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LE PÉTROLE CHUTE DE PLUS DE 22 DOLLARS EN UN MOIS Les Algériens doivent se serrer la ceinture

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  • LE PÉTROLE CHUTE DE PLUS DE 22 DOLLARS EN UN MOIS Les Algériens doivent se serrer la ceinture

    Le débat autour de la dépendance de l'économie nationale par rapport à ses exportations en hydrocarbures rattrape une classe politique beaucoup plus préoccupée par son devenir.
    L'Algérie ne possède pas d'alternative à un effondrement des prix du pétrole. Elle en est outrageusement dépendante. Sauf un baril compris dans une fourchette entre 90 et 100 dollars serait satisfaisant pour que son économie nationale puisse tourner normalement. Le ministre de l'Energie et des Mines l'a crié haut et fort. «Le niveau actuel est meilleur que lorsqu'il était à 40 et 50 dollars, mais ce serait meilleur et raisonnable s'il était à 90..., voire 100 dollars le baril», avait indiqué Youcef Yousfi, en marge d'une conférence de presse qu'il avait tenue au siège de son département, à l'occasion des 50 ans de la création de l'organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). La conjoncture en a décidé autrement. Les cours du pétrole ont dégringolé. Le baril de «Light Sweet Crude» pour livraison en juillet a perdu 3,30 dollars, vendredi, par rapport à la séance de la veille. Clôturant ainsi la semaine à 83,23 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Un niveau qu'il n'a plus vu depuis le 7 octobre 2011. Les pertes s'élèvent à près de 23 dollars pour un mois. La côte d'alerte a été atteinte si l'on se fie à la déclaration du ministre algérien de l'énergie qui ne se doutait pas encore que la dégradation du marché pétrolier allait se précipiter. «Il semble que ce prix du pétrole (actuel, Ndlr) n'a pas d'impact majeur sur l'économie mondiale. Je pense qu'un prix autour de 100 dollars le baril est équitable pour les consommateurs et les producteurs... Et il permet des investissements pétroliers et gaziers», avait estimé M.Yousfi qui s'était exprimé en marge du sommet du Forum des pays exportateurs de gaz qui s'est tenu à la mi-novembre à Doha, au Qatar. Quels sont ces grains de sable qui ont perturbé une mécanique qui évoluait sur une pente ascendante? «Les nuages noirs continuent de s'amonceler autour de la demande pétrolière en 2012 avec les dernières données économiques en Europe, aux Etats-Unis et en Chine,» expliquent les analystes de JPMorgan. Youcef Yousfi avait senti venir le coup. «Il n'est malheureusement pas impossible que les crises de la dette en Europe et les crises financières qui ont suivi aient des répercussions sur l'activité économique et donc sur la demande en pétrole. Dans ce cas-là, il n'est pas à exclure malheureusement que cela ait un effet sur les prix du pétrole» avait prévenu le ministre de l'Energie et des Mines, le 29 décembre 2011, en marge d'une séance plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN).
    Les cours de l'or noir ont chuté à une vitesse qui fait craindre le pire pour les économies monoexportatrices à l'instar de l'Algérie dont les réserves de change sont constituées, essentiellement, grâce à ses revenus pétroliers. Le pétrole fait vivre plus de 36 millions d'âmes en Algérie. Leur bien-être, leur existence décente sont inféodés aux cours de l'or noir. Des prix du pétrole élevés permettent de soutenir leur pouvoir d'achat, d'importer ce dont l'Algérie a besoin...l'Etat peut engager des projets de développement en matière de logements, d'infrastructures routières, sanitaires, culturelles... pour améliorer le quotidien des populations. L'effondrement des cours du pétrole signifierait, à moyen terme, la mise à mort de l'économie nationale. Sa mise sous tutelle du Fonds monétaire national. Le scénario a été vécu dans les années 1990. Les Algériens l'ont chèrement payé. Des licenciements et des fermetures d'entreprises à tour de bras. Le passage brutal d'une économie planifiée à une économie de marché qui a vu des prix de produits de large consommation de base (huile, sucre, café, céréales, pâtes...) s'envoler. A peine une décennie après l'Indépendance, les Algériens qui n'ont, dans leur majorité, pas vécu dans l'opulence ont commencé à faire l'apprentissage de la société de consommation, de la mondialisation. Un monde sans pitié qui laisse sur le bord de la route les plus faibles. Pour se remettre debout, l'Algérie a dû accepter la mort dans l'âme deux plans de réajustements structurels imposés par l'institution de Bretton Woods. Plus de 300.000 travailleurs ont été licenciés plongeant des milliers de foyers dans l'incertitude pour les uns, la précarité pour les autres. Un événement occulté pendant la campagne des législatives du 10 mai 2012. Un mauvais souvenir peut-être? Certainement pas. Comme les secousses telluriques, l'histoire peut se répéter. Une leçon à retenir...
    MOHAMED TOUATI L'EXPRESSION DZ

