L’Algérie a réitéré, hier à Bakou lors de la 33ème session des ministres des Affaires étrangères de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), sa proposition de créer un mécanisme de lutte contre l’islamophobie.
Rappelons que cette proposition, qui a été présentée en 2006 lors de la réunion de l’organisation panislamique à Djeddah, préconise la création d’un mécanisme idoine de lutte contre l’islamophobie. La proposition algérienne souligne la nécessité de limiter ce mécanisme aux domaines juridique, diplomatique et médiatique. Ce mécanisme a pour objectif, notamment, d’amener les Etats islamiques à édicter des lois dissuasives pour lutter contre ce phénomène et à œuvrer en vue d’adopter une résolution internationale par l’ONU pour protéger l’Islam et ses symboles. La proposition appelle également à créer un fonds islamique pour soutenir les efforts de lutte contre l’islamophobie dans les pays occidentaux et promouvoir les valeurs de dialogue et de tolérance entre les cultures, les religions et les civilisations. Elle met également l’accent sur le nécessaire engagement des pays islamiques, dans leurs législations, à boycotter économiquement les pays encourageant l’islamophobie.
- La tribune
Rappelons que cette proposition, qui a été présentée en 2006 lors de la réunion de l’organisation panislamique à Djeddah, préconise la création d’un mécanisme idoine de lutte contre l’islamophobie. La proposition algérienne souligne la nécessité de limiter ce mécanisme aux domaines juridique, diplomatique et médiatique. Ce mécanisme a pour objectif, notamment, d’amener les Etats islamiques à édicter des lois dissuasives pour lutter contre ce phénomène et à œuvrer en vue d’adopter une résolution internationale par l’ONU pour protéger l’Islam et ses symboles. La proposition appelle également à créer un fonds islamique pour soutenir les efforts de lutte contre l’islamophobie dans les pays occidentaux et promouvoir les valeurs de dialogue et de tolérance entre les cultures, les religions et les civilisations. Elle met également l’accent sur le nécessaire engagement des pays islamiques, dans leurs législations, à boycotter économiquement les pays encourageant l’islamophobie.
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