A COMPRENDRE, JUSTE DIRE ET SE LAISSER EMPORTER..
Tête brune,
Rythme en lice,
Coup de plume,
Rimes, cent malices.
Il désarticule
Mon cœur en hélice,
Fait de particules,
Ce corps est délice.
Manège pour les anges
Met la tête à l’envers,
Violine d’orange,
Musique : prose en vers
Ces miroirs te parlent :
Entends tu ? Entends tu ?
Voilés de lacrymal :
Le vois tu ? Le vois tu ?
Tu parfumes mes idées :
Le sens tu ? Le sens tu ?
De rires ciselés :
Goûtes tu ? Goûtes tu ?
Tête brune,
Brume de maïs,
Coup de lune,
Lamé de lys.
Le corps de maïs
Craque au temps propice,
Cœur bordé de lys
Croque ô tant délices.
Tu imprimes mon nuage
Victime de racket,
J’exprime ton visage
D’un mouvement de quête.
Là, muse tu abuses !
Tes tiroirs se calent,
Tout contre le contre ut,
Saisis d’un cri mâle,
Quel rafut ! Quel rafut !
Le silence décidé
Pas barbu, ni moustachu,
Taquine les journées
Du verbe d’un upercut
Tête brune,
Rythme en lice,
Coup de plume,
Rimes, cent malices.
Il désarticule
Mon cœur en hélice,
Fait de particules,
Ce corps est délice.
Manège pour les anges
Met la tête à l’envers,
Violine d’orange,
Musique : prose en vers
Ces miroirs te parlent :
Entends tu ? Entends tu ?
Voilés de lacrymal :
Le vois tu ? Le vois tu ?
Tu parfumes mes idées :
Le sens tu ? Le sens tu ?
De rires ciselés :
Goûtes tu ? Goûtes tu ?
Tête brune,
Brume de maïs,
Coup de lune,
Lamé de lys.
Le corps de maïs
Craque au temps propice,
Cœur bordé de lys
Croque ô tant délices.
Tu imprimes mon nuage
Victime de racket,
J’exprime ton visage
D’un mouvement de quête.
Là, muse tu abuses !
Tes tiroirs se calent,
Tout contre le contre ut,
Saisis d’un cri mâle,
Quel rafut ! Quel rafut !
Le silence décidé
Pas barbu, ni moustachu,
Taquine les journées
Du verbe d’un upercut
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