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Personnellement, je le connaissais pas, et je me ferais un plaisir de le decouvrir a travers cet article.
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l La force du verbe n’est aucunement l’apanage d’un désir ou plutôt d’une vocation qu’on découvre à l’âge avancé. Il s’agit, en fait, d’un attachement viscéral à la langue des vers dès un très jeune âge. C’est là, en un mot, la conviction de Moh Kheloui, un jeune chanteur poète qui s’attelle à se frayer continuellement un chemin dans un milieu parsemé d’embûches, dans la mesure où la réussite n’est pas toujours une planche de salut. Toutefois, Moh Kheloui y croit toujours.
Et pour cause, son sérieux et son abnégation restent perpétuellement son cheval de bataille. Ainsi donc, l’artiste compte mettre en exergue un capital inépuisable des produits qu’il n’a, depuis l’âge précoce, cessé de concevoir comme une toile d’araignée, ayant découvert ses aptitudes avérées en matière de poésie, à l’âge de six ans, c’est-à-dire tout juste après le début de sa scolarisation. D’ailleurs, étant écolier déjà, Moh commença à déclamer devant ses camarades de classe. “C’est un don que j’ai. Je n’ai pas choisi d’être poète”, dit-il pour, justement, expliquer les raisons qui l’ont poussé à s’investir dans le domaine. Parlant de son œuvre, ce jeunot épatant conserve, jusque-là, une multitude de poèmes dont les sujets diffèrent de l’un à l’autre. Cependant, en matière de structure poétique, les textes choisis par l’artiste convergent amplement sur le fait que sa poésie fait toujours appel à l’intelligence pour décoder ses messages. D’autre part, Moh Kheloui ne semble apparemment pas vouloir se limiter seulement au stade de la confection des poèmes. Il compte ainsi se mettre au diapason de la production musicale. En effet, après un travail de longue haleine, emprunt bien évidemment d’une volonté inflexible et d’une motivation inouïe, l’enfant prodige d’Ath Ouaguenoun veut “sortir des sentiers battus” pour mettre à profit son talent. Il compte mettre sur le marché un album composé de chansons interprétées en style chaâbi, un volet musical qui tend à devenir inexorablement “négligé” par la génération montante. Or, convaincu que le chaâbi est un “trésor” immortel, Moh a bel et bien songé emprunter ce chemin qui a, estime-t-il, fait sortir ses véritables pionniers de la torpeur. En somme, faut-il le souligner, Moh Kheloui a rendu un vibrant hommage aux journalistes comme il a, également, très souvent évoqué les problèmes de la société dans ses produits.
- La depeche de Kabylie
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l La force du verbe n’est aucunement l’apanage d’un désir ou plutôt d’une vocation qu’on découvre à l’âge avancé. Il s’agit, en fait, d’un attachement viscéral à la langue des vers dès un très jeune âge. C’est là, en un mot, la conviction de Moh Kheloui, un jeune chanteur poète qui s’attelle à se frayer continuellement un chemin dans un milieu parsemé d’embûches, dans la mesure où la réussite n’est pas toujours une planche de salut. Toutefois, Moh Kheloui y croit toujours.
Et pour cause, son sérieux et son abnégation restent perpétuellement son cheval de bataille. Ainsi donc, l’artiste compte mettre en exergue un capital inépuisable des produits qu’il n’a, depuis l’âge précoce, cessé de concevoir comme une toile d’araignée, ayant découvert ses aptitudes avérées en matière de poésie, à l’âge de six ans, c’est-à-dire tout juste après le début de sa scolarisation. D’ailleurs, étant écolier déjà, Moh commença à déclamer devant ses camarades de classe. “C’est un don que j’ai. Je n’ai pas choisi d’être poète”, dit-il pour, justement, expliquer les raisons qui l’ont poussé à s’investir dans le domaine. Parlant de son œuvre, ce jeunot épatant conserve, jusque-là, une multitude de poèmes dont les sujets diffèrent de l’un à l’autre. Cependant, en matière de structure poétique, les textes choisis par l’artiste convergent amplement sur le fait que sa poésie fait toujours appel à l’intelligence pour décoder ses messages. D’autre part, Moh Kheloui ne semble apparemment pas vouloir se limiter seulement au stade de la confection des poèmes. Il compte ainsi se mettre au diapason de la production musicale. En effet, après un travail de longue haleine, emprunt bien évidemment d’une volonté inflexible et d’une motivation inouïe, l’enfant prodige d’Ath Ouaguenoun veut “sortir des sentiers battus” pour mettre à profit son talent. Il compte mettre sur le marché un album composé de chansons interprétées en style chaâbi, un volet musical qui tend à devenir inexorablement “négligé” par la génération montante. Or, convaincu que le chaâbi est un “trésor” immortel, Moh a bel et bien songé emprunter ce chemin qui a, estime-t-il, fait sortir ses véritables pionniers de la torpeur. En somme, faut-il le souligner, Moh Kheloui a rendu un vibrant hommage aux journalistes comme il a, également, très souvent évoqué les problèmes de la société dans ses produits.
- La depeche de Kabylie