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Un nouveau ministre marocain de l'intoxication alimentaire ?

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  • Un nouveau ministre marocain de l'intoxication alimentaire ?

    Ce vendredi à Laâyoune, une quarantaine de personnes, dont le ministre marocain El Hossein El Ouardi, a été victime d'une intoxication alimentaire lors d'un déjeuner officiel. Un comble pour celui qui occupe la plus haute place au ministère de la Santé.

    Les personnes présentes s'étaient réunies à l'occasion du 7e anniversaire de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH). Responsables locaux, gouverneurs et élus ont tous été subitement victimes de maux de ventres et de nausées, avant d'être transportés en urgence à l'hôpital de Laâyoune.
    En attendant les conclusions de l'enquête qui vient d'être ouverte, le traiteur attitré de la wilaya de Laâyoune, Riad Sahra, a du souci à se faire, s'il se trouve responsable d'un désordre sanitaire de la sorte. Surtout lorsqu'il s'agit de hauts responsables réunis pour célébrer sept années de développements en rapport avec l'hygiène au sein du territoire chérifien.

    Source : alm

  • #2
    il a manger de la viande d ane d apres les forums marocains

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    • #3
      il a manger de la viande d ane d apres les forums marocains
      importée légalement d’Algérie..c'est la chaine du froid qui n'a pas été respectée....non,plus sérieusement, ce qui vient de se passer est une honte.

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      • #4
        Si benfirane le veut, le problème des intoxications alimentaires peut être réglé en quelques jours ou semaines

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        • #5
          Si benfirane le veut, le problème des intoxications alimentaires peut être réglé en quelques jours ou semaines
          par la prière?

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          • #6
            il a manger de la viande d ane d apres les forums marocains
            arrête , les marocain sont pas cannibale ...



            ps: normalement je devrais pas , mais bon je précise que c'est juste pour rire
            tu tombe je tombe car mane e mane
            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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            • #7
              traks
              Citation:
              il a manger de la viande d ane d apres les forums marocains
              arrête , les marocain sont pas cannibale ...






              J'ai rien dis ,et je ne dirai rien
              "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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              • #8
                Des problèmes avec la chaine du Froid ?.


                Chaîne du froid: L’épicier, toujours le maillon faible

                1re étape de rupture de cette chaîne logistique Il gère 75% de la distribution alimentaire
                Lorsque l’épicier éteint son réfrigérateur la nuit


                SI c’était du cinéma, on parlerait de scènes cultes. Ces carcasses de moutons, de poulets de chair, pendues aux esses de boucher ou posées sans protection sur le plancher de camionnettes, sans frigo, qui n’offusquent plus personne. Des pratiques d’un autre âge qui semblent avoir la bénédiction des pouvoirs publics.

                Pourtant, sur le papier, il est presque impossible de passer au travers des mailles du filet de l’Office national de sécurité alimentaire (ONSA). Tant il est vrai que le dispositif de contrôle dont il est investi ratisse large. C’est le cas dans de nombreux pays, surtout développés, où la majorité des produits alimentaires passent, avant leur commercialisation, par une étape de réfrigération, voire de surgélation.

                Une évolution normale, selon Pierre Caruana, Consultant senior, associé à Optima Logistique. Car la production de produits frais et de plats préparés réfrigérés se développe en réponse à une demande des consommateurs en produits combinant plusieurs caractéristiques notamment de facilité d’utilisation, image de fraîcheur et d’effet favorable à la santé, de qualités gustatives.

                En conséquence, «la tendance du marché de la distribution montre un fort potentiel de développement du secteur des produits réfrigérés au Maroc, même si près de 75% de la distribution alimentaire se font encore au travers des épiceries traditionnelles», fait remarquer Caruana. D’où d’ailleurs le risque plus élevé de rupture de la chaîne du froid pour non-respect des exigences de ce circuit. «A toutes les étapes, il est nécessaire d’améliorer en permanence la maîtrise de la température, d’une part pour la sécurité et l’hygiène, et d’autre part pour la qualité des produits».
                Ce qui n’est pas le cas sur toute la chaîne. Chez les épiciers, 75% de la distribution alimentaire, on trouve des linéaires non réfrigérés ou éteints la nuit, pour réduire leur facture d’électricité, des réceptions stockées au pied du linéaire pendant des heures…

                Pour la maîtrise de toute la chaîne, «en amont il faut disposer d’équipements performants, mais surtout les utiliser à bon escient», insiste Caruana. Ainsi, maîtriser cette chaîne nécessite de combiner, à chaque étape, trois approches complémentaires.

                D’abord garantir les caractéristiques thermiques de l’équipement. Puis s’assurer de la qualification des modes opératoires et l’utilisation des équipements. Enfin vérifier le résultat par un suivi des températures, à la fois en temps réel, et a posteriori.

                Sur ce dernier point, on est loin du compte. En atteste le comportement des livreurs à bord de ces camions «frigorifiques», de grands groupes agroalimentaires, qui sillonnent nos villes. Ouverts en permanence, sans lanière, les groupes froids à l’arrêt, la durée interminable des tournées sont autant de paramètres à risques pour les aliments distribués.

                On retrouve ce non-respect de la chaîne du froid également chez l’industrie pharmaceutique et la restauration collective.
                En attendant l’arrivée annoncée du géant français, Akacia, spécialisé entre autres dans la logistique du froid, seuls quatre prestataires de distribution agréés dans ce domaine, opèrent sur le marché.

                Or, une parfaite maîtrise de la chaîne du froid est nécessaire à toutes les étapes, pour répondre au «droit» du consommateur en matière de qualité et d’hygiène des aliments. Cette bonne maîtrise de la chaîne, qui plus est, peut avoir des retombées importantes pour les producteurs, les transporteurs et les distributeurs.

                Il en va de l’économie d’énergie, de la protection de l’environnement, de la réduction des pertes dues à la destruction de produits pour ruptures de la chaîne du froid ou encore de l’optimisation des investissements en équipements frigorifiques.

                De toute évidence, malgré le développement de technologies nouvelles, l’abaissement de la température reste le moyen le plus naturel de limiter la croissance des micro-organismes, qu’ils soient pathogènes ou d’altération. Le Maroc a ratifié, au début des années 80, l’accord international sur le transport des denrées périssables.

                . Depuis, les camions qui transportent ces produits sont soumis à agrément sanitaire. Mais l’absence de contrôle systématique fait qu’il est difficile de dire si oui ou non la chaîne du froid est respectée.

                l'economiste.

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                • #9
                  C'est dommage pour lui,il est bien El Ouardi,j'espere il aura plus de temps pour travailler,pas comme le pauvre Thami El Khayari,lui aussi été au PPS !!!!!!

                  Les lobbys Marocains mènent la vie dure aux ministres patriotes!!!
                  "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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