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Cette abrogation est certes importante, mais derrière d'autres dispositions de l'ère Guéant restent effectives. De plus une autre circulation est en préparation pour conditionner les fameux changements de statuts pour les étudiants étrangers désireux de s'installer en France à la fin de leurs études.
De l'autre côté, le décret du 6 septembre 2011 est passé inaperçu alors qu'il vient contraindre encore un peu plus les démarches du candidat au changement de statut
« Responsabiliser le demandeur »
Les étudiants étrangers souhaitant poursuivre leur carrière professionnelle en France doivent ainsi s'acquitter d'une taxe de 200 à 385 euros (Article L311-13 du code de l’entrée et du séjour des étrangers en France) pour obtenir leur titre de séjour, à laquelle s'ajoute des frais de 110 euros non remboursables en cas de refus. L’idée du gouvernement est de « responsabiliser le demandeur et améliorer le traitement des demandes », et de faire entrer l'étudiant étranger souhaitant travailler en France dans le régime commun des étrangers.
Pour étudier en France, depuis le décret du 6 septembre 2011, il faut justifier de 615 euros par mois pour obtenir un titre de séjour étudiant. Et pour renouveler son titre de séjour, la loi de Finances 2012 prévoit une augmentation de 3 euros. Le montant de la taxe était depuis 2009, compris entre 55 et 70 euros.
“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
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