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SSB: Sahara Solar Breeder; Avec ou sans DESERTEC, on s’oriente vers l'extraction du silice depuis le sable

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  • SSB: Sahara Solar Breeder; Avec ou sans DESERTEC, on s’oriente vers l'extraction du silice depuis le sable

    L’extraction de silicium à partir du sable représentera une grande avancée pour l’industrie algérienne:
    portail.ceder.dz Samedi 19 mai 2012

    En visite, jeudi, à la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie, l’ambassadeur du Japon, à Alger, M.Tsukasa Kawada, qui a participé, durant trois jours, aux travaux du deuxième Forum académique algéro-japonais, organisé à l’Université des sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf (USTO) d’Oran, a indiqué qu’ " aucun accord n’a été signé entre entre l’Algérie et le Japon sur les énergies renouvelables.

    Il y a eu une réunion académique lors de ces trois jours du forum pour discuter d’un projet entre les universités algérienne et japonaise pour extraire le silicium à partir du sable. Un produit très important pour la fabrication des panneaux solaires et qui coûte cher". Pour M.Tsukasa Kawada, "si on arrive à extraire le silicium à partir du sable, cela représente une avancée et une grande industrie. C’est ce que nous essayons de faire. C’est un projet qui va prendre beaucoup de temps".

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    Des jeunes chercheurs algériens seront formés au Japon

    portail.ceder.dz Mercredi 16 mai 2012

    Lors du 4ème workshop international sur le projet algéro-japonais "Sahara Solar Breeder" (SSB) consacré au développement des technologies solaires et à la supraconductivité, les participants ont convenu de la mise sur pied d’un programme de formation, au Japon, au profit des jeunes chercheurs algériens.
    Cette action qui consolide la coopération académique et technologique entre les deux pays permettra à une dizaine de jeunes doctorants et enseignants de suivre une formation au Japon dans les multiples spécialités de l’industrie solaire, a précisé Amine Boudghène Stambouli, le manager scientifique du programme "SSB".

    Les deux parties, a-t-il expliqué, ont convenu de généraliser le premier programme de formation, lancé en janvier 2011 dans le cadre du projet "SSB", à une dizaine de jeunes chercheurs activant dans les trois établissements algériens partenaires de cette opération.

    Les établissements concernés sont l’Université des sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO), l’Université Dr. Moulay Tahar de Saïda et l’Unité de recherche en énergies renouvelables en milieu saharien (URERMS) d’Adrar.

    La concrétisation du programme "SSB", prévue en 2015, verra à cette échéance la création d’un centre de recherche sur les technologies solaires à l’USTO, d’une plateforme technologique à Saïda, et d’une usine d’extraction de silicium à Adrar en vue de la conception de panneaux solaires photovoltaïques.

    L’historique de l’opération "SSB" remonte à 2008, date de son approbation par le Conseil scientifique du gouvernement japonais, avant d’être validé en 2009 à Rome (Italie) par le groupe G8+5 réunissant les 8 pays les plus industrialisés au monde aux côtés de cinq pays invités de différents continents, puis en 2010 par l’Agence japonaise pour la coopération internationale (JICA) qui assure l’accompagnement financier du projet [autour de 5 millions de $].

    Ce workshop a été organisé à l’auditorium de l’USTO au terme de la 2ème édition du Forum Asie-Arabe sur l’énergie durable qui a vu la participation d’une centaine de chercheurs algériens et étrangers, du Japon pour la plupart, et d’autres pays tels l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, le Sultanat d’Oman, la Tunisie et la France.

    "Les travaux de ce forum ont été d’un très haut niveau", a estimé la délégation japonaise qui a annoncé, en outre, la tenue de la prochaine édition du forum en 2013 à l’université de Hirosaki (Japon).
    De nouveaux thèmes de coopération seront également débattus jeudi à l’occasion du 2ème Symposium académique algéro-japonais associant l’USTO et l’université de Tsukuba (Japon).

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    La première phase du programme national des énergies renouvelables avance à un rythme satisfaisant
    portail.ceder.dz Lundi 7 mai 2012

    La première phase du programme national des énergies renouvelables (2011/2013) qui sera consacrée à la réalisation des projets-pilote pour tester les différentes technologies disponibles avance bien, assure Mme Djamila Mohammedi, Directrice Stratégie à la holding Sonelgaz. Elle en veut pour preuve l’entrée en production de l’usine de production des panneaux photovoltaïques dès 2013, avec une capacité initiale de 15 MW/an.

