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ONU : Hommage hier aux casques bleus Marocains morts pour la paix

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  • ONU : Hommage hier aux casques bleus Marocains morts pour la paix

    L'ONU a rendu mardi un hommage aux 2 casques bleus Marocains, Ali Assadiq et Yassine Gourdi, décédés en 2011 sous la bannière bleue au service de la promotion de la paix dans le monde.

    Lors d'une cérémonie organisée au siège des Nations Unies, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a remis au conseiller militaire de la mission permanente du Maroc auprès de l'ONU, le Colonel Omar El Khadir, la médaille Dag Hammarskjold, décernée à titre posthume aux Sergents Assadiq et Gourdi.

    Pour rappel, le Sergent Assadiq qui servait au sein de l'opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) est mort le 12 janvier. Quant au Sergent Gourdi, décédé le 3 juillet, il servait dans le cadre de la mission de l'Organisation des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO).

    A noter que quelque 726 et 853 casques bleus marocains servent respectivement en Côte d'Ivoire et en RD Congo, faisant du Maroc le 17ème contributeur de troupes sur un total de 120 pays.

    infoMédiaire.ma

  • #2
    Et continue de soutenir le régime syrien pour tuer plus...
    Pas à la tique ..

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    • #3
      je ne soutiens pas ce régime qui ne diffèrent pas trop des autres régimes arabes.
      moi, je ne tombe pas comme un con dans le piège des occidentaux et je ne crois pas à leurs histoires.
      je ne peux pas affirmer qui tue qui en Syrie. la propagande des deux côtés fait son travail.

      Commentaire


      • #4
        Kossayr : c’est ainsi que tout a commencé

        Que se passe t-il en Syrie ? En un an, des milliers de personnes ont été tuées, mais qui les a tuées ? Les témoignages que nous publions sont représentatifs du drame actuel. Souha Moustafa est partie à la rencontre des survivants des affrontements. Pas de ceux qui sont employés et mis en scène par les agences de communication occidentales en Turquie et en Jordanie, mais des gens simples qui fuient les combats.

        La balle a pénétré le corps de mon frère avant d’exploser dans ses poumons, dit un jeune chrétien qui a pu s’évader de Kossayr (ou Qusayr) et s’installer à Damas. Mon frère, ajoute-il, était ingénieur civil. Il s’est rendu ce 18 février 2012 à Kossayr pour nous dire au revoir avant de regagner l’Allemagne, où il poursuivait ses études. Arrivé ce jour-là en ville, il s’est retrouvé au milieu d’un accrochage entre les forces de l’ordre et des milices terroristes. Pas loin de la maison familiale, un policier gravement blessé avait besoin de l’aide. Mon frère s’est dirigé vers lui pour le secourir. Mais il ne savait pas que la mort l’attendait. Une balle a été tirée par un franc-tireur.

        Kossayr est désormais une ville fantôme. Nous avons rencontré à Damas ce jeune homme chrétien, qui a souhaité préserver son anonymat. Il nous a proposé de l’accompagner dans la capitale, là où se sont réfugiés ses amis et voisins, environ 150 familles chrétiennes.

        La vie n’est plus supportable à Kossayr après la montée de la violence ; les milices scandent des slogans confessionnels, appellent à bannir toutes les minorités ethniques ou religieuses de la ville, conclut-il.

        Notre interlocuteur demande à un journaliste français : j’ai visité plusieurs fois la France. J’ai pu constater que les Français sont aimables en général. Alors pourquoi Sarkozy est comme ça ? Pourquoi soutient-il des extrémistes sanguinaires qui cherchent à nous massacrer ?
        N’ayant pas reçu de réponse immédiate, il a reprit : vous ne saviez peut-être pas comment nous vivions ensemble dans cette petite ville frontalière avec le Liban ?
        La ” révolte” a détruit des siècles de bonne entente entre musulmans et chrétiens dans la ville.

