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Bonjour, je comprends que les Libanais s'inquiétent, le liban est un petit territoire, et il faut favoriser les investissements productifs, hôtels, etc... pas les pieds à terre ou les villas qui restent vide tout au long de l'année de la jet set Arabe.
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Un rapport met en garde contre les conséquences pour le Liban de l’appétit des investisseurs du Golfe pour des surfaces foncières de plus en plus grandes.
L’appétit des pays arabes pour l’immobilier se développe dans des proportions sans précédent au Liban, affirme le consultant Ramco dans un rapport qui s’inquiète de l’épuisement de l’un des actifs les plus précieux du pays : son patrimoine foncier.
Deux facteurs rendent l’immobilier libanais irrésistible : le niveau historiquement élevé des liquidités en circulation dans la région et les prix record de l’immobilier en Europe, placement traditionnel des investisseurs du Golfe. Alors que le mètre carré d’une résidence primaire se vend en moyenne à 15 000 dollars à Cannes, 20 000 dollars à Paris et 40 000 dollars à Londres, il oscille entre 4 000 et 6 000 dollars sur le front de mer de Solidere.
Résultat, le boom est exceptionnel.
Le pays n’a jamais connu autant de transactions portant sur d’aussi grandes parcelles. Tandis que la surface totale des ventes annuelles a franchi tous les records. Et encore, les chiffres ne tiennent même pas compte des “mégadeals” (estimés à 900 000 m2) conclus par Solidere en 2005. Ils ne comptabilisent pas non plus les propriétés inférieures à 3 000 m2 dont l’achat par des étrangers n’est pas soumis à un décret spécifique. Elles correspondent à quelque 600 transactions par an en moyenne depuis 2000.
La suite...
http://www.lecommercedulevant.com/se...ws.asp?id=3821
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Un rapport met en garde contre les conséquences pour le Liban de l’appétit des investisseurs du Golfe pour des surfaces foncières de plus en plus grandes.
L’appétit des pays arabes pour l’immobilier se développe dans des proportions sans précédent au Liban, affirme le consultant Ramco dans un rapport qui s’inquiète de l’épuisement de l’un des actifs les plus précieux du pays : son patrimoine foncier.
Deux facteurs rendent l’immobilier libanais irrésistible : le niveau historiquement élevé des liquidités en circulation dans la région et les prix record de l’immobilier en Europe, placement traditionnel des investisseurs du Golfe. Alors que le mètre carré d’une résidence primaire se vend en moyenne à 15 000 dollars à Cannes, 20 000 dollars à Paris et 40 000 dollars à Londres, il oscille entre 4 000 et 6 000 dollars sur le front de mer de Solidere.
Résultat, le boom est exceptionnel.
Le pays n’a jamais connu autant de transactions portant sur d’aussi grandes parcelles. Tandis que la surface totale des ventes annuelles a franchi tous les records. Et encore, les chiffres ne tiennent même pas compte des “mégadeals” (estimés à 900 000 m2) conclus par Solidere en 2005. Ils ne comptabilisent pas non plus les propriétés inférieures à 3 000 m2 dont l’achat par des étrangers n’est pas soumis à un décret spécifique. Elles correspondent à quelque 600 transactions par an en moyenne depuis 2000.
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