Annonce

Réduire
Aucune annonce.

l'Algérie : 50 Après cinquante ans après l'indépendance !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • l'Algérie : 50 Après cinquante ans après l'indépendance !


  • #2
    J'ai regardé le début juste le temps de me rendre compte que c'est un reportage français sur l'Algerie, j'ai donc zappé car je connait la chanson par coeur .

    Commentaire


    • #3
      J'ai arrêté de regarder lorsque j'ai entendu les jeunes parler de leur histoire ...
      C'est terrible ils se méfient même de l'histoire de notre pays... personne ne fait confiance en personne ... c'est horrible mon Algérie meurtrie ... rien ne peut guérir de la méfiance ... Qu'on t -il fait à mon pays qui est responsable de ça ?

      Commentaire


      • #4
        J'ai regardé le début juste le temps de me rendre compte que c'est un reportage français sur l'Algerie, j'ai donc zappé car je connait la chanson par coeur .
        Il y a des réalités dans ce documentaire .. C'est vrai, le réalisateur de ce reportage est Français, mais ça n’empêche pas d'avoir un oeil critique et neutre sur ce passé...

        Il y a eu des erreurs commises par les politiques post-indépendance à l'exemple de la politique de l'arabisation.

        Commentaire


        • #5
          Les planqués et les traîtres refusent de se regarder dans le miroir.

          Ce reportage énumère quelques vérités mais c'est déjà trop pour les usurpateurs et les falsificateurs de l'histoire.

          P.

          Commentaire


          • #6
            Ce reportage énumère quelques vérités
            Lesquelles ?

            J'ai visionné et rien appris...

            Commentaire


            • #7
              Envoyé par Bachi
              Lesquelles ?

              J'ai visionné et rien appris...
              As-tu, au moins, compris les propos qui étaient tenus en kabyle ?

              P.

              Commentaire


              • #8
                non...
                Y avait-il du kabyle?

                c'est vrai que tout était filmé en Kabylie, T O je crois mais pas entendu parler kabyle...
                de toutes les façons, je ne comprends pas le kabyle...

                Commentaire


                • #9
                  Envoyé par Bachi
                  non...
                  Y avait-il du kabyle?

                  c'est vrai que tout était filmé en Kabylie, T O je crois mais pas entendu parler kabyle...
                  de toutes les façons, je ne comprends pas le kabyle...
                  Il faut revisionner ( ce n'est pas long ) et bien écouter ce que disent les dames.

                  P.

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par Aloha Voir le message
                    J'ai arrêté de regarder lorsque j'ai entendu les jeunes parler de leur histoire ...
                    C'est terrible ils se méfient même de l'histoire de notre pays... personne ne fait confiance en personne ... c'est horrible mon Algérie meurtrie ... rien ne peut guérir de la méfiance ... Qu'on t -il fait à mon pays qui est responsable de ça ?
                    Deja, beaucoup d'algeriens se mefient traditionnellement de tout ce qui peut venir du pouvoir politique (souvent a raison mais pas toujours), mais en plus sur l'histoire, la falsification de l'histoire officielle pendant longtemps a accentue la mefiance au point que certains jettent le bebe avec l'eau du bain ce qui est dommage.
                    J'ai aime ce reportage.

                    Commentaire


                    • #11
                      Envoyé par massinissa
                      J'ai regardé le début juste le temps de me rendre compte que c'est un reportage français sur l'Algerie, j'ai donc zappé car je connait la chanson par coeur .
                      Tu ne fais pas honneur à ton pseudo.

                      Tu ne sais même pas reconnaître un reportage fait en langues française et kabyle par des compatriotes d'un reportage français.

                      Il ne te manque que le bonnet d'âne.

                      P.

                      Commentaire


                      • #12
                        Il faut revisionner ( ce n'est pas long ) et bien écouter ce que disent les dames.
                        J'ai revisionné mais je ne comprends pas le kabyle..le traducteur ne m'a rien appris de particulier...


                        Je trouve que les témoignages constituent une réponse cinglante à BHL qui disait que seul le FLN employait des pratiques terroristes et inhumaines en se prenant aux civils

                        Commentaire


                        • #13
                          BHL peut dire tout ce qu'il veut mais il ne peut rien changer à ce qui s'est passé.

                          D'après ce que j'ai retenu de l'histoire, il y a eu des pratiques inhumaines de part et d'autre. On dit que c'est la réponse du berger à la bergère.

                          Dans cette escalade de barbarie, c'est le peuple qui a tout encaissé ( les soldats ne sont-ils pas eux aussi des enfants du peuple ? ).

                          De toute façon, la France n'avait rien à faire chez nous comme d'ailleurs les turcs aussi.

                          P.

                          Commentaire


                          • #14
                            excellent et Bouguermouh à bien resumé le mots de la fin

                            a tayen tura i xabit-en l asmaaraq-en

                            Commentaire


                            • #15
                              Pour l'histoire,

                              Kabylie : bref historique de Mizrana et la région III



                              Nombre de cette région ont pris part au déclenchement de la révolution dans le massif blidéen sous le commandement d'Amar Ouamrane.


                              Le découpage des zones et régions de la wilaya III

                              Dépendant anciennement du douar Ouaguenoune, et après avoir fait partie de la commune mixte de Mizrana que le colonialisme français a crée en 1958 aux fins d’une surveillance étroite de la population pleinement engagée aux côtés de la révolution qui prenait de l’ampleur alors, la commune de Mizrana a la faveur d’un découpage administratif opéré au lendemain de l’indépendance en 1963, a été rattachée à la commune de Tigzirt.

