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TIZI-OUZOU face au syndrome des retards

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  • TIZI-OUZOU face au syndrome des retards

    Avec un taux de consommation des budgets de 2,45%

    il est inconcevable qu’une direction de wilaya n’arrive pas à lancer au moins un projet en deux années», a déclaré le wali de Tizi Ouzou lors d’une récente réunion consacrée à l’évaluation de l’état d’avancement des programmes

    Le wali a en outre affirmé que les prétextes de rareté d’assiettes foncières ou d’opposition de groupes de citoyens ne peuvent justifier autant de retards. Le premier magistrat de la wilaya, à cette occasion, a sévèrement critiqué ces directeurs d’exécutif en leur imputant la non-consommation des budgets alloués à leurs secteurs respectifs au titre des deux derniers exercices (2010 et 2011). Les bilans de cette période plaident largement en faveur de la cause défendue par le wali : sur les 48,7 milliards de dinars alloués pour la wilaya de Tizi Ouzou durant les deux précédents exercices, seulement 1,19 milliard de dinars ont été dépensés, soit un taux insignifiant de 2,45%.

    Cependant, des projets antérieurs à l’année 2005 sont toujours en souffrance puisque sur les 34,2 milliards de dinars dégagés, 12 milliards de dinars n’ont pas encore été dépensés. En conséquence de cette non-consommation des budgets, la wilaya de Tizi Ouzou a raté le renfoncement de son parc infrastructurel avec des projets d’une valeur de 214 milliards de dinars, et ce, sans tenir compte du budget d’équipement affecté au titre de l’année en cours, 2012, d’une valeur de 10 milliards de dinars.

    Le wali a tarabusté également les élus locaux à la tête des assemblées communales en les mettant en garde contre des coupes sur les budgets futurs de leurs communes si les enveloppes allouées au titre des programmes communaux de développement (PCD) ne sont pas consommés. En tout cas, le reproche que le premier responsable de la wilaya vient de faire aux responsables sectoriels n’est pas moins vrai lorsqu’on sait que bien de projets d’utilité publique demeurent en souffrance depuis même le premier programme quinquennal 2001-2005. Le cas des principaux projets d’infrastructure affectés dans le cadre du deuxième programme quinquennal (2005- 2009) dans le but de remettre à niveau la région de Tizi Ouzou après l’énorme retard qu’a connu son développement suite à la crise tragique qu’elle a traversé en 2001- 2002 en est le parfait exemple qui reflète le constat d’échec que vient de dresser le wali.

    L’extension de la voie ferrée jusqu’à la zone industrielle de Oued Aïssi, sur une distance de 10 km à l’est du chef-lieu de la wilaya a mis plus de 10 ans à aboutir. Le projet d’extension de la RN12 entre Tizi Ouzou et Azazga est à ce jour en suspens. Au niveau de différentes localités rurales, d’importants programmes de logement et autres équipements restent au stade de projections et leur réalisation est différée d’année en année pour des raisons liées au manque de terrains ou à des différends entre l’administration et les populations locales.

    Or, dans le cas de ces blocages, les responsables sectoriels concernés ont rarement fait preuve de volonté pour apporter des solutions aux problèmes qui se posent, d’où le coup de colère du wali. Ce dernier, voulant à tout prix en finir avec la situation de léthargie actuelle, s’est engagé à garantir le lancement de tous les projets en attente avant la fin du premier trimestre de l’année en cours.

    En outre, pour l’exercice 2012, le budget primitif alloué à la wilaya de Tizi Ouzou avoisine 2,1 milliards de dinars. Pour le secteur de l’habitat seulement, à titre indicatif, un programme de 124 000 logements est inscrit pour l’année en cours, dont 15 500 unités dans le cadre du logement social. Autant de projets qui ne manquent pas d’importance mais qu’il faudra sauver de ce syndrome des retards.


    Source: Mourad Allal

  • #2
    le wali a les pleins pouvoirs d'agir à la place des élus locaux lorsqu'il trouve une situation de blocage,les code de wilaya et de commune le stipulent très précisément, il le sait très bien, si les projets retardés ou suspendus sont le fruit de magouilles de "citoyens locaux", le représentant de l'administration centrale aurait très bien agir autrement depuis bien longtemps, de plus, il n'y a pas que les projets, les dizaines de barrages de sécurité auxquels il faut passer pour aller d'une commune à une autre est tout simplement ettouffant

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    • #3
      tout le monde se rejettent la responsabilité,je penses a mon avis qu'il faut accorder plus de prerogatives au maires qui doivent apres rendre des comptes,actuellement tout est sujet a un accord de l'APW donc a mon avis il faut pas trop dire que c juste la faute des elus locaux qui dans la plupart des cas sont bloqués plus haut.