    "La première phase 2011/2013, consacrée aux études, est en bonne voie", a-t-elle dit, expliquant que cette phase comprend principalement trois projets "en cours de réalisation". Il s’agit du projet de production de 10 mégawatts, issus de l’éolien, à Adrar, qui sera achevé en 2013 ; le projet de la centrale solaire photovoltaïque de Ghardaïa, qui expérimente quatre technologies pour identifier la plus adaptée pour l’environnement désertique ; et la centrale solaire CSP (Centrating Solar Power) à Hassi R’mel. "On attend le retour d’expérience avant d’aller vers le déploiement massif du programme", a-t-elle précisé, soulignant que l’Algérie mise beaucoup sur le procédé de CSP pour ses dispositions au stockage. D’ailleurs 7.000 mégawatts sur les 22.000 issus des énergies alternatives seront produits selon ce procédé, a-t-elle indiqué.

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    Production de cellules photovoltaïques à partir de 2013
    portail.ceder.dz Lundi 7 mai 2012

    Mme Djamila Mohammedi a en outre annoncé qu’à partir de 2013, Rouiba Eclairage, l’usine de production des modules photovoltaïques, commencera à produire avec une capacité de 15 mégawatts et 140 mégawatts en 2014/2015. Sur cette période, il est prévu d’atteindre un taux d’intégration de l’industrie algérienne de 60 %. "Nous recherchons des partenariats pour mettre en œuvre la partie industrielle du programme, à savoir la fabrication des équipements de base", a-t-elle précisé, rappelant le cadre législatif régissant l’investissement étranger. Elle a également rappelé que la production de l’électricité est ouverte au privé.

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    Projet d’usine de montage de plaques photovoltaïques à Oran

    portail.ceder.dz Dimanche 20 mai 2012

    Un projet de création d’une usine de montage de plaques photovoltaïques est en cour de préparation afin d’accompagner le programme national de développement des énergies renouvelables.

    Le chef du projet, Kamel Benyekhlef a indiqué que ce projet vise la création d’une usine de montage de plaques photovoltaïques, en partenariat entre un opérateur algérien et une société espagnole spécialisée dans ce domaine, destinée à accompagner le programme national pour le développement des énergies renouvelables en Algérie fait l’objet de préparatifs.

    La réalisation de ce projet se fera avec la collaboration de l’université et l’accompagnement de chercheurs universitaires spécialisés dans ce domaine "prometteur" qu’est l’énergie, a-t-on précisé ajoutant qu’un accord sera conclu prochainement entre l’entreprise concernée et l’USTO pour assurer la formation d’étudiants en "master professionnel" dans le domaine des énergies renouvelables.

    Ce projet permettra également aux étudiants et chercheurs associés de pratiquer des applications scientifiques de leurs projets de recherche scientifiques
    Dernière modification par GLP, 21 mai 2012, 01h55.
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  • #2
    Ce que je trouve bien surtout, c'est que notre projet pour les énergies renouvelables est entièrement suivi par la formation adéquate à chaque domaine/niveau, ça ne sera pas la même erreur qu'avec le pétrole (on est toujours tributaire des moyens et le savoir faire occidentale malgré nos efforts de formation)

    Et ça résulte en une vision et un mouvement homogène, la production du silice assez pure depuis le sable n'est qu'une des facettes du futur 100% algérien.

    On trouve la même logique dans presque tous les nouveaux secteurs qui commencent à émerger, tel l'avionique (formation ==> production algérienne), le militaire (marine, transport des troupes, arme légères...)

    Le sable siliceux en Algérie
    portail.cder.dz Samedi 29 octobre 2011

    On trouve en Algérie des gisements importants de matériaux siliceux, notamment dans l’ouest du pays, où ils sont liés aux dépôts de sables éoliens. Ce sont surtout ces gisements qui sont exploités pour la production du verre.

    Les gisements algériens de silices son surtout représentés par les dépôts de sables quaternaires, mais aussi par des matériaux variés : grés quartzeux, quartzites, quartz filoniens, etc.
    Des réserves géologiques importantes
    Dans la partie nord du pays, les réserves géologiques connues sont de plus de 150 Mt de roches siliceuses pures à teneur en silice élevée (> 97 % SiO2) et plus de 100 Mt de roches siliceuses industrielles à plus de 90 % de SiO2.
    Une ressource géologique potentielle et des réserves probables très élevées
    Les ressources potentielles en matériaux siliceux est très importante grâce à leur répartition, leur extension et à la diversité des gisements de roches siliceuses sous forme de sable, grés quartziques, quartzites, filons de quartz et en contextes de bassins sédimentaires et de zones de socle.
    La production algérienne
    La production de sable siliceux, en Algérie, est assurée par 12 sablières, dont 6 relèvent du secteur privé, reparties sur 08 wilayas.
    En 2008, la production a atteint 498 035 tonnes. Le secteur privé domine cette activité avec 341 048 tonnes, soit un taux de 68,4%.
    Depuis l’année 2000, la tendance de la production de sable siliceux est à la hausse ; de 230 013 tonnes produites en 2000, a plus que doublée en 2008 en atteignant 498 035 tonnes. (Sources : DGM/MEM, rapport 2008)



    En plus de la formation et de la production locale de matières de base, et pour boucler la boucle (export en plus du marché locale) nous devons profiter aussi de la crise pour racheter des licences dans des domaines variés en rapport avec les énergies renouvelables (comme on l'a fait pour l'armement, les avions...ect). ainsi que nouer des contrats pour la production destiné à l'export. ça nous facilitera grandement la tâche après.
    Dernière modification par GLP, 21 mai 2012, 01h55.
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    • #3
      Il y a eu une réunion académique lors de ces trois jours du forum pour discuter d’un projet entre les universités algérienne et japonaise pour extraire le silicium à partir du sable.

