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Le Groupe Cevital a demandé 20.000 hectares au Rwanda

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  • Le Groupe Cevital a demandé 20.000 hectares au Rwanda

    Le Groupe Cevital, qui produit du sucre de l'Algérie, a demandé pour 20.000 hectares au Rwanda sur lequel il cherche à cultiver la canne à sucre et de commencer la production locale de sucre. Le groupe indiquant que l'usine produira 200 tonnes métriques de sucre par an pour éviter une crise du sucre au Rwanda.

    Source: independent ug

  • #2
    Rab Rab ne connait pas la culture de la betterave sucriere, pourtant ultramajoritaire pour la production de sucre en Europe

    ils semble qu'il ait aussi oublié ses promesses de fermes geantes en Algerie, sahariennes ou non (surtout depuis que l'aqueduc geant vers Tam est operationnel), il a tout oublié le Rab Rab !

    tout comme il a oublié sa promesse d'usime automobile Hyundai !

    il veut a present gentiment transferer a l'etranger le magot amassé grace a ses precieux passe-droits, son monopole sur l'huile et le sucre ... un jour c'est le projet d'evasion fiscale au Rwanda, un autre en Cote d'Ivoire, et bientot au Cameroun ...

    ses ouvriers surexploités de Bejai et d'ailleurs en Algerie doivent beaucoup apprecier la strategie financiere de ce Rab Rab, une vrai Tchernobyl pour leur fiches de paie ....

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    • #3
      il a riens oublier tout sa est la faute du gouvernement algériens qui refuse de lui louer les terres.

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      • #4
        Actualités : ISSAD REBRAB PARLE DU PROJET DE CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE PORTUAIRE À CAP DJINET
        «Des problèmes de régionalisme sont derrière son blocage»


        Actualités : ISSAD REBRAB PARLE DU PROJET DE CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE PORTUAIRE À CAP DJINET
        «Des problèmes de régionalisme sont derrière son blocage»

        «Le projet de construction d’un port à Cap Djinet se concrétisera un jour», dira l’homme d’affaires Issad Rebrab qui ne veut nullement s’avouer vaincu devant cet ultime blocage opposé à sa demande de construction et à ses frais d’un port multifonctionnel à cap Djinet et dont le dossier est bloqué depuis près d’une décennie au niveau du CNI, Conseil national de l’investissement.
        Il s’agit d’un complexe portuaire de taille mondiale qui, en plus de l’activité portuaire traditionnelle, se traduira par la mise en place de nombreuses activités connexes et structurantes : industrie automobile, construction navale, pétrochimie… Le détail est fourni par le patron du groupe Cevital qui accorde beaucoup d’importance à cet investissement stratégique qui est, signale-t-il, porteur de retombées positives sur le plan socio-économiques qui iront au-delà de la seule région de Kabylie. Un million d’emplois seront générés par l’ensemble des activités de ce complexe qui permettra d’enclencher une dynamique économique qui profitera à de nombreuses PME. Ce complexe permettra, en outre, selon toujours les explications de son promoteur, de combler l’énorme déficit en infrastructures portuaires dans notre pays. Il permettra un gain de 3 600 milliards de dollars que l’Algérie perd actuellement, en raison de l’absence d’un port de taille mondiale. Devant un public nombreux venu assister à une conférence que l’homme d’affaires a animée conjointement avec Tayeb Hafsi, expert international en management stratégique et auteur d’une biographie sur Issad Rebrab et organisée par la filière INSIM de Tizi-Ouzou, Rebrab dira, sans ambages : «Des problèmes de régionalisme sont derrière le blocage de la construction du port de Cap Djinet.» Qui s’oppose donc à la réalisation de cet important investissement utile à l’économie nationale ?
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #5
          Suite

          Pour répondre à la question, suivons les explications de Rebrab qui rappellera la genèse du projet pour la réalisation duquel de nombreuses études géotechniques ont été réalisées à la demande de l’État algérien depuis une quarantaine d’années par des bureaux d’études étrangers. Toutes les expertises effectuées par les Américains en 1970 et juste après par les Japonais, les Hollandais en 1976 et les Danois en 1983 et qui ont pour champ d’étude la bande littorale située entre Ténès à l’ouest, jusqu’à Dellys au centre du pays, insistent sur la nécessité de positionner le projet à Cap Djinet, région qui répond le mieux, en raison de ses spécificités géographiques et la configuration de son littoral, aux normes techniques spécifiées par les experts. Les mêmes conclusions ont été confirmées par une expertise récente commandée par le groupe Cevital. «Et voilà que Amar Tou (ministre des Transports, ndlr) vient de commander une nouvelle étude technique pour la réalisation du même projet mais en limitant le champ de l’expertise à une distance située entre Alger et Ténès», révélera encore l’homme d’affaires. «Et vous comprenez pourquoi», dira-t-il, encore, donnant ainsi la clé de l’énigme. L’homme d’affaires pointe ainsi du doigt les démons du régionalisme qui motivent, selon lui, le blocage de son projet qu’il tient à réaliser. Des blocages, Rebrab en a vus d’autres durant tout son parcours de bâtisseur et de porteur de projets. Une vision, un cheminement qu’il a étalé, durant une bonne partie de l’après-midi de samedi dernier, devant les jeunes étudiants de l’INSIM, des universitaires et d’anonymes. Une manière de susciter l’espoir et l’amour d’un pays que d’aucuns persistent à rendre invivable pour ses habitants.
          S. Aït-Mébarek
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            Le Groupe Cevital a demandé 20.000 hectares au Rwanda

            apparemment Cevital a l'air de vouloir vraiment augmenter ses capacités de production. après la Côte d'Ivoire, le Rwanda. c'est bien mais Cevital devrait proposer d'acheter les terres sur la base d'actes de propriété renouvelables dans (après 20 ans par exemple) i.e. qu'au bout de 20 ans, les terres sont rétrocédées à l'Etat (rwandais ou ivoirien ou autre). l'idée, c'est de laisser l'Etat africain en question propriétaire de ses terres. il y a actuellement une ruée sur les terres agricoles africaines de la part de la Chine notamment. je pense que c'est pour assurer leur sécurité alimentaire. si jamais il y avait un mouvement de contestation pour revenir sur ces ventes de terres aux étrangers, Cevital ne se retrouverait pas dans le collimateur d'une telle contestation qui, à mon avis, est inévitable.
            Dernière modification par Neutrino, 20 juin 2012, 21h35.

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