Selon certaines sources, l’aéroport international d’Alger devrait être opérationel dès vendredi et sera inauguré le 5 juillet par le chef de l'Etat. Ce qui laisse plus que pensif est de constater " l’absence de compétences en mesure d’assurer le côté technique. " et de voir l'entreprise de gestion d'ADP (Aeroports de Paris)assumer la responsabilité des problèmes techniques enregistrés depuis que les vols d'essai ont débuté, la formation des travailleurs de l’aéroport n'ayant pas été entreprise.
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Des sources bien informées ont affirmé que l’aéroport international d’Alger sera opérationnel dès vendredi prochain, en attendant son inauguration officielle par le président de la République, le 5 juillet prochain. Les mêmes sources indiquent que l’entreprise de gestion de l’aéroport ADP (Aéroports de Paris) doivent assumer le responsabilité des problèmes techniques que l’aéroport a enregistré depuis le début des vols d’essai, car cette entreprise n’a pas entrepris la formation des travailleurs de l’aéroport tel qu’il est stipulé dans le contrat signé il y a deux ans.
Les travaux, au niveau du nouvel aéroport, ont été achevés à l’exception de quelques retouches, et des vols d’essai sont effectués quotidiennement à destination de plusieurs aéroports internationaux. Six vols ont été organisés jusqu’à maintenant à partir d’Alger, en direction de Paris, Marseille, Lyon et Nice, selon nos sources qui affirme que tout est prêt pour accueillir les passagers à partir de vendredi prochain, en ajoutant que les différents services ont rejoint les espaces qui leurs sont réservés, tels que les service de douanes et de police, les compagnies aériennes et les banques.
Les mêmes affirmations ont été faites par des responsables de l’EGSA (Entreprise de gestion des services aéroportuaires). Cependant, le grand problème qui se pose aujourd’hui, selon les mêmes sources, est l’absence de compétences en mesure d’assurer le côté technique. Ce qui a entraîné le retard enregistré dans l’ouverture du nouvel l’aéroport aux usagers.
Pour sa part, le syndicat de l’EGSA insiste sur le rejet du contrat de gestion signé avec ADP, il y a deux ans, car cette entreprise a violé, selon lui, les clauses liées à la formation. Les syndicalistes de l’EGSA craignent que l’entreprise parisienne ne respect pas la convention collective qui lui interdit de opérer une compression des travailleurs de l’EGSA. Un sujet discuté, à maintes reprises, avec les responsables du ministère des Transports qui ont assuré les syndicalistes que les intérêts des travailleurs ne seront pas touchés.
Par El Khabar
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Des sources bien informées ont affirmé que l’aéroport international d’Alger sera opérationnel dès vendredi prochain, en attendant son inauguration officielle par le président de la République, le 5 juillet prochain. Les mêmes sources indiquent que l’entreprise de gestion de l’aéroport ADP (Aéroports de Paris) doivent assumer le responsabilité des problèmes techniques que l’aéroport a enregistré depuis le début des vols d’essai, car cette entreprise n’a pas entrepris la formation des travailleurs de l’aéroport tel qu’il est stipulé dans le contrat signé il y a deux ans.
Les travaux, au niveau du nouvel aéroport, ont été achevés à l’exception de quelques retouches, et des vols d’essai sont effectués quotidiennement à destination de plusieurs aéroports internationaux. Six vols ont été organisés jusqu’à maintenant à partir d’Alger, en direction de Paris, Marseille, Lyon et Nice, selon nos sources qui affirme que tout est prêt pour accueillir les passagers à partir de vendredi prochain, en ajoutant que les différents services ont rejoint les espaces qui leurs sont réservés, tels que les service de douanes et de police, les compagnies aériennes et les banques.
Les mêmes affirmations ont été faites par des responsables de l’EGSA (Entreprise de gestion des services aéroportuaires). Cependant, le grand problème qui se pose aujourd’hui, selon les mêmes sources, est l’absence de compétences en mesure d’assurer le côté technique. Ce qui a entraîné le retard enregistré dans l’ouverture du nouvel l’aéroport aux usagers.
Pour sa part, le syndicat de l’EGSA insiste sur le rejet du contrat de gestion signé avec ADP, il y a deux ans, car cette entreprise a violé, selon lui, les clauses liées à la formation. Les syndicalistes de l’EGSA craignent que l’entreprise parisienne ne respect pas la convention collective qui lui interdit de opérer une compression des travailleurs de l’EGSA. Un sujet discuté, à maintes reprises, avec les responsables du ministère des Transports qui ont assuré les syndicalistes que les intérêts des travailleurs ne seront pas touchés.
Par El Khabar
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