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Le Centre d’études Ahrar pour les prisonniers et les droits de l’homme a informé qu’une grande campagne de transferts a été effectuée par l’administration pénitentiaire sioniste contre les détenus dans les prisons de Shatta et Gilboa, et que tous les prisonniers grévistes d’Eshel sont été dispersés dans différents centres de détention.
Fouad Khafash, directeur du centre, a précisé que l’administration pénitentiaire a infligé des amendes aux détenus grévistes pouvant atteindre 170 shekels, en plus de l’interdiction de visites et d’envoyer des lettres aux familles pendant un mois.
Il a ajouté que la direction a tenté de forcer les prisonniers grévistes de la faim à arrêter par la force en utilisant des unités spéciales, mais ils restent déterminés. C’est pourquoi il ne reste plus que l’usage de la force pour l’administration pénitentiaire par crainte d’une confrontation inévitable.
Le Centre Ahrar a indiqué que la direction des prisons a refusé de fournir des soins aux détenus malades grévistes de la faim tant qu’ils ne prennent pas le repas préparé à la clinique, ce qu’ils ont refusé de même qu’ils ne veulent pas rompre leur grève en échange d’un traitement.
L’administration pénitentiaire utilise une nouvelle méthode qui consiste à poser la nourriture des prisonniers à l’intérieur des cellules pour être prise par les détenus, mais ils l’ont sortie selon ce qui a été rapporté par Ahrar.
Kafash a appelé les médias à solliciter toutes leurs énergies et capacité afin de dénoncer les pratiques de l’occupation contre les détenus en grève de la faim dans les prisons de l’occupation depuis maintenant 17 jours d’affilée.
CPI 03 05 2012
Fouad Khafash, directeur du centre, a précisé que l’administration pénitentiaire a infligé des amendes aux détenus grévistes pouvant atteindre 170 shekels, en plus de l’interdiction de visites et d’envoyer des lettres aux familles pendant un mois.
Il a ajouté que la direction a tenté de forcer les prisonniers grévistes de la faim à arrêter par la force en utilisant des unités spéciales, mais ils restent déterminés. C’est pourquoi il ne reste plus que l’usage de la force pour l’administration pénitentiaire par crainte d’une confrontation inévitable.
Le Centre Ahrar a indiqué que la direction des prisons a refusé de fournir des soins aux détenus malades grévistes de la faim tant qu’ils ne prennent pas le repas préparé à la clinique, ce qu’ils ont refusé de même qu’ils ne veulent pas rompre leur grève en échange d’un traitement.
L’administration pénitentiaire utilise une nouvelle méthode qui consiste à poser la nourriture des prisonniers à l’intérieur des cellules pour être prise par les détenus, mais ils l’ont sortie selon ce qui a été rapporté par Ahrar.
Kafash a appelé les médias à solliciter toutes leurs énergies et capacité afin de dénoncer les pratiques de l’occupation contre les détenus en grève de la faim dans les prisons de l’occupation depuis maintenant 17 jours d’affilée.
CPI 03 05 2012
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