      ........................................



      C'est déjà le cas depuis des lustres

      Le silicium

      - Le silicium est un élément abondant dans la nature.On l'extrait du sable.


      On l'utilise pour la fabrication du verre , de la céramique, du quartz , d'une qualité de pneumatiques , comme abrasif etc...

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      • #4
        C'est déjà le cas depuis des lustres

        Où ?.
        Dernière modification par mansali06, 21 mai 2012, 10h54.

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        • #5
          Ici on parle du silicium grade solaire, pas pour faire des bouteilles.

          En fonction de sa pureté, on distingue 3 catégories:
          - Silicium métallurgique pureté (99%)
          - Silicium de qualité solaire pureté (99,999 9%)
          - Silicium de qualité électronique pureté (99,999 999 99%)

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          • #6
            Ici on parle du silicium grade solaire, pas pour faire des bouteilles.

            mansali06

            Et il ne se trouve que dans le sahara algérien bien sur !!!

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            • #7
              Le développement des technologies solaires en Algérie, conforme au protocole de Kyoto

              ORAN - Le développement des technologies solaires en Algérie est mené de manière "tout à fait conforme au protocole de Kyoto", a affirmé, mardi à Oran, le Directeur général de l’Institut de recherche sur l’économie arabe à Tokyo (Japon), M. Yojiro Kitamura.

              Animant une conférence dans le cadre de sa participation à la 2ème édition du Forum Asie-Arabe sur l’énergie durable, M. Kitamura a notamment mis l’accent sur le programme de coopération algéro-japonais intitulé "Sahara Solar Breeder" (SSB).
              L’expert a qualifié "d’exemplaire" cette action de coopération dont la mise en oeuvre, en 2015, sera en conformité avec le traité international de Kyoto visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre en vue de lutter contre les changements climatiques.
              Dans une communication, M. Kitamura a également estimé que le programme SSB aura des impacts positifs tant au plan économique que social et culturel, insistant à ce titre sur ses applications au profit des différents segments de l’industrie et ses effets en termes de création d’emploi.
              Important de par son caractère pluridisciplinaire touchant plusieurs secteurs de la vie économique, SSB induira assurément des "changements dans les paradigmes énergétiques", a fait valoir l’expert japonais.
              Les intervenants algériens et étrangers ont abondé dans le même sens pour mettre en relief l’intérêt de la coopération algéro-japonaise dans ce domaine technologique qui vise l’exploitation de ressources naturelles pour la production d’énergie propre et renouvelable. Les participants au forum ont rappelé dans ce cadre que le choix de l’Algérie parmi les autres pays candidats au projet SSB, s’explique à la fois par le très haut potentiel solaire au Sahara et par la richesse de la matière première que recèle le désert algérien.
              Selon les chercheurs, le sable du pays renferme 71 % de silicium, ce qui constitue la teneur la plus importante au monde. Le directeur de l’Unité de recherche en énergies renouvelables en milieu saharien d’Adrar (URERMS), M. Hamouda Messaoud, a suggéré, de son côté, que l’exploitation de ce gisement permet d’envisager à terme le développement en Algérie de l’industrie de fabrication de panneaux solaires, hissant par là même le pays au rang de fournisseur majeur étant donné la disponibilité de la matière première.

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              • #8
                Serpico: pourquoi t'es grincheux sbah rabi? personne n'a dit que ça ne se trouve que dans le sahara algérien.

                d’un projet entre les universités algérienne et japonaise pour extraire le silicium à partir du sable.
                Il s'agit d'extraire du silicium pour les besoins locaux du programme de production des énergies renouvelables algérien.

                On en extrait déjà et on en export comme partout ailleurs dans le monde, du silicium, mais pas assez pure pour le domaine du solaire.

                Les japonais nous aident sur le plan formation/recherche sur ce point, et eux même parlent de "recherches" pour en extraire du sable.

                Et c'est un des aspects des recherches lancées en phase une de ce projet. (en plus des essais de différents moyens et techniques de production de l’énergie renouvelable tels les éoliens, le solaire "stockable"...ect) pour pouvoir -à terme- faire le meilleure choix selon la faisabilité, l'efficacité et la rentabilité.

                Sinon, tu peux nous trouver ou est-ce qu'on extrait du silicium pure à partir du sable ailleurs s'il te plait ? ça enrichira drôlement le topic.
                Dernière modification par GLP, 21 mai 2012, 17h49.
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