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« Ils travaillent dans plus de 500 centres d’appels à travers le Royaume. Le secteur est considéré parmi les plus porteurs en matière de création d’emplois et affiche un fort potentiel en matière d’investissement. D’ailleurs, ce n’est pas un hasard que le salon bénéficie d’un parrainage constant du gouvernement », précise le responsable.
L’activité des centres d’appels a connu une très forte croissance ces dernières années. Au début, il y a une dizaine d’années, il n’y avait que quelques structures avec une forte concentration à Casablanca et à Rabat, abritant presque la moitié du nombre des sites de production. « Il est normal que les deux villes concentrent et hébergent les plus grands sites, d’où une taille moyenne par site plus importante que le reste des villes.
Tanger occupe la 3e position suite au fort développement qu’elle a connu ces dernières années », souligne M. El Ouahdoudi qui précise, concernant le volet de la rémunération dans le secteur, que les centres d’appels au Maroc obéissent à la législation marocaine et à la réglementation internationale.
« Les centres d’appels respectent les lois en vigueur en matière de sécurité sociale et retraite, surtout au sein des grands sites. Cela ne veut pas dire que les petits et moyens ne respectent pas les lois. Les salaires sont motivants et restent conformes au niveau de vie au Maroc ». Par exemple, un téléconseiller gagne au minimum un salaire mensuel net de 3.000 DH. « Un téléconseiller qui se débrouille bien peut gagner jusqu’à 30.000 DH de primes avec un salaire fixe de 8.000 DH », confie-t-il.
LE MATIN MA
L’activité des centres d’appels a connu une très forte croissance ces dernières années. Au début, il y a une dizaine d’années, il n’y avait que quelques structures avec une forte concentration à Casablanca et à Rabat, abritant presque la moitié du nombre des sites de production. « Il est normal que les deux villes concentrent et hébergent les plus grands sites, d’où une taille moyenne par site plus importante que le reste des villes.
Tanger occupe la 3e position suite au fort développement qu’elle a connu ces dernières années », souligne M. El Ouahdoudi qui précise, concernant le volet de la rémunération dans le secteur, que les centres d’appels au Maroc obéissent à la législation marocaine et à la réglementation internationale.
« Les centres d’appels respectent les lois en vigueur en matière de sécurité sociale et retraite, surtout au sein des grands sites. Cela ne veut pas dire que les petits et moyens ne respectent pas les lois. Les salaires sont motivants et restent conformes au niveau de vie au Maroc ». Par exemple, un téléconseiller gagne au minimum un salaire mensuel net de 3.000 DH. « Un téléconseiller qui se débrouille bien peut gagner jusqu’à 30.000 DH de primes avec un salaire fixe de 8.000 DH », confie-t-il.
LE MATIN MA