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Première journée des épreuves du Bac : les sujets à la portée de tous
Les candidats aux épreuves du baccalauréat de la session juin 2012 sont unanimes à dire que les sujets de la première journée étaient à la portée de tous. A la sortie du premier examen, les candidats ne parlent que du sujet d’examen et des questions. Les candidats rencontrés par Echorouk sont unanimes à dire que les sujets étaient abordables et à la portée de tous. En plus de cela, les sujets de la première journée d’examen étaient corrects, aucune erreur n’est signalée. Malgré ces avis positifs, beaucoup de candidats libres ont toutefois protesté contre la surveillance renforcée qui leur a été imposée. Ce sont entre autres les avis des candidats au baccalauréat rencontrés lors de la première journée des épreuves par Echorouk aux centres d’examens d’Alger.
Echorouk s’est rendu en premier lieu au centre d’examen Thaâlibia d’Hussein-Dey où nous avons rencontré plusieurs candidats au baccalauréat, filière Sciences de la nature et de la vie. Beaucoup d’entre eux passent les épreuves du Bac pour la première fois. Approché par Echorouk, Merouane T. nous a indiqué qu’il est satisfait. « Je m’attendais à des questions difficiles, mais finalement le sujet était à la portée de tous pour les épreuves de langue arabe », nous a-t-il dit . « Si les autres sujets des autres matières sont aussi faciles que le sujet de langue arabe, le Bac sera dans nos poches », a renchéri un camarade de Merouane.
Notre deuxième destination était le centre d’examen Frantz-Fanon à Bab El Oued. Nous y avons rencontré quelques candidats qui se sont mis à l’écart pour réviser leurs cours avant d’entrer en salle d’examen. « J’ai pu répondre aisément aux questions de la langue arabe », a indiqué à Echorouk Safa K. qui passe son Bac pour la première fois. « Je redoute les épreuves de mathématiques », a-t-elle confié à Echorouk. Rencontrés non loin d’un fast-food, plusieurs candidats étaient en train de réviser les sciences islamiques. « Je préfère rester avec mes camarades pour réviser ensemble avant d’entrer en salle d’examen », nous a dit Djamal-Eddine S.
Ce qui a attiré notre attention au niveau des centres d’examen, c’est la présence massive des parents des candidats, venus soutenir et encourager leurs enfants. Certains d’entre eux ont même avoué s’être absentés du travail pour être aux côtés de leurs enfants et proches .
La surveillance renforcée perturbe les candidats libres
Après le centre de Thaâlibia d’Hussein-Dey et de Frantz-Fanon de Bab El Oued, nous nous sommes dirigés vers le centre de l’ Émir Abdelkader destiné aux candidats libres. Là, nous avons rencontrés des candidats de la filière Lettres et philosophie. Beaucoup d’entre eux nous ont affirmé qu’ils gardent toujours l’espoir de décrocher le baccalauréat. Les candidats libres rencontrés au niveau de ce centre ont confirmé eux aussi que le sujet de langue arabe était à la portée de tous. Cependant, ils ont regretté la surveillance trop renforcée sur les candidats. « Je n’ai même pas pu relever ma tête, vu qu’il y avait cinq surveillants dans ma salle d’examen », nous a expliqué Djamel Ch.
Source : Echourouk
Echorouk s’est rendu en premier lieu au centre d’examen Thaâlibia d’Hussein-Dey où nous avons rencontré plusieurs candidats au baccalauréat, filière Sciences de la nature et de la vie. Beaucoup d’entre eux passent les épreuves du Bac pour la première fois. Approché par Echorouk, Merouane T. nous a indiqué qu’il est satisfait. « Je m’attendais à des questions difficiles, mais finalement le sujet était à la portée de tous pour les épreuves de langue arabe », nous a-t-il dit . « Si les autres sujets des autres matières sont aussi faciles que le sujet de langue arabe, le Bac sera dans nos poches », a renchéri un camarade de Merouane.
Notre deuxième destination était le centre d’examen Frantz-Fanon à Bab El Oued. Nous y avons rencontré quelques candidats qui se sont mis à l’écart pour réviser leurs cours avant d’entrer en salle d’examen. « J’ai pu répondre aisément aux questions de la langue arabe », a indiqué à Echorouk Safa K. qui passe son Bac pour la première fois. « Je redoute les épreuves de mathématiques », a-t-elle confié à Echorouk. Rencontrés non loin d’un fast-food, plusieurs candidats étaient en train de réviser les sciences islamiques. « Je préfère rester avec mes camarades pour réviser ensemble avant d’entrer en salle d’examen », nous a dit Djamal-Eddine S.
Ce qui a attiré notre attention au niveau des centres d’examen, c’est la présence massive des parents des candidats, venus soutenir et encourager leurs enfants. Certains d’entre eux ont même avoué s’être absentés du travail pour être aux côtés de leurs enfants et proches .
La surveillance renforcée perturbe les candidats libres
Après le centre de Thaâlibia d’Hussein-Dey et de Frantz-Fanon de Bab El Oued, nous nous sommes dirigés vers le centre de l’ Émir Abdelkader destiné aux candidats libres. Là, nous avons rencontrés des candidats de la filière Lettres et philosophie. Beaucoup d’entre eux nous ont affirmé qu’ils gardent toujours l’espoir de décrocher le baccalauréat. Les candidats libres rencontrés au niveau de ce centre ont confirmé eux aussi que le sujet de langue arabe était à la portée de tous. Cependant, ils ont regretté la surveillance trop renforcée sur les candidats. « Je n’ai même pas pu relever ma tête, vu qu’il y avait cinq surveillants dans ma salle d’examen », nous a expliqué Djamel Ch.
Source : Echourouk
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