En ce qui concerne l'Algerie: Hausse du cannabis en consommation et en… saisies.
Durant cette année, les services de police ont pu saisir 358,549 kg de résine de cannabis, 0,3 grammes d’héroïne, 5,85 grammes de cocaïne, 1 498 comprimés de barbituriques.
Les services de sûreté de la wilaya d’Alger ont marqué, hier, la Journée internationale de la lutte contre la drogue et la toxicomanie par l’organisation d’une journée de sensibilisation à travers les treize sûretés de daïra d’Alger.
A ciel ouvert, sur la place Maurice-Audin à la rue Didouche-Mourad, six stands avec un effectif de soixante fonctionnaires, tous grades confondus, ont été mis à la disposition du large public, afin de le sensibiliser contre les méfaits de cette substance mortelle qui ne cesse de prendre de l’ampleur dans notre pays.
En effet, et selon les statistiques des services de la police judiciaire d’Alger, en comparant le total des matières stupéfiantes récupérées durant le premier semestre de l’année en cours, et celui de l’année dernière, on remarque que durant cette année, les services de police ont pu saisir 358,549 Kg de résine de cannabis, 0,3 grammes de héroïne, 5,85 grammes de cocaïne, 1 498 comprimés de barbituriques, 282 capsules de psychotropes, une quantité de cigarettes contenant de la drogue, cinq bouteilles de solution barbiturique et 0,6 grammes de poudre de krach. Par contre, le total du premier semestre de l’année dernière était de 47 700 kilogrammes de résine de cannabis, 03 grammes de cocaïne, 9,20 grammes d’héroïne et 548 comprimés de barbiturique.
Interrogé sur les raisons de cette hausse, l’officier de police, chargé de la communication par intérim à la sûreté de wilaya d’Alger, M. Belaïd Ait Benali, explique que la direction générale a tracé une stratégie à moyen et long terme en impliquant d’autres secteurs, notamment, les associations et la société civile à travers la création de cellules d’écoute au niveau des sûretés de daïras.
Cette procédure qui a permis le redéploiement et la forte mobilisation des agents de l’ordre est jugée très positive par notre interlocuteur qui estime que ces statistiques sont encourageantes parce qu’elles prouvent que la police fait son travail et attache beaucoup d’importance à la répression de ce fléau, qui n’arrête pas de mettre en péril la vie de nos jeunes.
- La Depeche de Kabylie
Durant cette année, les services de police ont pu saisir 358,549 kg de résine de cannabis, 0,3 grammes d’héroïne, 5,85 grammes de cocaïne, 1 498 comprimés de barbituriques.
Les services de sûreté de la wilaya d’Alger ont marqué, hier, la Journée internationale de la lutte contre la drogue et la toxicomanie par l’organisation d’une journée de sensibilisation à travers les treize sûretés de daïra d’Alger.
A ciel ouvert, sur la place Maurice-Audin à la rue Didouche-Mourad, six stands avec un effectif de soixante fonctionnaires, tous grades confondus, ont été mis à la disposition du large public, afin de le sensibiliser contre les méfaits de cette substance mortelle qui ne cesse de prendre de l’ampleur dans notre pays.
En effet, et selon les statistiques des services de la police judiciaire d’Alger, en comparant le total des matières stupéfiantes récupérées durant le premier semestre de l’année en cours, et celui de l’année dernière, on remarque que durant cette année, les services de police ont pu saisir 358,549 Kg de résine de cannabis, 0,3 grammes de héroïne, 5,85 grammes de cocaïne, 1 498 comprimés de barbituriques, 282 capsules de psychotropes, une quantité de cigarettes contenant de la drogue, cinq bouteilles de solution barbiturique et 0,6 grammes de poudre de krach. Par contre, le total du premier semestre de l’année dernière était de 47 700 kilogrammes de résine de cannabis, 03 grammes de cocaïne, 9,20 grammes d’héroïne et 548 comprimés de barbiturique.
Interrogé sur les raisons de cette hausse, l’officier de police, chargé de la communication par intérim à la sûreté de wilaya d’Alger, M. Belaïd Ait Benali, explique que la direction générale a tracé une stratégie à moyen et long terme en impliquant d’autres secteurs, notamment, les associations et la société civile à travers la création de cellules d’écoute au niveau des sûretés de daïras.
Cette procédure qui a permis le redéploiement et la forte mobilisation des agents de l’ordre est jugée très positive par notre interlocuteur qui estime que ces statistiques sont encourageantes parce qu’elles prouvent que la police fait son travail et attache beaucoup d’importance à la répression de ce fléau, qui n’arrête pas de mettre en péril la vie de nos jeunes.
- La Depeche de Kabylie
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