont il a la charge». Pour une vue globale, il faut se rapprocher de la commission électorale de la zone 4 dont le siège est à Washington e dirigée par l’ambassadeur algérien aux Etats-Unis, Abdallah Baali. Les différentes tentatives d’El Watan pour accéder à cette commission par téléphone ou pas email sont restées vaines. C’est à se demander si ces informations relèvent du secret défense.
Le candidat du FFS ne s’explique toujours pas l’étendue de la circonscription dont les électeurs sont séparés par l’Atlantique et sur quelle base elle a été décidée. « Je me demande sur quelle base, on a créée cette circonscription. Ce n’est pas juste envers l’immigration », affirme celui qui milite au FFS depuis 1989. Il ajoute que «les spécificités de l’immigration algérienne au Canada et aux Etats-Unis sont différentes de celles de l’Europe mais nous allons fédérer tout ça».
Sur le volet politique et conscient que la participation du FFS crédibilise les élections du 10 mai, ce juriste en droit européen affirme que son parti ne représente pas l’opposition mais l’alternative au système. Il ajoute que «Le boycott aujourd’hui ne sert pas le pays et va renforcer le statu quo». Il dit qu’en tant que candidat du FFS, il ne fera pas de promesses farfelues. Il prend l’exemple des candidats qui promettent la baisse des prix d’avion alors que le problème est plus en amont dans la gestion de la compagnie elle-même et la fermeture du ciel algérien à la concurrence. Il trouve aussi injuste d’imposer aux Algériens de l’émigration qui «souhaitent entamer des démarches, des transactions ou des investissements dans leur pays l’Algérie les mêmes dispositions qu’aux investisseurs étrangers».
Samir Ben
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