L'ensemble des mouvements palestiniens, à l'exception du Jihad islamique, ont conclu un accord surprise ce mardi sur un document d'"entente nationale" reconnaissant implicitement l'existence d'Israël. Il s'agit d'un changement radical dans la politique du Hamas.
L'ensemble des mouvements palestiniens, à l'exception du Jihad islamique, ont conclu un accord surprise ce mardi sur un document d'"entente nationale" reconnaissant implicitement l'existence d'Israël, ont affirmé à des responsables du Hamas et du Fatah.
Le texte sera bientôt présenté au président palestinien Mahmoud Abbas, issu du Fatah, et au Premier ministre, Ismaïl Haniyeh, issu du Hamas.
Le document stipule l'établissement d'un Etat palestinien indépendant sur tous les territoires occupés par Israël en 1967 avec Jérusalem comme capitale et Israël comme voisin de fait. Il prévoit aussi de confiner la "résistance" dans les frontières de 1967. Seul le Jihad islamique ne l'a pas paraphé.
S'il est confirmé, cet accord serait un changement radical dans la position du Hamas, à la tête du gouvernement après sa victoire aux législatives de janvier. Jusqu'ici, le mouvement islamiste a en effet toujours refusé le droit à l'existence d'Israël.
Mahmoud Abbas entendait soumettre le texte à référendum le 26 juillet si ce document, élaboré par des cadres des principaux mouvements palestiniens emprisonnés en Israël, n'était pas accepté.
"Une affaire interne" selon Israël
"Il s'agit d'une affaire palestinienne interne", a déclaré le ministère israélien des Affaires étrangères. "Nous sommes concentrés actuellement sur une seule chose : le sort du soldat Gilad Shalit", a souligné le porte-parole, en référence au militaire israélien enlevé dimanche par des groupes armés palestiniens, dont la branche militaire du mouvement Hamas au pouvoir, dans une attaque en territoire israélien à la lisière de la bande de Gaza.
"S'il n'est pas libéré immédiatement, nous devrons agir pour le libérer. C'est la seule chose qui nous préoccupe actuellement. Cet enlèvement, à notre grand regret, prime sur toutes les autres questions", a-t-il ajouté.
TF1.fr
L'ensemble des mouvements palestiniens, à l'exception du Jihad islamique, ont conclu un accord surprise ce mardi sur un document d'"entente nationale" reconnaissant implicitement l'existence d'Israël, ont affirmé à des responsables du Hamas et du Fatah.
Le texte sera bientôt présenté au président palestinien Mahmoud Abbas, issu du Fatah, et au Premier ministre, Ismaïl Haniyeh, issu du Hamas.
Le document stipule l'établissement d'un Etat palestinien indépendant sur tous les territoires occupés par Israël en 1967 avec Jérusalem comme capitale et Israël comme voisin de fait. Il prévoit aussi de confiner la "résistance" dans les frontières de 1967. Seul le Jihad islamique ne l'a pas paraphé.
S'il est confirmé, cet accord serait un changement radical dans la position du Hamas, à la tête du gouvernement après sa victoire aux législatives de janvier. Jusqu'ici, le mouvement islamiste a en effet toujours refusé le droit à l'existence d'Israël.
Mahmoud Abbas entendait soumettre le texte à référendum le 26 juillet si ce document, élaboré par des cadres des principaux mouvements palestiniens emprisonnés en Israël, n'était pas accepté.
"Une affaire interne" selon Israël
"Il s'agit d'une affaire palestinienne interne", a déclaré le ministère israélien des Affaires étrangères. "Nous sommes concentrés actuellement sur une seule chose : le sort du soldat Gilad Shalit", a souligné le porte-parole, en référence au militaire israélien enlevé dimanche par des groupes armés palestiniens, dont la branche militaire du mouvement Hamas au pouvoir, dans une attaque en territoire israélien à la lisière de la bande de Gaza.
"S'il n'est pas libéré immédiatement, nous devrons agir pour le libérer. C'est la seule chose qui nous préoccupe actuellement. Cet enlèvement, à notre grand regret, prime sur toutes les autres questions", a-t-il ajouté.
TF1.fr
Commentaire