  • #2
    l’Algérie il lui faut 40 milliard de dollar pour le budget de fonctionnement et 40 autre pour l’équipement par an.
    les réserve de change sont de 200 milliard plus 65 autre caisse compensation.
    se qui représente même avec un baril a 50 dollar l’Algérie pourrait tenir 5 ans.

    pour l’Algérie faut pas trop s’inquiéter car quand la crise économique mondial sera terminer le pétrole grimperas a plus de 150 dollar le baril.

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    • #3
      l’Algérie il lui faut 40 milliard de dollar pour le budget de fonctionnement et 40 autre pour l’équipement par an.
      faux juste 15 milliards de dollars en importation par an est suffisant pour faire tourner le pays comme en 2001

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      • #4
        il parle de budgets de fonctionnement et d'équipement et non d'importation?

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        • #5
          LE PÉTROLE CHUTE DE PLUS DE 22 DOLLARS EN UN MOIS Les Algériens doivent se serrer la ceinture


          mon dieu on est ruiner de toute façon j'en porte pas
          Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
          alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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          • #6
            serrer la ceinture c'est pas se ruiner ,mais rationaliser les dépenses et se prémunir contre toute éventualité ,ca n'a rien de dégradant

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            • #7
              il y a encore de la marge crois moi j'aurai aimer savoir quel titre tu aurai mis quand le baril étais a 150dollar ,les algériens peuvent jeter l'argent par la fenêtre peut être ?
              Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
              alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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              • #8
                c'est l'expression qui est derrière le titre

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                • #9
                  il parle de budgets de fonctionnement et d'équipement et non d'importation?
                  le budgets de fonctionnement est en dinars et pour l équipement une partie en devises

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                  • #10
                    encore une preuve de leur nullité
                    Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                    alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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                    • #11
                      c,est pas le peuple qui doit serrer la ceinture malheureusement il na pas se previlége de partager les richesses c,est plutot a cette poignée de crapules de baissè leurs primes de detournements.l,état doit diminuer les detournements au moin de 30/100 c,est deja ca .

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                      • #12
                        en gros l Algérie a juste besoin de 10 milliards de dollars en importation par an minimum--soit 2 milliards pour les céréales- + 2 milliards pour les médicaments- + 2 milliards produits alimentaires sucre,café ect..+ 2 milliards pour les vehicules + 2 millards en équipement divers

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                        • #13
                          Le maroc peut vous prêter de l'argent si vous voulez avec un taux d'intérêt amicale !!

                          Solidarité oblige ...

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                          • #14
                            citation
                            encore une preuve de leur nullité


                            MALHEUREUSEMENT TU NE COMPRENDS RIEN EN ÉCONOMIE

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                            • #15
                              pardon je parle a un connaisseur ,j'ai rien dit alors on vas se serrer la ceinture ,je vais en acheter une des que le prix du pétrole augmentera
                              Dernière modification par ahmed67, 03 juin 2012, 17h00.
                              Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                              alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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