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      • #4
        Envoyé par Digital
        tout le monde se rejettent la responsabilité,je penses a mon avis qu'il faut accorder plus de prerogatives au maires qui doivent apres rendre des comptes,actuellement tout est sujet a un accord de l'APW donc a mon avis il faut pas trop dire que c juste la faute des elus locaux qui dans la plupart des cas sont bloqués plus haut.
        r

        Salut Digital

        Voici la gestion financière des collectivités locales en 2009


        Les collectivités territoriales en Algérie sont représentées d’après la constitution par la commune et la wilaya.

        Conformément aux codes de la wilaya et de la commune, ces collectivités disposent d’un statut propre leur conférant l’autonomie financière et la personnalité morale.

        La décentralisation adoptée comme principe de base pour l’organisation administrative, attribue une autonomie financière et de décision aux collectivités territoriales afin qu’elles disposent de moyens nécessaires pour assurer une bonne gestion des services publics

        Suivant le critère d’affectation, on peut distinguer trois catégories d’impôts :

        Ceux perçus exclusivement au profit des collectivités locales ;
        Ceux perçus partiellement au profit des collectivités locales et du FCCL ;
        Ceux perçus partiellement au profit des collectivités et de l’Etat.

        Outre les ressources fiscales, ces entités disposent de revenus patrimoniaux propres et bénéficient des subventions de l’Etat.

        L’Objectif fondamental du FCCL est de promouvoir la solidarité entre les communes et entre les wilayas, par le biais d'une répartition centralisée des recettes fiscales sous forme de dotations et subventions de façon à permettre aux collectivités locales de s'acquitter de leurs dépenses obligatoires.

        les budgets des collectivités territoriales sont établis pour l’année civile dont la période se prolonge, pour les opérations de liquidation et de mandatement des dépenses, jusqu’au 15 Mars de l’année suivante et jusqu’au 31 Mars pour les opérations de liquidation et de recouvrement des produits ainsi que pour le paiement des dépenses.

        L’exécution du budget de ces collectivités est soumise aux règles générales de la comptabilité publique. Elle est basée sur le principe fondamental de la séparation des fonctions entre l’ordonnateur et le comptable.

        Les éléments de ces budget font l’objet en cours d’exercice d’un ajustement à travers un budget supplémentaire et ce, sur la base des résultats de l’exercice précèdent.

        L’ordonnateur (le wali pour la wilaya et le maire pour la commune) tient une comptabilité administrative qui donne lieu à la production annuelle d’un compte administratif.

        S’agissant des opérations financières et comptables de ces collectivités, celles-ci sont réalisées par des comptables publics relevant de la Direction Générale de la Comptabilité, en l’occurrence :

        Le Trésorier de Wilaya pour la Wilaya ;
        Le Trésorier communal pour la commune,

        Ces derniers sont tenus de produire annuellement un compte de gestion destiné à la Cour des Comptes.

        Pour la wilaya, le wali agit en qualité d’ordonnateur unique du budget de wilaya qui est préparé par l’administration et présenté au vote des élus.

        Le budget de wilaya est exécuté par référence à un plan comptable approprié représenté par les instructions interministérielles (Finances/ Intérieur) W1 et W2.

        Ces deux instructions s’inspirent largement du Plan Comptable Général en tenant compte des spécificités de l’administration publique.

        A signaler aussi, que les opérations financière et comptables prévues par le budget de la wilaya sont classées par nature et par fonction (services ou programmes).

        Le budget de la wilaya comporte deux sections du budget :

        Une section d’équipement et d’investissement ;
        Une section de fonctionnement.

        La nomenclature budgétaire des wilayas est structurée en 7 classes :

        Les classes 0, 1 et 2 intéressent la section d’équipement et d’investissement, les classes 6, 7 et 8, la section de fonctionnement, la classe 9 les deux sections du budget.

        Les opérations comptables rattachées au budget de wilaya sont centralisées dans les écritures du Trésor à travers un compte figurant dans la nomenclature des comptes du Trésor sous le n° 407 001 : « wilayas et établissements de wilaya –service financier ».

