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L’Agence de développement agricole (ADA) est en train d'élaborer une stratégie de promotion des investissements dans le secteur agricole et agroalimentaire, auprès notamment, des marchés étrangers émetteurs.
Parmi ces derniers, la priorité devrait être surtout faite aux fonds arabes. Ces pays, encore très peu présents au niveau des investissements agricoles dans le Royaume, seront désormais dans le collimateur d’une politique promotionnelle de l’agence. Objectif : mettre en évidence les opportunités d’investissements agricoles dans le Royaume et attirer davantage de flux financiers à partir de ces marchés, face à une Europe en essoufflement. Il faut savoir en effet que la France, l’Espagne et l’Allemagne continuent de monopoliser le haut du tableau des plus gros investissements opérés dans ce secteur.
Sur les quatre dernières années - qui coïncident également avec celles de mise en œuvre de Maroc Vert - le taux d’investissement dans le secteur agricole a enregistré une augmentation de 41%. Cela, en dépit d’une conjoncture économique globalement morose de 2008 à 2011. Dans le détail, un cumul de 2,3 MMDH en investissements a été relevé à fin 2011, selon les calculs de la tutelle, rien que pour les projets d’agriculture solidaire
(LES ECHOS MA°)
Parmi ces derniers, la priorité devrait être surtout faite aux fonds arabes. Ces pays, encore très peu présents au niveau des investissements agricoles dans le Royaume, seront désormais dans le collimateur d’une politique promotionnelle de l’agence. Objectif : mettre en évidence les opportunités d’investissements agricoles dans le Royaume et attirer davantage de flux financiers à partir de ces marchés, face à une Europe en essoufflement. Il faut savoir en effet que la France, l’Espagne et l’Allemagne continuent de monopoliser le haut du tableau des plus gros investissements opérés dans ce secteur.
Sur les quatre dernières années - qui coïncident également avec celles de mise en œuvre de Maroc Vert - le taux d’investissement dans le secteur agricole a enregistré une augmentation de 41%. Cela, en dépit d’une conjoncture économique globalement morose de 2008 à 2011. Dans le détail, un cumul de 2,3 MMDH en investissements a été relevé à fin 2011, selon les calculs de la tutelle, rien que pour les projets d’agriculture solidaire
(LES ECHOS MA°)