Les résultats du BEF en Algérie en cette dernière session ont été annoncés officiellement hier par le ministère de l’Education nationale. Le taux de réussite a atteint 60 %, selon le ministère qui a qualifié les résultats de positifs, jamais atteints depuis 1964.
Toutefois, il faut rappeler que les 252 446 candidats ayant passé leur examen ne sont que les recalés malheureux de l’année dernière. Etant que la classe de la 9AF a été supprimée, le ministère a permis à ces recalés de repasser, pour l’ultime fois, leur examen en classe spéciale.
Le ministre de l’Education nationale, même s’il avait à maintes reprises évité de répondre à la question, ne compte pas reprendre ces élèves pour tenter de décrocher leur ticket pour le palier secondaire. Les recalés de cette année ne peuvent, du point de vue pédagogique, redoubler, puisque l’examen prochain, éventuellement le BEM, ne concernera que les élèves de la 4e année moyenne ayant déjà suivi dans les détails le programme de la réforme.
Le calcul de la moyenne de passage à la première année secondaire se fera à travers l’addition de la note du BEF multipliée par trois, et la moyenne annuelle obtenue par l’élève pour diviser le tout par quatre. Si la moyenne n’a pas atteint 10/20, l’élève est systématiquement non admis.
La décision fera certainement des malheureux, puisque le ministère rappelle une fois de plus son indisponibilité à passer au système du rachat. Les parents d’élèves cachent mal leur inquiétude qui ont également souhaité des facilitations pour permettre à ces derniers élèves du système de l’enseignement fondamental d’accéder au lycée.
Pour ces élèves, «les portes des centres de formation professionnelles sont ouvertes», a promis le ministre de la formation professionnelle, El-Hadi Khaldi. En termes de chiffre, 153 462 élèves sont admis au lycée. Sans aucune surprise, ce sont encore les filles qui enregistrent le meilleur score avec 62,11%, soit 79 528 lauréates sur les 128 051 filles, contre 58,48 % chez les garçons, soit 73 934 lauréats.
Notons, par ailleurs, que la meilleure moyenne obtenue cette année à cet examen a été enregistrée chez un élève du CEM 19-mars d’Oran qui est de 17,73/20.
Par Le Jeune Indépendant
Toutefois, il faut rappeler que les 252 446 candidats ayant passé leur examen ne sont que les recalés malheureux de l’année dernière. Etant que la classe de la 9AF a été supprimée, le ministère a permis à ces recalés de repasser, pour l’ultime fois, leur examen en classe spéciale.
Le ministre de l’Education nationale, même s’il avait à maintes reprises évité de répondre à la question, ne compte pas reprendre ces élèves pour tenter de décrocher leur ticket pour le palier secondaire. Les recalés de cette année ne peuvent, du point de vue pédagogique, redoubler, puisque l’examen prochain, éventuellement le BEM, ne concernera que les élèves de la 4e année moyenne ayant déjà suivi dans les détails le programme de la réforme.
Le calcul de la moyenne de passage à la première année secondaire se fera à travers l’addition de la note du BEF multipliée par trois, et la moyenne annuelle obtenue par l’élève pour diviser le tout par quatre. Si la moyenne n’a pas atteint 10/20, l’élève est systématiquement non admis.
La décision fera certainement des malheureux, puisque le ministère rappelle une fois de plus son indisponibilité à passer au système du rachat. Les parents d’élèves cachent mal leur inquiétude qui ont également souhaité des facilitations pour permettre à ces derniers élèves du système de l’enseignement fondamental d’accéder au lycée.
Pour ces élèves, «les portes des centres de formation professionnelles sont ouvertes», a promis le ministre de la formation professionnelle, El-Hadi Khaldi. En termes de chiffre, 153 462 élèves sont admis au lycée. Sans aucune surprise, ce sont encore les filles qui enregistrent le meilleur score avec 62,11%, soit 79 528 lauréates sur les 128 051 filles, contre 58,48 % chez les garçons, soit 73 934 lauréats.
Notons, par ailleurs, que la meilleure moyenne obtenue cette année à cet examen a été enregistrée chez un élève du CEM 19-mars d’Oran qui est de 17,73/20.
Par Le Jeune Indépendant
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