«Ya Jeune Rak Zâafane» est mort : Farés, un fou pas comme les autres.
Farés « Rak Zâafane », le plus célèbre SDF algérois est décédé durant la semaine dernière, trouver mort dans une ruelle a Alger victime d'un vol d'organes. Les algérois le connaissent très bien a travers ses commentaires marrant et sa légendaire « Ya Jeune Rak Zâafane », sa voix résonnait sur les hauteurs d’Alger et au centre de la capitale, tout en laissant derrière lui les sourires des gens qui faisaient rire…
On le surnommait "rak zâafane", mais Il s'appelait Farès. Il était de Bouzaréah, sur les hauteurs d'Alger. Un différend avec ses frères le chasse de chez lui et le prive du cocon familial... Une légende en même fait de lui un flic, qui aurait vu ce qu'il s'était passé à Bentalha, en 1997...
Depuis une date indéfinie, il errait dans les rue d'Alger, avec une prédilection pour le quartier de la Grande Poste- rue Didouche Mourad, près de la Fac centrale et même à Belcourt et Hussein Dey... Il disait tout le temps, à tout le monde, "rani zaafane", ou bien, en s'adressant aux hommes "Ya jeune rak zâafane"?, "ana rani zâafane" "Ara AlfraK". Et quand il s'agissait d'une femme : "Okhti, raki zâafana?"...
Parfois, il disait aussi, avec cette étonnante précision de lucidité retrouvée : "manich mridh, rani zä3fane".. Parfois, quand il était vraiment zâ3fane, il tapait sur les voitures... Il est mort, un certain jour, à une date inconnue.
Synthèse : La Rédaction de ********
Farés « Rak Zâafane », le plus célèbre SDF algérois est décédé durant la semaine dernière, trouver mort dans une ruelle a Alger victime d'un vol d'organes. Les algérois le connaissent très bien a travers ses commentaires marrant et sa légendaire « Ya Jeune Rak Zâafane », sa voix résonnait sur les hauteurs d’Alger et au centre de la capitale, tout en laissant derrière lui les sourires des gens qui faisaient rire…
On le surnommait "rak zâafane", mais Il s'appelait Farès. Il était de Bouzaréah, sur les hauteurs d'Alger. Un différend avec ses frères le chasse de chez lui et le prive du cocon familial... Une légende en même fait de lui un flic, qui aurait vu ce qu'il s'était passé à Bentalha, en 1997...
Depuis une date indéfinie, il errait dans les rue d'Alger, avec une prédilection pour le quartier de la Grande Poste- rue Didouche Mourad, près de la Fac centrale et même à Belcourt et Hussein Dey... Il disait tout le temps, à tout le monde, "rani zaafane", ou bien, en s'adressant aux hommes "Ya jeune rak zâafane"?, "ana rani zâafane" "Ara AlfraK". Et quand il s'agissait d'une femme : "Okhti, raki zâafana?"...
Parfois, il disait aussi, avec cette étonnante précision de lucidité retrouvée : "manich mridh, rani zä3fane".. Parfois, quand il était vraiment zâ3fane, il tapait sur les voitures... Il est mort, un certain jour, à une date inconnue.
Synthèse : La Rédaction de ********
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