                              Issue, donc de la commune de Tigzirt, la commune de Mizrana a été créée par le nouveau découpage administratif de l’année 1984. Elle est située au nord de la wilaya de Tizi Ouzou et au sud-ouest de la daïra de Tigzirt, elle est délimitée ainsi qu’il suit : à l’Est par la commune de Tigzirt, À l’Ouest par la commune d’Afir de Dellys, Au nord par la Méditerranée, Au sud par la commune de Makouda, et enfin au sud-est par la commune de Boudjma.

                              La commune de Mizrana compte actuellement 9. 625 habitants et couvre une superficie de 57,83 km2 dont 80% de couvert forestier.

                              La dénomination ou l’appellation de la commune au nom de Mizrana est liée directement à la retentissante et glorieuse histoire de l’immense forêt qui couvre la région réputée avoir été le berceau de la révolution nationale, en raison de son caractère stratégique que lui conféraient sa densité, son relief accidentel, ses voies à un accès des plus difficiles, l’existence de caches et de grottes inaccessibles la rendant imprenable quant à l’ennemi, c'est-à-dire le colonialisme français.

                              Après avoir été l’un des fiefs des nationalistes du PPA dans les années 40 et de refuges pour les maquisards de l’organisation spéciale (OS), issue du Congrès du PPA,/MTLD. tenu en 1947 après son démantèlement par les forces colonialistes en 1950. La forêt de Mizrana a abrité ainsi les postes de commandement des zones 3 et 4 de la wilaya 3, ainsi que celui de la région 3 dépendant de la zone 3.

                              En 1945, renseigné sur la présence des militants du PPA, parmi eux se trouvaient Amar Ath Cheikh, Omar El Bachir, et Akli Babou de Makouda, et beaucoup d’autres éléments de Sidi Naâmane, la France coloniale dépêcha sur les lieux un corps expéditionnaire composé de tabors marocains. Ces soldats ont usé de la terreur pour dissuader la population d’épouser les thèses prônées par le PPA. Ces pratiques n’ont fait en définitive qu’attiser l'esprit nationaliste et patriotique, et l'ardent désir de participer à sa libération du joug colonial.

                              L’historique de la Mizrana en tant que centre de rayonnement, par excellence par les activités de la révolution dans la région ne peut être abordé isolément sans parler de la part éminemment importante et décisive prise par la région III dont elle dépendait durant la guerre de libération nationale depuis son déclenchement, un certain 1ernovembre 1954

                              La région III, divisée en quatre 4 secteurs, couvrait une partie importante de la zone III dont elle relevait à la faveur du découpage historique opéré au lendemain du congrès de la Soummam tenu le 2O Août 1956. elle comprenait en outre la Kabylie maritime (Mizrana, Iflissen, Tigzirt et une partie d’Azeffoun, Makouda, les Ath Djenad, les Ath Ouaguenoun et Sidi Naâmane d’où sont issus les éléments au nombre de 84, tous d’anciens militants et responsables du MTLD qui ont pris part au déclenchement de la lutte armée, le premier novembre 1954, sous la responsabilité du colonel Ali Mellah. Celui-ci assurait alors le commandement de ladite région depuis 1952. La nuit du 1er novembre 1954 ces hommes ont participé à des actions à Tigzirt et Azazga tandis que 10 d’entre eux ont été dépêchés à Blida pour des actions similaires sous le commandement du colonel Ouamrane Amar.

                              Ces éléments constitueront le noyau dur de la révolution en Kabylie de par l’expérience acquise dans le maniement des armes effectué dans la Mizrana pendant la période qui a précédé la dissolution de l’Organisation spéciale. Ces hommes de Novembre ont gravi les échelons de la hiérarchie jusqu’au grade capitaine, donc chef de zone et de membre du Conseil de wilaya. Ils sont répartis ainsi qu’il suit :

                              Bounaamane (12), Makouda (16), Attouche (14), Iflissen (05), Yaskren (07), Ath Jennad (27), Aït Aïssa Mimoun (3)

                              Immédiatement, après le déclenchement de la guerre de libération nationale, la région III à travers ses différents secteurs a été à la pointe du combat et son territoire a été aussi le théâtre d’opérations pour de multiples actions et faits d’armes de l’armée de libération nationale, qui en dépit des moyens dérisoires, maigres en matière d’armes, d’arsenal de guerre, d’artillerie et en munitions en sa possession, a eu à mener des combats farouches contre les forces colonialistes. Pour illustrer d’un tant soit peut son glorieux passé, l’importance du combat mené par cette région et toute la région III dont l’encadrement était, pour la plupart de ses membres, issus du MTLD et de l’organisation spéciale (l’OS) et l’ampleur des incalculables sacrifices consentis pour la libération et l’indépendance du pays qui était sous le joug d’un ennemi redoutable, notamment la France. Il y a lieu de citer certains hauts faits d’armes à l’actif de l’armée de libération Nationale dont le retentissement a grandement contribué au développement de la lutte armée et de la sa marche inexorable vers la finalité qu’est l’Indépendance de l’Algérie Profonde.

                              Mohammed Amrous

                              Source : Le Matin DZ | 19/05/2012

                              P.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X