Je souhaite une très belle fête des Mères a toutes les supers mamans de la FAmille ainsi qu'a leur propres mamans chéries, j'ai une pensée pour la mienne qui pour la toute première fois en 37 ans n'est pas a mes côtés, mais j'ai aussi une pensée émue pour toutes celles qui ont perdus la leurs
qu'elle soit loin de nous ou dans les coeurs , elle est un être unique dite lui que vous l'aimer, le plus possibles , sans hontes, avec pudeur et chaleur
Pour ma mère.
Il y a plus de fleurs
Pour ma mère, en mon coeur,
Que dans tous les vergers ;
Plus de merles rieurs
Pour ma mère, en mon coeur,
Que dans le monde entier ;
Et bien plus de baisers
Pour ma mère, en mon coeur,
Qu'on en pourrait donner.
qu'elle soit loin de nous ou dans les coeurs , elle est un être unique dite lui que vous l'aimer, le plus possibles , sans hontes, avec pudeur et chaleur
Pour ma mère.
Il y a plus de fleurs
Pour ma mère, en mon coeur,
Que dans tous les vergers ;
Plus de merles rieurs
Pour ma mère, en mon coeur,
Que dans le monde entier ;
Et bien plus de baisers
Pour ma mère, en mon coeur,
Qu'on en pourrait donner
Tu est belle ma mère.
Tu es belle, ma mère,
Comme un pain de froment.
Et, dans tes yeux d'enfant,
Le monde tient à l'aise.
Ta chanson est pareille
Au bouleau argenté
Que le matin couronne
D'un murmure d'abeilles.
Tu sens bon la lavande,
La cannelle et le lait ;
Ton coeur candide et frais
Et l'automne est si doux
Autour de tes cheveux
Que les derniers coucous
Viennent te dire adieu.
Maurice Carême
(1899-1978)
Tu es belle, ma mère,
Comme un pain de froment.
Et, dans tes yeux d'enfant,
Le monde tient à l'aise.
Ta chanson est pareille
Au bouleau argenté
Que le matin couronne
D'un murmure d'abeilles.
Tu sens bon la lavande,
La cannelle et le lait ;
Ton coeur candide et frais
Et l'automne est si doux
Autour de tes cheveux
Que les derniers coucous
Viennent te dire adieu.
Maurice Carême
(1899-1978)
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