En Algérie, la filière tomate peut encore se développer et élargir son marché. Il y a beaucoup d'opportunités à saisir pour les investisseurs car cela répond à une demande croissante du marché.
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Une étude sur la situation et le devenir de la filière transformation de la tomate en Algérie a été présentée hier à Alger dans le cadre du programme Euro-Développement PME. Le chef de cabinet du ministère de la PME et de l’Artisanat, M. Brahiti, a souligné que l’Algérie produit 200 000 tonnes de tomate destinée à la transformation.
Selon lui, il y a beaucoup d’opportunités pour les investisseurs dans la filière de la tomate. Les atouts commerciaux sont énormes. L’Algérie peut approvisionner le marché européen qui est le premier importateur mondial de concentré de tomates.
Il y a également le marché africain, où les exportations de la Chine progressent régulièrement, démontrant l’existence d’un espace commercial de proximité pour la filière algérienne qui pourrait y occuper une place prépondérante. Le représentant du ministère de la PME et de l’Artisanat a assuré dans son intervention que l’Algérie recèle une capacité de production gigantesque, tant en agriculture qu’en transformation.
Elle bénéficie de conditions climatiques privilégiées et de territoires à fort potentiel agronomique. Il a également affirmé que le pays possède des entreprises qui peuvent rivaliser dans le marché mondial. Les besoins de ce marché se situent entre 30 millions et 32 millions de tonnes de tomate transformée.
Il n’y a pas longtemps, la production et de la tomate de transformation destinée à l’exportation était uniquement du ressort des pays développés qui sont à la fois producteurs et consommateurs. Mais depuis l’an 2000, ce n’est plus le cas.
Pour une production mondiale estimée à 100 millions de tonnes de tomate fraîche, 30 millions en moyenne sont destinés à la transformation, et de nouveaux pays réfléchissent à l’avenir de cette production, qui est génératrice de devises pour leurs économies nationales.
Cela a été le cas dès 2000 avec la Chine, aujourd’hui premier exportateur mondial de concentré de tomate, avec une production annuelle de 4 millions de tonnes de tomates fraîches transformées.
Par Le Jeune Indépendant
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Une étude sur la situation et le devenir de la filière transformation de la tomate en Algérie a été présentée hier à Alger dans le cadre du programme Euro-Développement PME. Le chef de cabinet du ministère de la PME et de l’Artisanat, M. Brahiti, a souligné que l’Algérie produit 200 000 tonnes de tomate destinée à la transformation.
Selon lui, il y a beaucoup d’opportunités pour les investisseurs dans la filière de la tomate. Les atouts commerciaux sont énormes. L’Algérie peut approvisionner le marché européen qui est le premier importateur mondial de concentré de tomates.
Il y a également le marché africain, où les exportations de la Chine progressent régulièrement, démontrant l’existence d’un espace commercial de proximité pour la filière algérienne qui pourrait y occuper une place prépondérante. Le représentant du ministère de la PME et de l’Artisanat a assuré dans son intervention que l’Algérie recèle une capacité de production gigantesque, tant en agriculture qu’en transformation.
Elle bénéficie de conditions climatiques privilégiées et de territoires à fort potentiel agronomique. Il a également affirmé que le pays possède des entreprises qui peuvent rivaliser dans le marché mondial. Les besoins de ce marché se situent entre 30 millions et 32 millions de tonnes de tomate transformée.
Il n’y a pas longtemps, la production et de la tomate de transformation destinée à l’exportation était uniquement du ressort des pays développés qui sont à la fois producteurs et consommateurs. Mais depuis l’an 2000, ce n’est plus le cas.
Pour une production mondiale estimée à 100 millions de tonnes de tomate fraîche, 30 millions en moyenne sont destinés à la transformation, et de nouveaux pays réfléchissent à l’avenir de cette production, qui est génératrice de devises pour leurs économies nationales.
Cela a été le cas dès 2000 avec la Chine, aujourd’hui premier exportateur mondial de concentré de tomate, avec une production annuelle de 4 millions de tonnes de tomates fraîches transformées.
Par Le Jeune Indépendant
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