        Ce compte est subdivisé en 3 lignes :
        Exercice courant ;
        Exercice précèdent ;
        OHB.

        Pour ce qui concerne les communes, le budget est voté par l’assemblée populaire communale sur proposition du président de l’assemblée populaire communale (P-APC).

        Le budget communal comporte, tant en dépenses qu’en recettes :

        Une section de fonctionnement ;
        Une section d’équipement et d’investissement.

        Chaque section comporte les recettes et les dépenses obligatoirement équilibrées et qui sont classées par chapitre et par article.

        Les opérations financières et comptables du budget communal sont centralisées mensuellement dans les écritures du Trésor à travers un compte figurant dans la nomenclature des comptes du Trésor sous le n° 407 00 : « communes et établissements communaux –service financier ».

        Ce compte est subdivisé en 2 lignes :
        Ligne 1 : Communes et établissements communaux ;
        Ligne 2 : Secteur sanitaires et centre hospitalo-universitaire et établissements publics assimilés.

        La liaison entre le Trésorier communal et le trésorier de wilaya de rattachement est assurée à travers un compte de mouvement de fonds ou de règlement ouvert dans la nomenclature des comptes du Trésor sous le n° 407 09.

        Ce compte est destiné à permettre l’intégration des opérations effectuées par le Trésorier communal dans la comptabilité du Trésor.

        les ressources financières locales font actuellement l’objet d’un travail de réflexion engagé au niveau central dans le cadre de la réforme des finances locales.
        Cette réforme vise à améliorer la situation financière des collectivités locales.

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        • #5
          Tizi face au syndrome des retards

          Pourquoi S'etonner c'est fait sciement et bien orchestré par l'administration centrale et avec le code communale et le code de wilaya
          et quand les communes sont laisser l'abondon pour n'importe quel achat des fournitures de bureau au carburan il faut passer par la daira et encore...
          et même quand c'est des privés qui s'organisent ils recourent généralement aux contibutions traditionnelles sinon c'est les kidnapings qui cassent toute veilleté de developpement ou est l'etat? le terrorisme islamiste est sciement entretenu et encadré par des techniques digne de la mafia sicilienne ou calabraise donc la solution l'autonomie et le federalisme seul solution prendre notre destin en main et surtout pas confier tamazight au ministere de la culture et au HCA

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          • #6
            bouri

            +100000000000000000000000000000000000000000

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            • #7
              Exemple concret à Vgayet, malgré que les relais du système disent les chose, rien ne ce passe! il ne peuvent rien, il ne font que cautionné la politique anti kabyle du régime néocolonial d'alger!!!

              ------------------------------

              Le président de l’assemblée populaire de wilaya (APW) de Bejaia, Hamid Ferhat, porte haut la voix des frustrations populaires et découpe en rondelles les ratés du développement local dans sa wilaya. Retards dans les grands projets d’équipement, désinvestissement des entreprises publiques, projet minier dangereux pour la santé publique, corruption. Rien n’est épargné. Entretien plein d’étincelles.

              Depuis 2008, vous n’arrêtez pas de tirer la sonnette d’alarme quant à la situation économique à Bejaïa. Des évolutions ont-elles été enregistrées depuis ?

              C’est plutôt depuis 2003 que nous tirons la sonnette d’alarme. Les grands projets sur lesquels, nous avions établi un plan de développement étaient : la pénétrante à l’autoroute, l’extension du port et de l’aéroport, le dédoublement de la ligne ferroviaire, la construction d’un port sec à la ZAC d’akbou, la relance des zones touristiques, l’endiguement des oueds Soummam et Agrioune, l’inscription de deux barrages à Ouedes et Oued Ghir, l’inscription de sept stations d’épuration, une gare intermodale, à ne pas confondre avec une gare routière, l’ouverture d’une faculté de médecine accompagnée de l’ouverture d’un Centre hospitalier universitaire (CHU). En plus de ces projets, nous avions, à maintes reprises, fait des propositions en matière d’éducation, de santé, du sport et de la jeunesse. Nous avons, aussi, proposé des mécanismes démocratiques, participatifs et transparents notamment au sujet de l’agence foncière, de la commission d’attribution de logements sociaux, de la gestion des marchés agricoles, de fruits et des légumes, de l’ANIREF concernant la gestion du foncier industriel. La liste est longue. Mais les gouvernants du pays n’ont pas à l’esprit l’avenir du pays. À partir de ces quelques éléments, vous pouvez faire vous-même l’inventaire.