        Au début, les manifestations se déroulaient sans violence, jusqu’au moment où des intrus, barbus, armés et violents, sont apparus dans les rues. C’était en mai 2011.
        Ces miliciens, très excités, commencèrent à dévaster la ville, à enlever des hommes pour réclamer des rançons, à piller, à incendier les maisons et les commerces appartenant à tous ceux qui refusaient de se ranger dans leur camps, notamment les chrétiens.

        Les alaouites furent leurs premières victimes [1], puis les chrétiens [2], poursuit une dame qui partageait un appartement avec deux autres familles, tout comme les 150 autres familles chrétiennes réfugiées dans les banlieues de Damas.

        Elle ajoute : Quand ces fous d’Allah se mirent à scander leur trop fameux slogan, au su et au vu de tout le monde, « Les alaouites dans les cercueils et les chrétiens à Beyrouth ! », nous avons eu peur. Leurs dignitaires religieux —tout particulièrement le cheikh Arrour [3] qui pousse au crime ces jeunes fanatiques à travers la chaine saoudienne Wesal [4]—, leur ont promis qu’ils accéderaient au paradis céleste s’ils tuaient tous les « infidèles ».

        Dès lors, nos vies étaient sérieusement menacées. Les familles alaouites survivantes ont du quitter la ville bien avant nous. Ce fut une épuration confessionnelle. Ils ne veulent plus de nous dans la région. Et il fallait s’attendre au pire.

        L’Armée « syrienne » libre
        Plus les jours passaient, plus la situation sur le terrain se dégradait. Avant, la plupart des miliciens qui semaient la terreur étaient des jeunes, de 15-25 ans, armés de kalachnikov. Maintenant, il y en a de plus âgés. Ils patrouillent la ville à bord des camionnettes armées de mitrailleuses. Ce sont eux qui font la loi.

        Et l’armée, où elle est dans tout cela ?, demandons-nous à ces familles nous entourant.
        Un des hommes présents répond. Selon lui, l’intervention de l’armée était nécessaire, et les gens l’ont réclamée. Mais les soldats ne peuvent pas faire face et des milliers d’entre eux ont péris depuis le début des événements. Les miliciens sont mieux armés qu’eux, ils disposent non seulement d’armes lourdes, mais aussi de systèmes de communication ultra-sophistiqués, dont l’État ne dispose pas.

        Récemment, quelques jours avant que nous quittions Kossayr, raconte une jeune femme, j’ai vu deux hommes du quartier attachés à deux grosses roues d’un tracteur. C’étaient des sunnites, comme les miliciens. Nous les connaissions tous.

        Ils étaient accusés à tort d’être des indics des Renseignements généraux. Ce n’étaient en fait que deux paisibles pères de famille. Les miliciens les ont brûlés vifs, attachés sur ces grosses roues. Nous savons tous qu’ils ne travaillaient pas pour la police. Ce n’était qu’un prétexte. Ils les ont tués parce qu’ils refusaient de payer « l’impôt révolutionnaire ».

        L’Armée « syrienne » libre
        À vrai dire, réplique un homme d’une cinquantaine d’années : ces miliciens que nous voyons depuis bientôt un an, ne sont pas tous des Syriens. Leur accent et leur manière de s’habiller les trahissent. Certains sont des Libanais de Wadi Khaled et Arsal, des bourgs limitrophes. D’autres sont des arabes de diverses nationalités. Ils sont tous venus en Syrie pour y créer un émirat islamique. C’est pourquoi ils veulent expulser du pays tous ceux qui ne leur ressemblent pas.

        Nous ne sommes pas allés chercher refuge à l’étranger, comme les salafistes le veulent. Nous sommes montés à Damas en attendant des jours meilleurs où nous pourrons retourner chez nous, dans nos maisons, à Kossayr, car, nous sommes chrétiens, nés ici, dans ce pays qui est aussi le nôtre.

