Ah ces japonais nous étonnent souvent. Après l’appel à l’amour pour faire plus d’enfants, voilà une autre étude sur le flirt et les conditions professionnelles. Un rendez vous galant passe après les rendes vous professionnels. C’est votre cas ?
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TOKYO (AFP) - De plus en plus de jeunes employés japonais n'hésiteraient pas à renoncer à un flirt pour des raisons professionnelles, révèle une enquête d'un institut de recherches.
Une vaste majorité (80%) de nouveaux salariés embauchés au printemps ont affirmé qu'ils étaient prêts à annuler un rendez-vous galant s'ils étaient obligés de faire des heures supplémentaires, affirme ce sondage.
En 1991, ils n'étaient que 62% à vouloir faire ce choix, selon cette enquête réalisée en mars et avril auprès de 3.937 jeunes employés.
Pour les sociologues, les résultats du sondage mettent en lumière les craintes des jeunes Japonais de perdre leur emploi, après avoir été témoins du cortège de restructurations et de licenciements pendant la récession des années 1990. Mais elle montre aussi, affirme un porte-parole de l'institut de recherches, que la valeur de "dévotion à l'entreprise" reste toujours en vigueur au Japon, même si une nouvelle génération pour qui le travail n'est plus une priorité est née de la crise.
"On dit souvent que les nouvelles générations sont différentes des anciennes, mais en réalité leur dévotion à leur entreprise est identique à celle de leurs aînés", a commenté le porte-parole.
Source : Yahoo
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TOKYO (AFP) - De plus en plus de jeunes employés japonais n'hésiteraient pas à renoncer à un flirt pour des raisons professionnelles, révèle une enquête d'un institut de recherches.
Une vaste majorité (80%) de nouveaux salariés embauchés au printemps ont affirmé qu'ils étaient prêts à annuler un rendez-vous galant s'ils étaient obligés de faire des heures supplémentaires, affirme ce sondage.
En 1991, ils n'étaient que 62% à vouloir faire ce choix, selon cette enquête réalisée en mars et avril auprès de 3.937 jeunes employés.
Pour les sociologues, les résultats du sondage mettent en lumière les craintes des jeunes Japonais de perdre leur emploi, après avoir été témoins du cortège de restructurations et de licenciements pendant la récession des années 1990. Mais elle montre aussi, affirme un porte-parole de l'institut de recherches, que la valeur de "dévotion à l'entreprise" reste toujours en vigueur au Japon, même si une nouvelle génération pour qui le travail n'est plus une priorité est née de la crise.
"On dit souvent que les nouvelles générations sont différentes des anciennes, mais en réalité leur dévotion à leur entreprise est identique à celle de leurs aînés", a commenté le porte-parole.
Source : Yahoo
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