              Le président de la République a promis un programme de rattrapage de 265 milliards de dinars et bien des projets structurants, notamment la pénétrante qui reliera Bejaïa à l’autoroute Est-Ouest. Qu’en est-il également du CHU de la ville ?

              Pour vous donner un repère, à cette époque déjà, il y a dix ans, on nous répondait que la pénétrante à l’autoroute est-ouest était sur le point d’être lancée. Ce dit programme en est encore au stade des chiffres sur du faux papier. Vous parlez de projets structurants ? L’Etat lui-même est déstructuré. Quand l’administration se pose, illégitimement, comme tutelle de la population au lieu qu’elle en soit à son service, il n’y a point de structurants. La réalité nous renvoie à la figure tous les jours le lot, sans cesse grandissant, des difficultés multiformes que rencontrent les citoyens. À la lumière de ces quelques éléments, la déliquescence de l’État et la ruse permanente que l’on oppose aux légitimes revendications de la population, il ne peut y avoir ni rattrapage ni développement. Le CHU ne peut échapper à cette amère réalité. On vous dira qu’il est dans le programme quinquennal, mais le plus important ce sont les inscriptions annuelles ou il peut voir le jour. Depuis quelques années, nous avons pris sur le budget de wilaya huit milliards de centimes, alors que le gouvernement, à ce jour, n’a daigné l’inscrire, de surcroît, les étudiants de médecine n’ont plus ou aller pour leur résidanat.

              L’exploitation du gisement minier Zinc et plomb d’Amizour, fait peser un risque environnemental à l’écho-système. Vous êtes monté au créneau sur ce dossier sensible. Comment a-t-il évolué ?

              Voilà un exemple déstructurant que l’on veut imposer à toute une région. En plus du zinc, il y a le plomb qui est un métal très lourd. La seule chose qui évolue dans le bon sens est la prise de conscience des citoyens sur les réels dangers que représente cette exploitation minière. Imaginez, si seulement il s’agissait de fournir une industrie nationale en matière première, le jeu en vaudrait vraiment la chandelle. Le gouvernement a fait preuve d’une incompétence inquiétante dans l’étude de ce dossier. Comment peut-il nous échapper que le concessionnaire de la mine (Terramin, une junior australienne NDLR) est dans le meilleur des cas à la mesure de la solvabilité du forgeron du coin ? Ou encore comment pouvons-nous fermer les yeux sur les dangers de l’exploitation à ciel ouvert d’un cratère de plus de 150 km2 sur quelques trois cent mille habitants ?

              L’investissement productif, public et privé, est très important à Bejaïa. Réalité ou gymnastique statistique ?

              Je dirai que c’est le désinvestissement qui est très important. Depuis une dizaine d’année, on a assisté à une politique de dilapidation de plusieurs fleurons industriels locaux. L’ENCG, L’ENMTP, les textiles et la chaussure d’Akbou et de Kherrata, les ETR, les briqueteries, le liège…., en tout plus d’une dizaine d’entreprises ont été bradées aux profit d’intérêts occultes. Quelques quatre milles postes d’emploi supprimés. Pour le privé, en l’absence d’une vraie politique d’investissement juste, transparente et incitative, on ne peut même pas l’évaluer.

              L’investissement est concentré dans la vallée de la Soummam. Comment gérer vous à l’APW ce déséquilibre entre les régions ?

              Il ne s’agit pas de déséquilibre, puisqu’il n’existe tout simplement pas de politique. C’est le fruit du seul hasard ainsi que l’effort de certains investisseurs. La seule cohérence est dans la bureaucratie, la corruption et le clientélisme dont se servent les autorités. L’APW reste l’une des rares institutions à ramer contre les vents de la corruption, de la violence et du clientélisme du pouvoir en place. Ce pouvoir dispose d’une manne pétrolière très importante. Il fait tout pour acheter la paix sociale. La violence, la corruption et le clientélisme sont les instruments d’une vraie politique de dislocation sociale imposée à la population. Dans ces conditions, il n’y a point de place à un vrai développement global et harmonieux. Seulement la place à une résistance.

              Propos recueillis par Amar Ingrachen, 19 Décembre 2011

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              • #8
                aujourd'hui...

