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Le chef de l’Unité de recherche à la Division du renseignement militaire israélien, le général Itai Braun a révélé que «le Hezbollah développe des drones d’attaque et des missiles sol-mer téléguidés. Brown, qui s’exprimait lors d'une réunion avec le Comité des affaires étrangères et de la sécurité à la Knesset a ajouté que "l'Iran et la Syrie ont pointé 3500 missiles contre Israël".
Pour sa part, le chef adjoint d'état-major général Yair Naveh, a affirmé que le « Hezbollah a maintenant dix fois plus de missiles que durant la seconde guerre israélienne au Liban ».
Selon Braun, "le Hezbollah, le Hamas, et la Syrie développent voire évoluent leur production d'armes de manière à dépasser la supériorité militaire technologique d'Israël, notamment en ciblant les points faibles de son front-arrière".
Il a souligné que « ces trois pôles élaborent des mécanismes militaires de défense pour non seulement éprouver le front intérieur israélien mais aussi pour renforcer leur propre capacité d'absorption notamment en s’approvisionnant de quantités de munitions en missiles sol-mer et en produisant des drones militaires à des fins offensives, sans compter des quantités de missiles anti-chars, des engins explosifs et de nouveaux moyens de camouflage ».
Braun a ajouté que « l'Iran possède jusqu'à présent 450 missiles pouvant atteindre le territoire israélien. La Syrie a au moins trois mille missiles d'une portée de 70 à 700 km dirigés contre Israël. Mais le véritable problème se pose dans la capacité d’exactitude de ces missiles. La Syrie dispose aussi de systèmes de défense aériens avancés de fabrication russe ».
Braun a précisé que l'Iran pourra produire d’ici fin de 2012 de l'uranium enrichi à 20%, soit suffisamment pour produire une bombe nucléaire, dans un an et demi .
Le haut-responsable militaire israélien a indiqué que les services de renseignement militaires israéliens ont changé de stratégie pour pouvoir répondre à ces risques: «Nos renseignements ne traitent pas avec l'image de l’ennemi, mais ils se concentrent sur les cibles qu’il faut visées. Et donc leur l’objectif est de collecter des renseignements sur ces cibles».
De son côté, le général Yaïr Naveh, a insisté au cours d’une conférence internationale sur les capacités de frappes, qu’il faut « raccourcir la durée de la guerre autant que possible en raison des attaques contre le front intérieur. Pour ce faire, il faut effectuer des frappes militaires préventives pouvant toucher de grandes surfaces et conduire à la fin de la guerre. Et donc en comptant sur nos frappes précises, sur nos missiles sol-sol en plus nous utiliserons des dizaine de milliers de missiles. Le but étant de frapper leurs systèmes de lancement de missiles, leurs bases de commande, leur quartier général, les systèmes de contrôle et l'infrastructure qui leur assure un important foyer ».
Enfin pour ce qui est du dossier syrien, le responsable militaire israélien Naveh a estimé que « le régime syrien fragilisé tient à préserver ses capacités chimiques et en missile, sachant qu’il dispose de centaines de missiles ».
Et de préciser que « la Syrie a investi, toute seule, trois milliards de dollars dans le développement de ces systèmes de défense aérienne. Et cela ne doit pas seulement préoccuper Israël mais les pays occidentaux ».
Il a noté que « la Syrie continue d’armer le Hezbollah qui détient actuellement dix fois plus de missiles que dans la seconde guerre israélienne.
Et d’ajouter : « le Hezbollah possède prés de 60 mille missiles, sa vitesse en armement s'est accrue considérablement durant les six dernières années et ce dans le but de parvenir à une situation où la quantité et la qualité sont sur le même pied d’égalité, et donc frapper rapidement le front intérieur pour réaliser une victoire » !
source: asSafir
Pour sa part, le chef adjoint d'état-major général Yair Naveh, a affirmé que le « Hezbollah a maintenant dix fois plus de missiles que durant la seconde guerre israélienne au Liban ».
Selon Braun, "le Hezbollah, le Hamas, et la Syrie développent voire évoluent leur production d'armes de manière à dépasser la supériorité militaire technologique d'Israël, notamment en ciblant les points faibles de son front-arrière".
Il a souligné que « ces trois pôles élaborent des mécanismes militaires de défense pour non seulement éprouver le front intérieur israélien mais aussi pour renforcer leur propre capacité d'absorption notamment en s’approvisionnant de quantités de munitions en missiles sol-mer et en produisant des drones militaires à des fins offensives, sans compter des quantités de missiles anti-chars, des engins explosifs et de nouveaux moyens de camouflage ».
Braun a ajouté que « l'Iran possède jusqu'à présent 450 missiles pouvant atteindre le territoire israélien. La Syrie a au moins trois mille missiles d'une portée de 70 à 700 km dirigés contre Israël. Mais le véritable problème se pose dans la capacité d’exactitude de ces missiles. La Syrie dispose aussi de systèmes de défense aériens avancés de fabrication russe ».
Braun a précisé que l'Iran pourra produire d’ici fin de 2012 de l'uranium enrichi à 20%, soit suffisamment pour produire une bombe nucléaire, dans un an et demi .
Le haut-responsable militaire israélien a indiqué que les services de renseignement militaires israéliens ont changé de stratégie pour pouvoir répondre à ces risques: «Nos renseignements ne traitent pas avec l'image de l’ennemi, mais ils se concentrent sur les cibles qu’il faut visées. Et donc leur l’objectif est de collecter des renseignements sur ces cibles».
De son côté, le général Yaïr Naveh, a insisté au cours d’une conférence internationale sur les capacités de frappes, qu’il faut « raccourcir la durée de la guerre autant que possible en raison des attaques contre le front intérieur. Pour ce faire, il faut effectuer des frappes militaires préventives pouvant toucher de grandes surfaces et conduire à la fin de la guerre. Et donc en comptant sur nos frappes précises, sur nos missiles sol-sol en plus nous utiliserons des dizaine de milliers de missiles. Le but étant de frapper leurs systèmes de lancement de missiles, leurs bases de commande, leur quartier général, les systèmes de contrôle et l'infrastructure qui leur assure un important foyer ».
Enfin pour ce qui est du dossier syrien, le responsable militaire israélien Naveh a estimé que « le régime syrien fragilisé tient à préserver ses capacités chimiques et en missile, sachant qu’il dispose de centaines de missiles ».
Et de préciser que « la Syrie a investi, toute seule, trois milliards de dollars dans le développement de ces systèmes de défense aérienne. Et cela ne doit pas seulement préoccuper Israël mais les pays occidentaux ».
Il a noté que « la Syrie continue d’armer le Hezbollah qui détient actuellement dix fois plus de missiles que dans la seconde guerre israélienne.
Et d’ajouter : « le Hezbollah possède prés de 60 mille missiles, sa vitesse en armement s'est accrue considérablement durant les six dernières années et ce dans le but de parvenir à une situation où la quantité et la qualité sont sur le même pied d’égalité, et donc frapper rapidement le front intérieur pour réaliser une victoire » !
source: asSafir
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