Cet agent, infiltré au sein de la branche yéménite de l'organisation terroriste, devait faire exploser un avion à destination des États-Unis. Il a remis la bombe aux autorités américaines.
Le projet d'attentat fomenté par al-Qaida contre les États-Unis, révélé lundi par l'Administration américaine, a été déjoué grâce à la collaboration d'un agent des services secrets saoudiens, infiltré durant plusieurs semaines au sein de l'organisation terroriste. Cet agent double s'était porté volontaire pour mener un attentat-suicide contre un avion de ligne à destination des États-Unis. Il est finalement parvenu à s'enfuir avec la bombe, qu'il a remise aux Américains.
Par beaucoup de points, le projet d'attentat élaboré par la branche yémenite d'al-Qaida, qui devait marquer le premier anniversaire de la mort d'Oussama Ben Laden, rappelle la tentative de décembre 2009 contre le vol Amsterdam-Détroit. Le jour de Noël, le Nigérian Umar Farouk Abdulmuttalab avait tenté de déclencher des explosifs cachés dans son slip. Mais le jeune Nigérian, condamné le 16 février à la prison à perpétuité, avait pu être maîtrisé par les passagers.
Le Figaro
Le projet d'attentat fomenté par al-Qaida contre les États-Unis, révélé lundi par l'Administration américaine, a été déjoué grâce à la collaboration d'un agent des services secrets saoudiens, infiltré durant plusieurs semaines au sein de l'organisation terroriste. Cet agent double s'était porté volontaire pour mener un attentat-suicide contre un avion de ligne à destination des États-Unis. Il est finalement parvenu à s'enfuir avec la bombe, qu'il a remise aux Américains.
Par beaucoup de points, le projet d'attentat élaboré par la branche yémenite d'al-Qaida, qui devait marquer le premier anniversaire de la mort d'Oussama Ben Laden, rappelle la tentative de décembre 2009 contre le vol Amsterdam-Détroit. Le jour de Noël, le Nigérian Umar Farouk Abdulmuttalab avait tenté de déclencher des explosifs cachés dans son slip. Mais le jeune Nigérian, condamné le 16 février à la prison à perpétuité, avait pu être maîtrisé par les passagers.
Le Figaro