        SUHA MOSTAFA
        Traduction
        Said Hilal Asharifi
        voltaire.net.org

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        • #5
          je ne peux pas affirmer qui tue qui en Syrie. la propagande des deux côtés fait son travail.
          Mais tu sais au moins il y'a dictateur qui ne veut pas laisser le peuple choisir librement ses décideurs, c'est lá la source des problèmes.. lui seul à blamer même si l'on veut pas savoir kituki---
          Pas à la tique ..

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          • #6
            Et continue de soutenir le régime syrien pour tuer plus...

            Le choix prté sur le maroc n'est pas un simple hasard.

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            • #7
              @bel court
              qui tue qui en Syrie ...?
              L'ONU a rendu mardi un hommage aux 2 casques bleus Marocains, Ali Assadiq et Yassine Gourdi, décédés en 2011 sous la bannière bleue au service de la promotion de la paix dans le monde.
              Pourquoi le Maroc ?

              un message clair et net insinué a qui de droit
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

              Commentaire


              • #8
                posté par benbarka

                pourquoi le Maroc
                c'est simple puis qu'ils sont des militaire des force arme royale qui ont donne leur vie pour la paix mondial.
                Pourquoi pas un autre pays ...pourquoi le Maroc ?

                par ton compatriote : Le choix porté sur le maroc n'est pas un simple hasard. ?

                PS : la phrase clé :

                décédés en 2011 sous la bannière bleue au service de la promotion de la paix dans le monde. ( Les 2 marocains étaient sous les ordres de l ONU ) ..Fham !!!
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire


                • #9
                  décédés en 2011 sous la bannière bleue au service de la promotion de la paix dans le monde. ( Les 2 marocains étaient sous les ordres de l ONU ) ..Fham !!!

                  tellement désespéré houari que tu peux trouver des fhamates même l'article parle de loubia ou de tayeb bouhari....

                  Commentaire


                  • #10
                    @overclocker

                    Bach Taf ham Mlih !!

                    décédés en 2011 sous la bannière bleue !!!

                    Pas sous les bannière des colons au SO ..
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                    Commentaire


                    • #11
                      @overclocker

                      Bach Taf ham Mlih !!

                      décédés en 2011 sous la bannière bleue !!!

                      Pas sous les bannière des colons au SO ..

                      mais comment t'arrives à faire des parallèles aussi stupides...

                      Commentaire


                      • #12
                        A overclocker

                        Je te comprends

                        le houarais est une langue très difficile à apprendre

                        elle est utilisée principalement pour dire n'importe quoi, d'où la difficulté de la comprendre

                        néanmoins, on arrive à en saisir quelques impressions, comme le désarroi, le désespoir, parfois même des soupçons d'autisme
                        La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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                        • #13
                          "Pourquoi le Maroc ? "

                          très simple comme disait Holmes :
                          -l'armée marocaine est une armée professionnelle et aguerrie à toutes les tâches et toutes les necessités de la guerre moderne
                          -le Maroc dispose d'une crédibilité internationale
                          -le Maroc qui est pour la paix dans le monde , ne se contente pas , comme certains, de discours fleuves et creux, il joint l'acte à la parole .

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                          • #14
                            -
                            l'armée marocaine est une armée professionnelle et aguerrie à toutes les tâches et toutes les necessités de la guerre moderne
                            oui on l a vue l armée marocaine pendant La crise de "l'îlot Persil", qui a failli déclencher un conflit armé entre le Maroc et l'Espagne l'été 2002

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                            • #15
                              oui on l a vue l armée marocaine pendant La crise de "l'îlot Persil", qui a failli déclencher un conflit armé entre le Maroc et l'Espagne l'été 2002
                              On a vu aussi comment le Maroc a donné une bonne raclée mémorable en 1963 face aux gesticulations d'un pays qui vient d'avoir son indépendance grâce aux autres et qui voulait péter plus haut que son ***.

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