L’enfant d’Algérie
Sous l’olivier, le regard de l’enfant est perdu
Déambule dans les royaume de l’imagination
Médite sur la terre qui l’a vu naître
Questionne le sol où il a commença à exister
Erre sans trop savoir pourquoi
Tente de percer le mystère de la vie
Ignore ce qui l’entoure
Il baisse les yeux puis il les relève
Ebloui par les rayons qui éclairent son berceau
Submergé dans l’inconscience de la vérité
Heureusement qu’il ne pose pas de question
Car je ne peux lui répondre
Lui dire où est passée la douce chaleur
Qui réchauffait nos cœurs
Où est cachée l’étincelle qui nous fait oublier
Le froid des nuits hivernales glaciales
Pourquoi le ciel de notre pays s’est assombri
La joie à trahit les visages des hommes
Pourquoi tant de vies sont détruites
Pour quelle raison
Heureusement qu’il est silencieux
Je le contemple de loin
Mais je suis tout prés
Mon esprit est ému
Mes sens sont égarés
L’odeur de la mort me rappelle le lieu
Elle frappe et éveille mes sens
Elle essaye en vain de les remettre à l’ordre
Je ne peux qu’obéir
Mes yeux me trahissent
Je pleurs cet enfant qui a perdu son innocence
Je pleurs cet enfant qui a perdu son père
Je pleurs cet enfant qui regarde son père dans le cercueil
Je pleurs puisque je serais incapable de lui expliquer pourquoi
Sous l’olivier, le regard de l’enfant est perdu
Déambule dans les royaume de l’imagination
Médite sur la terre qui l’a vu naître
Questionne le sol où il a commença à exister
Erre sans trop savoir pourquoi
Tente de percer le mystère de la vie
Ignore ce qui l’entoure
Il baisse les yeux puis il les relève
Ebloui par les rayons qui éclairent son berceau
Submergé dans l’inconscience de la vérité
Heureusement qu’il ne pose pas de question
Car je ne peux lui répondre
Lui dire où est passée la douce chaleur
Qui réchauffait nos cœurs
Où est cachée l’étincelle qui nous fait oublier
Le froid des nuits hivernales glaciales
Pourquoi le ciel de notre pays s’est assombri
La joie à trahit les visages des hommes
Pourquoi tant de vies sont détruites
Pour quelle raison
Heureusement qu’il est silencieux
Je le contemple de loin
Mais je suis tout prés
Mon esprit est ému
Mes sens sont égarés
L’odeur de la mort me rappelle le lieu
Elle frappe et éveille mes sens
Elle essaye en vain de les remettre à l’ordre
Je ne peux qu’obéir
Mes yeux me trahissent
Je pleurs cet enfant qui a perdu son innocence
Je pleurs cet enfant qui a perdu son père
Je pleurs cet enfant qui regarde son père dans le cercueil
Je pleurs puisque je serais incapable de lui expliquer pourquoi