                Tizi Ouzou : le siège de la wilaya fermé à l'aide de camions poubelles


                L'accès principal du siège de la wilaya de Tizi Ouzou a été barricadé ce jeudi 31 mai par plus d'une dizaine de camions de ramassage des ordures ménagères, a‑t‑on constaté sur place. À travers cette action de protestation, les propriétaires de ces camions, essentiellement des jeunes ayant créé leurs petites entreprises de nettoyage dans le cadre de l’Ansej, réclament à l'APC de Tizi Ouzou le versement des sommes qu’elle leur doit pour les prestations fournies pendant la grève menée par les travailleurs de la voirie communale durant l'été dernier.

                « Cela fait une année qu'on n'a pas reçu un seul dinar ! On nous dit qu'il n’y a pas d'argent », explique un des protestataires. « Lorsqu'il s'agissait de juguler un véritable problème de santé publique, on nous a sollicités pour contribuer au ramassage des monticules d'ordures ménagères qui se sont entassées dans la ville pendant plusieurs mois. Nous avons répondu favorablement et depuis, on ne cesse de faire appel à nous mais sans pour autant nous rémunérer », s’indigne‑t‑il.

                Il est à rappeler que devant l'incapacité des services de la voirie communale à prendre en charge le ramassage des ordures dans la commune de Tizi Ouzou, les autorités locales ont fait appel début 2012 à l'entreprise française Nicolin avec laquelle un contrat de 560 millions de dinars a été signé pour une durée de trois ans. Cependant, cette société, qui évoque un problème de dédouanement de son matériel, n’a toujours pas débuté ses activités, laissant les ordures ménagères s’accumuler dans les différents quartiers de la ville.

                Mais les perturbations dans la collecte des ordures ménagères n'est pas le seul problème auquel est confrontée la population de Tizi Ouzou. L’anarchie qui caractérise la gestion de l'APC de Tizi Ouzou se manifeste aussi, depuis quelques jours, à travers une pénurie sans précédent d’imprimés d'état‑civil qui paralyse complètement ce service, laissant ainsi des milliers de citoyens dans le désarroi.

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                • #9
                  Envoyé par bourit
                  donc la solution l'autonomie et le federalisme seul solution prendre notre destin en main et surtout pas confier tamazight au ministere de la culture et au HCA

                  a ma connaissance c des kabyles qui administre le région de la kabyles alors qui empêche la région a se développer . en ts ls cas Yek c pas ns cousins arabes

                  .

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                  • #10
                    Il faut rajouté aussi la sortie récente de rebrab sur le blocage de ses projets; il a meme fait mine de brandir la "menace" de l'autonomie pour faire avancé ses projets personnel... il en à rien à foutre de la kabylie et il a meme osé proposé un projet pour la kabylie... une cimenterie... c'est pretexte de sécurité ne tient pas debout, il vient en kabylie juste pour supervisé ses affaire puis il va voir ailleurs!!!

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                    • #11
                      le grand problème de la Kabylie sont les gens qui refuse de vendre leur terrains a l'état.

                      sonelgaz est bloquer a cause des gens qui refuse que le PILIER électrique soit installer sur leur terre.

                      le gazoduc de gaz est bloquer faute autorisation de passage sur leur terre.

                      et l'exemple thypique est le barrage de Souk N’tlata qui était bloquer depuis 34 ans, les travaux vienne de commencer il y a que 2 semaine.

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                      • #12
                        le grand problème de la Kabylie sont les gens qui refuse de vendre leur terrains a l'état.

                        sonelgaz est bloquer a cause des gens qui refuse que le PILIER électrique soit installer sur leur terre.

                        le gazoduc de gaz est bloquer faute autorisation de passage sur leur terre.

                        et l'exemple thypique est le barrage de Souk N’tlata qui était bloquer depuis 34 ans, les travaux vienne de commencer il y a que 2 semaine.
                        on peut pas en vouloir aussi a des personnes qui ne possèdent que cela et que vivent de cela pour bcp ,au prix offert par l'etat ,il faut plutôt parler de ceder pas de vendre

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                        • #13
                          Mek

                          entre les lois et la realitè du terrain ,il y'a tout un fossé,la plupart des projets ,les communes ne peuvent les réaliser et ont toujours besoin d'une enveloppe hors budget annuel de la commune,je te donne un exemple,aucune commune n'a les moyens de goudronner une route de 5 kms ,pour cela ils doivent demander de l'argent a l'APW et la surviennent les luttes partisanes dans l'octroi de ses enveloppes,donc souvent les maires sont bloquès d'en haut par faute de moyens mais c eux qui endossent apres d'ou la necessitè de voter sur un maire qui sait se faire respecter

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