Femme inaccessible (le sentier de l’amour)
Etoile du matin, inabordable reine
Synonyme de naissance dans ma vie dépeuplée
Déesse de mes profonds sentiments
Vesuve de mes fortes éruptions
Mon cœur n’était que vos regards
Obéissant esclave de vos sourires
Adepte de vos grands yeux
Emouvant de caresser la soie de l’amour à tes cotés
Toi, belle rencontre interrompue
Apres tant de sommeils sous les flammes
Etoile qui a tout pris sans me prendre
Et pourtant ce n’est qu’à dieu mon cher offrande
Le soleil se couche derrière ma plaine
Inévitable destin, juste comme récompense
Le vent emportera mon espoir au gardien des ténèbres
Et l’eau emportera mon château du sable
Cette montagne de mon immense peine
Ce mort-né de notre pauvre amour
Un éternel reposoir pour ce cœur solitaire
Regrettable d’être né aux pieds de cette montagne
Et vous une lampe dans le ciel
Amalgame de regrets et de désespoirs
Mon petit soleil, plonge dans le sol
Et cherche dans les cieux
Vous trouverez certainement la cité perdue
Et vous ratez sûrement la promesse attendue
Chère, réveille moi de ce cauchemar
Rendez moi la volonté de revivre
Pages noires disparaissez de mon livre
On vous attend quelque part
Envolez-vous pages toutes éblouies
Entrez dans mes poèmes pour me rien dire
Donnez aux rires ses lèvres rouges
Aux larmes ses fontaines blanches
Et aux pensées ses rêves roses
Arrêtez de pleurer ma fille
Sinon , je finirai par vous croire
A demain matin mon rendez-vous déjà annulé.
Etoile du matin, inabordable reine
Synonyme de naissance dans ma vie dépeuplée
Déesse de mes profonds sentiments
Vesuve de mes fortes éruptions
Mon cœur n’était que vos regards
Obéissant esclave de vos sourires
Adepte de vos grands yeux
Emouvant de caresser la soie de l’amour à tes cotés
Toi, belle rencontre interrompue
Apres tant de sommeils sous les flammes
Etoile qui a tout pris sans me prendre
Et pourtant ce n’est qu’à dieu mon cher offrande
Le soleil se couche derrière ma plaine
Inévitable destin, juste comme récompense
Le vent emportera mon espoir au gardien des ténèbres
Et l’eau emportera mon château du sable
Cette montagne de mon immense peine
Ce mort-né de notre pauvre amour
Un éternel reposoir pour ce cœur solitaire
Regrettable d’être né aux pieds de cette montagne
Et vous une lampe dans le ciel
Amalgame de regrets et de désespoirs
Mon petit soleil, plonge dans le sol
Et cherche dans les cieux
Vous trouverez certainement la cité perdue
Et vous ratez sûrement la promesse attendue
Chère, réveille moi de ce cauchemar
Rendez moi la volonté de revivre
Pages noires disparaissez de mon livre
On vous attend quelque part
Envolez-vous pages toutes éblouies
Entrez dans mes poèmes pour me rien dire
Donnez aux rires ses lèvres rouges
Aux larmes ses fontaines blanches
Et aux pensées ses rêves roses
Arrêtez de pleurer ma fille
Sinon , je finirai par vous croire
A demain matin mon rendez-vous déjà annulé.
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