La phase 2000-2004 :
Elle se caractérise par une poursuite du redressement économique global.
Le programme de soutien à la relance économique, qui a mobilisé l’équivalent de sept milliards de dollars US en investissements publics, étalés sur la période 2001-2004, a été d’un apport significatif à la consolidation de la croissance.
Articulé autour d’actions destinées à la dynamisation des activités productives agricoles à travers le Plan National de Développement Agricole (PNDA), au renforcement des services publics dans les domaines de l’hydraulique, des transports et des infrastructures, et à l’amélioration du cadre de vie des populations, au développement local et au développement des ressources humaines, il a favorisé une accélération de la croissance du PIB dont le rythme a atteint 6,8% ( 6,1% hors hydrocarbures) en 2003 et 5,2% ( 6,0 % hors hydrocarbures) en 2004, avec une moyenne annuelle de 4,9% sur toute la période.
Le rythme de croissance du PIB hors hydrocarbures est encore plus élevé et se situe à 5,7% en moyenne annuelle. Les secteurs de l’agriculture, du BTP et des services, où se créent l’essentiel des nouveaux emplois, ont connu des développements tangibles sur la période avec des croissances, en moyenne annuelle, de 8,4, 6,1 et 5,8% respectivement.
Bien qu’il continue à constituer la principale source de financement de l’économie nationale (95% des recettes extérieures, 60% des recettes budgétaires et de 36% du PIB -moyennes 2000-2004-), le secteur des hydrocarbures enregistre une progression de sa valeur ajoutée (3,5%) inférieure à la variation du PIB (4,9%).
Avec 2,2% seulement de variation, l’industrie continue, notamment dans le secteur public et malgré une allocation tangible de ressources par les pouvoirs publics pour sa mise à niveau, à se caractériser par l’insuffisance de ses performances.Ces résultats ont été obtenus dans un contexte fortement favorable, avec une stabilisation macroéconomique confirmée (équilibres internes et externes consolidés, inflation inférieure à 3% en moyenne annuelle, réserves de changes record notamment).
Source :http://www.dz.undp.org/publications/...érie_2005.pdf (page 12)
Elle se caractérise par une poursuite du redressement économique global.
Le programme de soutien à la relance économique, qui a mobilisé l’équivalent de sept milliards de dollars US en investissements publics, étalés sur la période 2001-2004, a été d’un apport significatif à la consolidation de la croissance.
Articulé autour d’actions destinées à la dynamisation des activités productives agricoles à travers le Plan National de Développement Agricole (PNDA), au renforcement des services publics dans les domaines de l’hydraulique, des transports et des infrastructures, et à l’amélioration du cadre de vie des populations, au développement local et au développement des ressources humaines, il a favorisé une accélération de la croissance du PIB dont le rythme a atteint 6,8% ( 6,1% hors hydrocarbures) en 2003 et 5,2% ( 6,0 % hors hydrocarbures) en 2004, avec une moyenne annuelle de 4,9% sur toute la période.
Le rythme de croissance du PIB hors hydrocarbures est encore plus élevé et se situe à 5,7% en moyenne annuelle. Les secteurs de l’agriculture, du BTP et des services, où se créent l’essentiel des nouveaux emplois, ont connu des développements tangibles sur la période avec des croissances, en moyenne annuelle, de 8,4, 6,1 et 5,8% respectivement.
Bien qu’il continue à constituer la principale source de financement de l’économie nationale (95% des recettes extérieures, 60% des recettes budgétaires et de 36% du PIB -moyennes 2000-2004-), le secteur des hydrocarbures enregistre une progression de sa valeur ajoutée (3,5%) inférieure à la variation du PIB (4,9%).
Avec 2,2% seulement de variation, l’industrie continue, notamment dans le secteur public et malgré une allocation tangible de ressources par les pouvoirs publics pour sa mise à niveau, à se caractériser par l’insuffisance de ses performances.Ces résultats ont été obtenus dans un contexte fortement favorable, avec une stabilisation macroéconomique confirmée (équilibres internes et externes consolidés, inflation inférieure à 3% en moyenne annuelle, réserves de changes record notamment).
Source :http://www.dz.undp.org/publications/...érie_2005.pdf (page 12)
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