Ainsi, les principaux produits alimentaires consommés par les ménages algériens sont, entre autres, les blés et dérivés, le lait et produits laitiers, les huiles, le sucre, les fruits et légumes, les viandes rouges et blanches, le concentré de tomate, les légumes secs et le café. La couverture des besoins est assurée par l’offre qui émane des opérateurs économiques publics et privés, à partir de la production nationale, en grande partie avec une contribution de l’importation.
Le ministre de l’agriculture a estimé, d’autre part, que seulement 30% des produits consommés proviennent de l’importation et que des efforts sont consentis afin de réduire ce taux.
Concernant la pomme de terre, le ministre a expliqué que la production a enregistré une nette évolution. «Elle est passée de 21 millions de quintaux, il y a trois ans, à 40 millions durant l’année en cours», a-t-il indiqué.
Le même constat a été fait pour la filière lait. D’après M. Rachid Benaissa, la collecte de lait s’améliore d’année en année. Elle est passée de 200 millions de litres, il y a quelques années, à 800 millions de litres aujourd’hui. Une véritable dynamique est engagée, selon lui, et il faudra attendre quelques années pour voir le résultat espéré ce concrétiser.
À propos du mois de Ramadan, le ministre de l’agriculture a tenu à rassurer les consommateurs en ce qui concerne la disponibilité des produits alimentaires, surtout que le mois sacré coïncidera avec une saison favorable à la production des fruits et légumes.
Eco news
Le ministre de l’agriculture a estimé, d’autre part, que seulement 30% des produits consommés proviennent de l’importation et que des efforts sont consentis afin de réduire ce taux.
Concernant la pomme de terre, le ministre a expliqué que la production a enregistré une nette évolution. «Elle est passée de 21 millions de quintaux, il y a trois ans, à 40 millions durant l’année en cours», a-t-il indiqué.
Le même constat a été fait pour la filière lait. D’après M. Rachid Benaissa, la collecte de lait s’améliore d’année en année. Elle est passée de 200 millions de litres, il y a quelques années, à 800 millions de litres aujourd’hui. Une véritable dynamique est engagée, selon lui, et il faudra attendre quelques années pour voir le résultat espéré ce concrétiser.
À propos du mois de Ramadan, le ministre de l’agriculture a tenu à rassurer les consommateurs en ce qui concerne la disponibilité des produits alimentaires, surtout que le mois sacré coïncidera avec une saison favorable à la production des fruits et légumes.
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